AstraZeneca : «Le malaise est bien présent. Ces 1.000 doses on les écoule petit à petit, (…) pour éviter d’arriver à cette date après laquelle on ne pourra plus les consommer, aux alentours de la fin mai», témoigne Natacha Bouchart
AstraZeneca : «Le malaise est bien présent. Ces 1.000 doses on les écoule petit à petit, (…) pour éviter d’arriver à cette date après laquelle on ne pourra plus les consommer, aux alentours de la fin mai», témoigne Natacha Bouchart