Une affaire restée en travers de la gorge. Un an après l’implantation contestée d’un site au sud de Rennes, le directeur général de Safran, Olivier Andriès, revient sur son refus d’investir dans une ville tenue en majorité par les écologistes. Des propos critiqués par les intéressés, mais soutenus par une partie de la classe politique.