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Le marché du fromage a échappé à la catastrophe durant la crise de la Covid-19 !
Les producteurs de fromage ont dû faire une croix sur la clientèle des restaurants, fermés durant de nombreux mois.
Fort heureusement, cette perte a été compensée par l’explosion de la consommation de fromages des ménages : +8,2% par rapport à 2019, (source : Kantar).
La crise a permis aux Français de privilégier le “fait maison”.
Les fromages dits “ingrédients” ont ainsi eu la cote (emmental, mozzarella, comté).
La progression des ventes de fromage entre 2019 et 2020 :
– Le fromage de vache (+8,5%).
– Le fromage de chèvre (+7,2%).
– Le fromage de brebis (+5,5%).
La mozarella (+21%).
La raclette (+12%).
L’emmental (+7,8%).
Le coulommiers (+5,6%).
Le camembert (+2,2%).

Preuve supplémentaire que le fromage relève bien du patrimoine culturel français !

Durant cette crise sanitaire (et notamment en raison des confinements), les Français se sont rués sur certains de ces produits !
La décoration et l’ameublement : Chaque déconfinement s’est accompagné d’un pic considérable des ventes (environ 40%).
Chaque déconfinement s’est accompagné d’un pic considérable des ventes (environ 40%).
L’électroménager de cuisine : En 2020, la vente de ces produits a augmenté de 20% par rapport à 2019.
Les accessoires de fitness et de musculation : Face à la fermeture prolongée des salles de sport, les stocks des magasins spécialisés se sont écoulés à une vitesse folle.
D’après Le Monde, les ventes d’haltères chez Go Sport ont progressé de 160% en 2020, et les tapis de sol de 112%.
Les instruments de musique :
La guitare est la grande préférée : 500 000 guitares ont été vendues, soit 100 000 de plus que l’année précédente.
Les jeux de société : Ils ont permis aux Français confinés de s’occuper : les ventes sont en hausse de 9,3%.
Les jeux vidéo : Cette industrie a comptabilisé plus de 5 milliards d’euros de chiffre d’affaires, un record (+11,3% par rapport à 2019).
En moyenne, les amateurs de jeux vidéo ont dépensé 120 euros (soit 10 euros de plus qu’en 2019).

En 2012 un médecin de nationalité libanaise, qui avait étudié 10 ans plus tôt sur le territoire allemand, a fait les démarches pour être naturalisé.
Il a passé et réussi tous les tests de naturalisation allemande les mains dans les poches en obtenant de très bons scores. Cependant il s’est vu refuser la naturalisation allemande le jour de la remise du certificat pour une raison assez particulière…

L’A340 du dictateur Libyen est cloué au sol depuis des années dans le sud de la France.

En effet le “palais volant” de Mouammar Kadhafi est, en 2011, considéré comme une prise de guerre par ceux qui s’apprêtaient à éliminer le dictateur libyen.

Avant de mettre la main sur Khadafi, les forces rebelles ont pu s’accaparer son A340, un des symboles emblématiques de son pouvoir.

Les Tunisiens, eux, avaient revendu le jet du président Ben Ali à Turkish Airlines mais les nouveaux dirigeants Libyens ne pencheront pas pour cette option.

En 2012, l’avion est envoyé en France dans le cadre d’un contrat de maintenance signé avec Air France.

Suite à plusieurs conflits et actes en justice entre Al-Kharafi et l’État Libyen, l’avion reste finalement la propriété de l’état Libyen.

Air France, qui avait pris part à la procédure, exerce toujours un droit de rétention, dans le but de recouvrer une créance de quelque 2,4 millions d’euros.

L’avion n’est donc pas abandonné mais stationné à Perpignan.

