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Le samedi 23 juillet 2022, Kendrick Lamar était en concert à Houston, Texas, à l’occasion de sa tournée Big Steppas.
Outre la scénographie et l’énergie du rappeur, un autre évènement a marqué ce show.
À l’écoute du morceau Love, un agent de sécurité s’est effondré en pleurs et a été filmé par une
personne du public.
“Je me suis réveillé le lendemain et c’était partout. Je suis encore en train d’assimiler tout ça maintenant. Cela m’a ramené à l’époque où la chanson est sortie. Je traversais une période tumultueuse dans ma vie à ce moment-là. J’ai en quelque sorte absorbé les émotions de tout le monde. Je faisais de mon mieux pour tenir le coup et j’ai craqué.” Devyn Sanford, via Fox 26
Après de longues hésitations, ce fan de Kendrick avait finalement décidé de prioriser son travail.
“J’ai débattu pour savoir si je devais acheter des billets ou travailler sur le spectacle. J’ai décidé de travailler sur le spectacle mais il avait toujours autant d’impact pour moi.” Devyn Sanford, via Fox 26
Interrogé par la chaîne YouTube “Jazzy’s World”, à Miami, l’artiste a eu l’occasion de réagir à cette vidéo,
devenue virale.
“C’est vraiment juste une question de sentiment. Au-delà de toute la politique, de tous les chiffres, c’est ce que la musique te fait ressentir.” Kendrick Lamar
L’agent a été contacté par l’équipe du rappeur pour recevoir des produits dérivés et rencontrer son idole.

Candidat dans la 4e circonscription de la Dordogne, Sébastien Peytavie (NUPES) a été élu avec 55,48% des voix.
“Je suis très content pour tous les militants, pour tous les partis qui ont participé à cette très belle campagne et avec un très beau score !” Sébastien Peytavie, député de la Dordogne via France 3 Aquitaine.
Élu premier député en fauteuil roulant, le psychologue de métier, souhaite sensibiliser sur le handicap.
C’est à la suite d’une opération du coeur, qu’il perd l’usage de ses jambes à l’âge de 3 ans.
A 40 ans le natif du Périgord portera donc ces propositions de lois au sein l’hémicycle.

L’administration thaïlandaise des denrées alimentaires et des médicaments a légalisé la culture et la possession de marijuana le 9 juin 2022.
Un million de plants de marijuana vont être distribués par l’administration de la santé publique du pays à partir du 10 juin 2022.
“Je peux dire tout haut que je suis un fumeur de cannabis. Je n’ai pas besoin de me cacher comme dans le passé, lorsque le cannabis était considéré comme une drogue illégale. Il est assez clair que nous sommes allés très loin et que nous légalisons enfin son utilisation.” Rittipong Bachkul, client
du Cannabis Cafe, via AP
Les propriétaires de petites entreprises qui peuvent maintenant vendre de la marijuana légalement s’accordent à dire que la légalisation est synonyme de progrès à bien des égards.
“Le gouvernement comprend qu’il y a plus de pour que de contre.” Rattapon Sanrak, propriétaire
du Cannabis Café, via AP
Bien qu’aucune réglementation sur la marijuana ne soit actuellement en vigueur, le gouvernement thaïlandais aurait déconseillé de fumer de la marijuana.
“En ce qui concerne le gouvernement, c’est son rôle de promouvoir l’usage médical uniquement.” Rattapon Sanrak, propriétaire du Cannabis Café, via AP
Malgré les célébrations entourant la légalisation, les experts affirment que “des risques subsistent” quant à la manière dont la marijuana sera désormais réglementée, voire si elle le sera.
“Le problème est que le cannabis n’est plus considéré comme un stupéfiant mais qu’il n’existe pas de réglementation ministérielle ni de règles régissant son utilisation. Il n’est pas question de limites de consommation ou de lois sur la conduite sous l’emprise de drogues. Il pourrait s’agir d’une erreur du gouvernement qui tente de mettre en œuvre sa politique à la hâte pour plaire aux électeurs sans vraiment planifier les détails et expliquer au public ce qui se passe.” Prof. Sarana Sommano,
Université de Chiang Mai, via AP
Les représentants du gouvernement affirment toutefois que les avantages l’emportent sur les difficultés de croissance nécessaires à la légalisation.
“Si nous avons la bonne conscience, le cannabis est comme l’or, quelque chose de précieux, et devrait
être promu.” Prof. Sarana Sommano, Université de Chiang Mai, via AP

