Ces nouveaux traitements, appelés « analogues du GLP-1 », sont autorisés en France depuis octobre et novembre 2024. Ils sont qualifiés par certains médecins spécialistes de l’obésité de « révolutionnaires ».
Ces nouveaux traitements, appelés « analogues du GLP-1 », sont autorisés en France depuis octobre et novembre 2024. Ils sont qualifiés par certains médecins spécialistes de l’obésité de « révolutionnaires ».