L’Écossais a été reconnu comme élément à part entière de la culture et de l’héritage écossais par le gouvernement nationaliste.
Bien qu’il ne soit souvent considéré comme un dialecte de l’anglais.
La langue écossaise est une langue comportant un vocabulaire très riche.
L’université de Glasgow a menée une étude afin de créer une liste organisé et controlé de termes locaux.
La liste est formelle, les Écossais ont 421 mots rien que pour désigner la neige.
“…plus que les Inuits, qui n’en auraient que 50.” Quotidien britannique
Par exemple le mot “spitters” désigne des petites gouttes de neiges emportées par le vent.
Le mot “flindrinkin” lui aurait pour définition une fine pluie de neige.
‘Comme on peut l’attendre d’un pays connu pour son climat gris, humide et pluvieux, les Écossais ont aussi beaucoup de mots pour désigner la pluie et le brouillard.”Quotidien britannique
“C’est un peu surprenant que la neige tienne tête à la pluie.” Susan Rennie – lectrice en langue anglaise et écossaise à l’Université de Glasgow

Ce visage est celui du député Rawiri Waititi.
Il représente la population maorie en Nouvelle-Zélande.
Pourquoi parle-t-on de lui ?
Le coprésident du Parti maori a fait beaucoup de bruit après avoir été expulsé du Parlement pour non-port de la cravate qu’il qualifie de “noeud coulant colonial”.
Le 9 février 2021, Waititi est arrivé dans l’hémicycle avec un pendentif maori en jade,
en guise de cravate.
Le président de l’Assemblée a refusé qu’il prenne la parole en raison de “son acoutrement non réglementaire”.
Mais le code vestimentaire imposé au Parlement n’est-il pas dépassé ?
Pour Rawiri Waititi, le combat tient à l’acceptation des valeurs culturelles locales.
Ce n’est pas un problème de cravate mais d’identité culturelle.
“Ce collier, c’est ma cravate à moi, c’est une tenue d’affaire dans la culture maori. Or, ici, en m’empêchant de prendre la parole sur ce prétexte, on me demande d’être ce que je ne suis pas.”
Quelques mois auparavant, la question du code vestimentaire avait déjà été abordée au sein du Parlement.
Les députés avaient majoritairement voté pour le maintien du port de la cravate.
Mais au lendemain de cet incident, un comité du Parlement a décidé d’abandonner cette coutume.
Interrogée sur la question, la première ministre Jacinda Ardern ne voit pas d’objection à faire évoluer ces pratiques.
“Il y a des questions beaucoup plus importantes pour nous tous.”
Mais cet avis ne fait pas l’unanimité.
“Ce n’est peut-être pas un problème primordial dans le monde aujourd’hui, les hommes qui se rendent au Parlement devraient porter une cravate. Ce n’est pas un bar, un club ou une boutique, c’est le Parlement national. ” Simon Bridges, homme politique maori.
Les Maories sont une population autochtone qui représente environ 15% des 5 millions d’habitants néo-zélandais.

Le sous-continent indien connait un véritable problème.
Le pays connait une guerre peu commune… une guerre de gangs de singes ! Cette guerre n’est pas anodine puisqu’elle a déjà causé la mort de 13 personnes en 5 ans.
Par exemple, Laxman Tulsiani, un marchand d’or, et Veera, un gardien, sont tous deux morts après la chute d’un mur causée par ces guerres.

Chez les moins de 35 ans, environ 1 personne sur 3 est tatouée.
Mais la célèbre association de défense des consommateurs tire la sonnette d’alerte :
3/4 des encres utilisés en France pour les tatouages présentent un “risque sanitaire élevé”.
UFC-Que Choisir a testé en laboratoire les 20 encres les plus utilisées par les professionnels français.
Conclusions : , Seules 5 d’entres elles respectent les réglementations françaises et européennes.
Les 15 autres obtiennent une note entre 0 et 4/20.
La meilleure encre serait la “Makkuro Sumi Best Black” (17,8/20).
Sur ces 20 encres, 15 proviennent des États-Unis et 2 de Chine.
L’association dénonce notamment l’utilisation de colorants interdits ou de substances cancérogènes.
Colorants C.I 74260, C.I. 73915, Isothiazolinones, hydrocarbures aromatiques polycycliques, amines aromatiques… derrière ces noms incompréhensibles pour le commun des mortels se cachent des produits chimiques présentant un risque avéré pour les êtres humains puisqu’ils sont pour la plupart cancérogènes, et de ce fait encadrés par diverses réglementations.” UFC-Que Choisir.
Ces résultats “alarmants” ont contraint l’UFC-Que Choisir à saisir l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) pour procéder au retrait et au rappel de certains de ces produits et intensifier leurs contrôles.
Le syndicat national des artistes tatoueurs s’est quant à lui défendu qu’aucune preuve scientifique n’avait encore été établie concernant le lien de causalité entre tatouages et cancers.

