Alona Piskun, une mère de famille ukrainienne, est bloquée avec sa famille à Kiev. Tous ont entendu les premières bombes tomber sur la ville cette matinée. «On n’a pas compris ce qu’il se passait […] On était tous ensemble dans l’appartement donc on a fermé la porte et on n’est pas sortis de la journée», témoigne la jeune femme.