Traditionnellement, on partage une pâtisserie le jour de l’Épiphanie : la galette des rois.
Mais cette pâtisserie varie en fonction du pays et de ses régions.
Si l’Église a décrété que l’Épiphanie serait célébrée le 6 janvier pour commémorer la rencontre entre les Rois mages et Jésus, la coutume du partage est très ancienne.
Cette tradition païenne remonte à l’Antiquité romaine lors des “Saturnales”, fêtes organisées en l’honneur du dieu de l’agriculture et du temps.
Durant cette période, les maîtres et les esclaves partageaient un festin.
Cela représentait la seule journée où ils étaient mis sur un pied d’égalité.
Un haricot était caché : celui qui le trouvait était désigné roi du festin.
Ce n’est qu’en 1875 que les fèves en porcelaine apparaissent puis près d’un siècle plus tard en 1960, les premières fèves en plastique.

Grâce à son projet “Housing First” (traduit en français par “logement d’abord”), la Finlande a réussi à réduire le nombre de SDF par 3 en 12 ans.
Et grâce à ce plan, le pays a même réussi à faire des économies !
“Lorsqu’un sans-abri obtient un logement social convenable, les économies pour la société sont de 15 000 € par personne et par an.” FEANTSA, organisation européenne oeuvrant en faveur des sans-abris
“Housing First” consiste à reloger les personnes sans domicile afin de faciliter leur réinsertion.
L’idée est donc de privilégier les hébergements permanents aux refuges d’urgence (dont le nombre a été divisé par 10).
Ainsi, depuis 2008, environ 30 000 logements sociaux (financés ou cofinancés par l’État) sont construits chaque année.
Une aide sociale est accordée pour les premiers loyers (bien moins élevés par rapport au prix du marché).
Des travailleurs sociaux accompagnent également ces personnes jusqu’à l’emploi.
Ainsi en 12 ans, la Finlande a déboursé 350 millions d’euros, compensés par la réduction de certaines dépenses publiques :
– les dépenses médico-sociales et psychiatriques.
– les frais de surveillance et de sécurité dans l’espace public.
La Finlande est le seul pays d’Europe à être parvenu à réduire le nombre de sans-abris sur son territoire.
En 2008, les autorités avaient recensé 18 000 personnes à la rue ou dans des centres d’urgence.
Le chiffre était descendu à 7000 en 2017 (représentant 0,14% de la population).
C’est 2 fois moins qu’en France proportionnellement à la population (0,21%).

Le forfait “patient urgences”, dont l’entrée en vigueur a été repoussée à cause de la pandémie, est désormais effectif depuis le 1er janvier 2022.
Mais qu’est-ce que cela va-t-il changer ?
Désormais, si un passage aux urgences n’est pas suivi d’une hospitalisation, le patient devra s’acquitter d’une facture de 19,61 euros, un montant remboursable partiellement ou intégralement par la mutuelle.
Seront exonérés :
– les femmes enceintes.
– les patients atteints de la Covid-19.
– les mineurs victimes de violences sexuelles.
– les donneurs d’organes.
– les personnes touchant une pension d’invalidité.
Les personnes souffrant d’affection longue durée et celles répondant au régime d’accident du travail ou de maladie professionnelle verront leur facture minorée à 8,51 euros.
Les détracteurs de cette mesure dénoncent les risques de réduire l’accès au soin car environ 5% de la population française ne posséderait pas de mutuelle.
Jusqu’à présent : le reste à charge [était] proportionnel à la lourdeur des soins. Si vous [voyiez] juste le médecin des urgences, pour une simple consultation médicale, le reste à charge
[était] de 6,90 euros. Par contre, si vous [aviez] des actes un peu plus lourds comme des actes de biologie, d’imagerie, le reste à charge [était] proportionné. Ces règles [étaient] assez complexes car vous ne [saviez] pas combien le montant [restait] à votre charge.” Fédération Hospitalière de France.
Ainsi, la consultation par un médecin aux urgences coûtait environ 25 euros dont 80% était pris en charge par l’assurance maladie.
Les 20% restants étaient remboursés par la mutuelle ou étaient réglés par le patient lui-même.

