Un Paris-Dakar qui se transforme en véritable calvaire. 300 passagers devaient décoller à bord d’un vol Air Senegal ce dimanche, à 9h45. C’était sans compter sur deux jours de reports permanents, dans un flou général sur les causes de l’incident. « On nous a menés en bateau », estime Damien, père de famille qui n’a pu, comme le reste des sinistrés, arriver à Dakar que ce mardi. Et ce au terme d’une interminable attente, marquée par une présence des forces de l’ordre armées, et des malaises de voyageurs.
