Les membres de la secte se sont attaqués à la police locale dimanche 22 décembre, tentant ainsi de récupérer les enfants. L’intervention policière, qui a eu lieu le 20 décembre, était motivée par des soupçons de traite d’être humains « sous la forme de grossesses forcées, de maltraitance d’enfants et de viol », selon le procureur.