Le politologue Guillaume Bigot met en garde contre un deuxième tour du scrutin aussi disputé qu’accessible aux divers candidats, en raison d’une marge d’erreur inévitable, liée aux incertitudes des sondeurs quant aux scores des nouveaux candidats.
Le politologue Guillaume Bigot met en garde contre un deuxième tour du scrutin aussi disputé qu’accessible aux divers candidats, en raison d’une marge d’erreur inévitable, liée aux incertitudes des sondeurs quant aux scores des nouveaux candidats.