"On est tout le temps oubliées". Les sages-femmes redescendent dans la rue jeudi, en espérant notamment mettre à mal "le défaut d'information", le "manque de reconnaissance" et le "mépris" des pouvoirs publics. "Au vu de la technicité des études que nous réalisons, des compétences et des responsabilités que nous avons, c'est clair que débuter à 1.