Invité sur le plateau de la Matinale, Harold Hyman s’est exprimé sur la situation en Ukraine, suite aux annonces de Vladimir Poutine. Selon le spécialiste en géopolitique, le président russe voudrait «toute la côte et toute la partie Est» de l’Ukraine.
Le résumé de toute l’actualité et des faits marquants de la journée
Thomas Lequertier et ses invités reviennent sur l’actualité de la journée dans #OPTSD
David Corceiro, salue le nouveau système de parrainages : «Aujourd’hui, il fallait plus de transparence, parce que c’est ce qu’on demande à la vie politique». Le député Modem du Val-d’Oise déplore le peu de parrainages de la part des 42 000 élus habilités : «La vraie question qu’on doit se poser c’est : “pourquoi ils ne parrainent pas ?”, puisque ce sont eux qui incitent tous les citoyens à aller mettre un bulletin dans les urnes».
Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour Tous, estime qu’Emmanuel Macron tarde à se représenter parce qu’il ne veut pas faire le bilan de son quinquennat : «Il ne veut pas être confronté à son bilan parce que le bilan du quinquennat est affligeant».
Caroline Pilastre déplore le prisme occidental sous lequel est perçue la situation en Russie. Pour elle, l’Ukraine n’aurait jamais fait son entrée dans l’OTAN, à cause de divergences fondamentales : « L’OTAN représente les Américains, et on en revient à une confrontation bloc-est versus bloc-ouest, donc Monsieur Poutine n’aurait jamais accepté ça. Je pense que ce n’est pas son intérêt d’aller à Kiev».
Guillaume Bigot, politologue, ne comprend pas la remarque d’Anne Hidalgo sur Eric Zemmour, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon qui n’ont pas encore obtenu la totalité des parrainages : «Ils ont le droit d’être pour une idéologie qui est anti-républicaine ou qui limite le pouvoir de la République».
Julien Pasquet et ses invités reviennent sur l’actualité des dernières 24 heures dans #SoirInfo
Marc Eynaud, journaliste à Boulevard Voltaire, sur la prière d’une étudiante musulmane dans une salle de classe à l’université de Reims : «On a complètement renoncé à les assimiler»
Frédéric Durand déplore qu’Emmanuel Macron n’ait toujours pas annoncé officiellement sa candidature aux élections présidentielles. Pour lui, cette posture de non-candidat lui fait échapper aux questions sur son projet. «Ce qu’on a envie de savoir, c’est ce qu’il va faire concrètement […] Je trouve ça particulièrement injuste».