Depuis le début de la pandémie, le trafic maritime est mis à rude épreuve.
À partir de mars 2020, les usines se sont brutalement arrêtées avec les confinements successifs.
Le trafic maritime mondial était ainsi à l’arrêt avant de reprendre au printemps 2020.
À cette période, la consommation explose (notamment avec le e-commerce) mais les conteneurs sont encore dispersés aux 4 coins du monde.
Résultat : la pénurie de conteneurs paralyse le commerce mondial avec des délais de traitement beaucoup plus longs.
En moyenne, le départ des navires est repoussé d’une dizaine de jours.
Le manque de mains d’oeuvres contribue aussi à la désorganisation du marché et à des ports embouteillés.
Par effet de domino, le coût de transport est multiplié par 4.
Les premières victimes sont les petites entreprises mais aussi les consommateurs qui constatent une inflation sur l’ensemble des produits importés.
Le trafic maritime ne devrait pas être soulagé tant que la demande sera aussi soutenue et sans l’arrivée de nouveaux bateaux (attendus pour 2023/2024) et de nouveaux conteneurs.
Ces derniers sont apparus pour la première fois en 1956 aux États-Unis puis se sont popularisés dans les années 80 avec la division des chaînes de production entre différents pays.
Ces immenses boîtes métalliques sont standardisées : elles mesurent 12 mètres de long et possèdent les mêmes mécanismes d’accrochage.

C’est une première mondiale : la Nouvelle-Zélande adopte des mesures drastiques anti-tabagisme.
À partir de 2027, l’âge légal pour acheter du tabac sera relevé chaque année.
Ainsi, les citoyens nés après 2008 n’auront jamais le droit de fumer.
“Nous voulons nous assurer que les jeunes ne commencent jamais à fumer et nous allons faire de la vente ou de la fourniture de cigarettes une infraction pour les jeunes.” Ayesha Verrall, ministre néo-zélandaise de la Santé.
Ainsi à partir de 2024, le nombre de magasins commercialisant des cigarettes sera restreint.
Dès l’année suivante, seule la vente de produits contenant de très faibles niveaux de nicotine sera autorisée afin de réduire les risques de dépendance.
La Nouvelle-Zélande deviendrait ainsi le pays le plus réglementé au monde en matière de tabagisme.
Seul le Bhoutan avait interdit la vente de tabac depuis 2010.
Avec cette stratégie, la Nouvelle-Zélande espère atteindre son objectif : réduire la population de fumeurs quotidiens à moins de 5% d’ici 2025.
Mais le principal risque réside dans l’essor de la vente au marché noir.
Le gouvernement avait déjà appliqué des taxes sur les ventes qui avaient ralenti la consommation de tabac : un paquet de cigarettes coûte en moyenne 18 euros, soit le prix le plus élevé au monde.
Selon les autorités, chaque année, le tabac est à l’origine d’un cancer sur quatre et provoque la mort de 5 000 personnes (soit 15% des décès).
Le tabagisme est ainsi la première cause de décès évitable en Nouvelle-Zélande.
La consommation de cigarettes reste néanmoins faible dans le pays : moins de 10% de Néo-zélandais fument.
À titre de comparaison, la France compte 1/3 d’adultes fumeurs.

2022 s’annonce comme une “année de tous les records”.
Pôle Emploi a mené une enquête auprès de 420 établissements entre octobre et décembre 2021.
Résultats : 32,8% des entreprises envisagent de recruter en 2022 (contre 26,5% en 2021, soit une hausse de 12%).
Parmi ces projets de recrutement :
– 54,3% seraient des CDI (+11,5 points par rapport à 2021)
– 70,8% seraient des contrats durables (CDI ou CDD de plus de 6 mois)

Parmi les secteurs qui recherchent le plus :
– la construction : +21,8%
– l’industrie : +23,8%
– l’hébergement-restauration : +23,4%

Mais 57,9% des projets d’embauches sont jugés “difficiles” par les employeurs (+13 points par rapport à 2021).
Les petites entreprises sont les plus inquiètes.
Elles craignent une pénurie de candidats ou des candidatures de profils inadéquats.
Fin 2021, le taux de chômage atteignait 7,4%, soit le niveau le plus bas jamais atteint depuis 2008.
Fin 2021, le taux de chômage atteignait 7,4%, soit le niveau le plus bas jamais atteint depuis 2008.

