A Andr¨ïïvka, village ukrainien situé à quelques dizaines de kilomètres à l’ouest de Kiev, nombre de civils ont été tués lors de l’occupation russe. Depuis le retrait des forces de Moscou, fin mars, l’heure est au douloureux décompte de ces victimes. Il s’agit, sous le contrôle des autorités policières, d’exhumer leurs corps enterrés à la hâte dans des jardins. Une épreuve pour les proches, comme le montre ce reportage de l’AFP qui illustre à quel point le pays est désormais une “scène de crime”, pour reprendre les termes employés ce mercredi 13 avril par le procureur de la Cour pénale internationale.
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