Pour le professeur Djillali Annane, «Ce n’est pas la priorité de traiter les enfants de 5-11 ans aujourd’hui. La priorité, c’est de faire en sorte que le plus grand nombre d’entre nous ait eu la troisième injection».
Pour le professeur Djillali Annane, «Ce n’est pas la priorité de traiter les enfants de 5-11 ans aujourd’hui. La priorité, c’est de faire en sorte que le plus grand nombre d’entre nous ait eu la troisième injection».