“On n’avait pas vraiment l’impression que l’on pouvait s’exprimer sans faire face à des répercussions. L’idée de pouvoir venir ici, parler de ce que l’on connaît, des preuves, de la science, est un sentiment libérateur”.
“On n’avait pas vraiment l’impression que l’on pouvait s’exprimer sans faire face à des répercussions. L’idée de pouvoir venir ici, parler de ce que l’on connaît, des preuves, de la science, est un sentiment libérateur”.