«On n’échappera pas malheureusement pas à des mesures très rapides […] car la situation risque d’être beaucoup plus grave au mois de janvier», Jean Garrigues, président du Comité d’histoire parlementaire.
«On n’échappera pas malheureusement pas à des mesures très rapides […] car la situation risque d’être beaucoup plus grave au mois de janvier», Jean Garrigues, président du Comité d’histoire parlementaire.