“Personne n’imaginait qu’on puisse avoir de tels résultats en sortant d’une des crises économiques les plus graves qu’on ait connues au cours des dernières décennies.” Elisabeth Borne sur France Inter

Les billets d’avion de vos prochaines vacances risquent de vous coûter plus cher !
En un an, les prix au départ de France ont augmenté de 3,1% pour les vols intérieurs de 6,9% pour les départs vers l’étranger et de 8,8% pour les DOM-TOM.
Après la crise sanitaire qui a paralysé les compagnies aériennes, celles-ci doivent faire face à une nouvelle crise : le conflit ukrainien qui a débuté le 24 février dernier a eu des répercussions économiques au niveau mondial.
Cela a notamment engendré une flambée des prix du carburant, non seulement pour les automobilistes mais aussi pour le secteur aérien.
Le prix du kérosène a ainsi augmenté de plus de 30%.
Les carburants représentent près d’un tiers des coûts des compagnies aériennes.
Par ailleurs, les espaces russes et ukrainiens ne sont plus survolés donc pour les destinations entre l’Europe et l’Asie, les compagnies aériennes sont contraintes de contourner ces espaces.
Les trajets sont ainsi rallongés, ce qui nécessite encore plus de carburant.
Ces dernières sont donc forcées d’augmenter leurs tarifs.
À cela s’ajoute la hausse des taxes écologiques : la taxe carbone européenne s’élève entre 0,17 et 0,50 euro par litre de kérosène par passager.
Air France applique quant à elle 1 à 12 euros de plus sur ses billets pour réduire ses émissions de CO2.

Après le choc démographique survenu en 2020 à cause de la surmortalité liée à la Covid-19, .
on assiste à une nouvelle hausse de la population Française.
Cela s’explique par l’augmentation du nombre de naissances : en 2021, il y a eu 738 000 nouveaux-nés, soit 3 000 de plus qu’en 2020 (+0,4%).
“La chute des naissances 9 mois après le premier confinement de mars 2020 a été compensée ensuite.” INSEE
Ce rebond a d’abord eu lieu en mars et avril 2021 avant une forte remontée des naissances pendant l’été 2021.
L’âge moyen de la maternité est néanmoins passé de 29,3 ans à 30,9 ans.

En parallèle d’une baisse de la mortalité, on a également assisté à un rebond de l’espérance de vie :
– 85,4 ans pour les femmes (hausse de 0,3 année sur un an)
– 79,3 ans pour les hommes (hausse de 0,2 année sur un an)
Malgré cette hausse, elle n’atteint pas son niveau d’avant crise (85,6 ans pour les femmes et 79,7 ans et les hommes).
Au 1er janvier 2022, on dénombrait 67,8 millions d’habitants en France (soit une hausse de 0,3% sur un an).
La croissance démographique a donc repris mais elle augmente moins vite qu’avant la pandémie (0,4%).

Selon un sondage OpinionWay, 48% des Français sont inquiets concernant leur pouvoir d’achat.
Les consommateurs se tournent donc vers des enseignes attractives améliorant leur pouvoir d’achat.

Dans le domaine alimentaire :
1. Lidl, 7,2/10
2. E.Leclerc , 6,8/10
3. Aldi, 6,6/10
4. Carrefour , 6/10
5. Intermarché , 6/10
6. Auchan , 5,8/10
7. Système U , 5,6/10
8. Netto , 5,4/10
9. Picard , 5,2/10
10. Grand Frais , 5,2/10

Dans le domaine non-alimentaire :
1. Action , 7,2/10
2. Amazon , 6,9/10
3. Décathlon , 6,3/10
4. Kiabi , 6,3/10
5. Brico Depot , 6,3/10
6. Stokomani , 6,2/10
7. Gifi , 6,1/10
8. IKEA , 6/10
9. Primark, 6/10
10. Leroy Merlin , 5,7/10