Johannesburg (AFP) – La peur de manquer d'essence et de nourriture a gagné les Sud-Africains au sixième jour des violences qui ont déjà fait 72 morts, sur fond de chômage endémique et de nouvelles restrictions anti-Covid. Dès l'aube, les files se sont allongées devant les stations-essence et devant les magasins d'alimentation, notamment à Durban, dans le Kwazulu-Natal (Est).