La police de Beverly Hills semble avoir trouvé la tactique pour empêcher la diffusion d’images sur les réseaux sociaux : téléphone en main, les policiers activent une musique non-libre de droit lorsqu’ils sont filmés par les citoyens.
Grâce à cette technique, ils se retrouvent protégés par les algorithmes des réseaux sociaux, et notamment d’Instagram.
Ceux-ci détectent et suppriment les contenus ne respectant pas les règles relatives aux droits d’auteur.
Même lorsque la musique sous licence est en arrière-plan, la vidéo est susceptible d’être retirée.
Et en cas d’infractions répétées, l’utilisateur peut même voir son compte supprimé.
Au moins 3 policiers ont procédé ainsi pour dissuader les citoyens de les filmer.
Cette pratique avait déjà été observée lors des manifestations du mouvement Black Lives Matter.
Des vidéos avaient été supprimées des réseaux sociaux pour non-respect des droits d’auteur à cause de la musique en fond.

Avec la propagation des variants du Covid-19, le double masque, soit porter deux masques superposés,”est juste du bon sens” selon le docteur américain Anthony Fauci.
Bien que le Centre de contrôle et de prévention des maladies n’ait pas officiellement recommandé le double masque, les experts en santé l’encouragent.
“Le port du double masque vous protégera probablement plus, environ entre 15 et 20 %.” Dr. Janette Nesheiwat, médecin urgentiste, pour Bustle.
Les médecins recommandent une triple couche en tissu dont une couche filtrante supplémentaire pour se protéger du coronavirus.
Si vous n’avez pas trois masques en tissu, vous pouvez porter un masque chirurgical sur lequel vous superposer un masque en tissu.
En définitive, la clé d’un double masque efficace est qu’il soit confortablement ajusté autour de la bouche et du nez.

Jusqu’au XIXe siècle le couvre-feu était une norme et une mesure de police chrétienne visant à mieux marquer et à différencier le cycle du jour de celui de la nuit.

Pendant le XXe siècle, il a été imposé pendant le Blitz aux habitants de Londres en 1940 ou encore par le gouvernement français aux musulmans algériens en 1961.

Au Moyen Âge et à l’époque Moderne, le couvre-feu était permanent car l’éclairage généralisé n’existait tout simplement pas.

Durant ces temps il y avait une peur de la nuit, une crainte des ténèbres mais avec le temps et les nouveaux régimes, le rapport à la nuit a changé. 

A ces époques les chartes de coutumes et les ordonnances de police interdisaient les circulations de nuit.

C’était une mesure préventive contre les incendies qui menaçaient les maisons en bois et à des fins de sûreté publique.

La nuit était alors perçue comme diabolique et synonyme de lycanthropes, de sorcières et d’êtres maléfiques et de tout autres personnages effrayants. En plus des histoires de démons, elle était doublée par une sensibilité à la criminalité.

Puis le couvre-feu commençait à être perçu comme une manière de camoufler les faiblesses des forces de l’ordre.

L’éclairage public, instauré depuis les année 1770, fût une révolution et changea le rapport, qu’avait les gens, à la nuit. 

Le couvre feu lié à la pandémie du Covid-19, est en définitif assez différent car il ne découle ni d’une mesure militaire, ni d’une disposition chrétienne visant à instaurer une alternance claire entre travail et repos.

Il relève d’une police sanitaire déployée dans le contexte d’une pandémie internationale.

Le matin du lundi 18 janvier 2021, Olivier Véran, ministre de la santé, était en interview, en direct, pour parler de la vaccination. 

Sujet sensible mais inévitable du moment avec la pandémie actuelle.

Cependant ce n’est pas ses propos qui ont attirés l’attention du public…

En effet, le ministre de la santé s’est retrouvé sur en tendance Twitter et pour cause, il portait un masque de la marque Lacoste.

De nombreuses interactions sont alors survenues, concernant ce masque, entre ceux qui blâmaient le ministre et ceux qui le défendaient.

D’autant plus que Lacoste est une marque française, produite en France, que le masque coûte une quinzaine d’euros.

La polémique a été jugée inutile et incompréhensible…

Et qu’il a probablement été offert au ministre lors de son passage à Troyes, ville qui fabrique les produits Lacoste, quelques jours auparavant.