Denis Demonpion, éditorialiste, estime que «les syndicalistes jouent avec le feu» en annonçant un préavis de grève alors même que la concurrence fait son entrée sur le marché ferroviaire français.
Denis Demonpion, éditorialiste, estime que «les syndicalistes jouent avec le feu» en annonçant un préavis de grève alors même que la concurrence fait son entrée sur le marché ferroviaire français.