Élisabeth Borne estime que « l’État n’a pas été au rendez-vous » face aux violences physiques et sexuelles commises au sein de l’établissement catholique Notre-Dame-de-Bétharram, entre 1957 et 2004.
Élisabeth Borne estime que « l’État n’a pas été au rendez-vous » face aux violences physiques et sexuelles commises au sein de l’établissement catholique Notre-Dame-de-Bétharram, entre 1957 et 2004.