Dans plusieurs villes, comme sur ces images filmées à Marseille, les anesthésistes se sont mobilisés pour réclamer plus de reconnaissance et une protection législative de leur corps de métier, dont certains pensent qu'il est menacé. Armelle Arditti, anesthésistes à l'hôpital de la Timone : "Notre autonomie et notre polyvalence, nos connaissances théoriques, notre système de formation est reconnu dans le monde entier, et aujourd'hui les infirmiers anesthésistes ne comprennent pas pourquoi leur ministre Olivier Véran va vers la destruction de tout ce métier.