En coulisse : Processus de Paix
En coulisse de “Processus de Paix” réalisé par Ilan Klipper avec Camille Chamoux, Damien Bonnard, Jeanne Balibar, Ariane Ascaride…
En coulisse de “Processus de Paix” réalisé par Ilan Klipper avec Camille Chamoux, Damien Bonnard, Jeanne Balibar, Ariane Ascaride…
Dans la foulée de la manifestation parisienne qui a rassemblé des milliers de personnes, jeudi, des manifestants, artistes et techniciens, intermittents du spectacle, du tourisme et de la restauration, ont envahi le Théâtre national de l’Odéon.
Des banderoles ont été déroulées sur la façade de l’édifice parisien. Elles dénoncent un « gouvernement disqualifié », les « chômeurs non indemnisés » et exigent le « retrait des deux lettres de cadrage ». “On est en train de crever !”
Plusieurs milliers de professionnels du monde de la culture ont manifesté ce jeudi 4 mars partout en France, pour de nouveau crier leur ras-le-bol et exiger la réouverture des lieux culturels, un an après les premières mesures de fermeture. Le rassemblement parisien s’est tenu place de la République, à la mi journée avant de s’élancer vers 14h30, en direction de la Madeleine.
Année blanche
Concomitamment, une centaine de manifestants sont entrés dans le théâtre national de l’Odéon, qu’ils comptent “occuper toute la nuit”. “Nous ne sortirons pas avant qu’un conseil national des professionnels du spectacle soit convoqué avec Roselyne Bachelot et Jean Castex”, a annoncé Karine Huet, secrétaire générale adjointe du SNAM-CGT.
Le gouvernement, qui a fermé fin octobre les théâtres, musées et autres lieux culturels pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, n’a donné aucune date de réouverture, attendant le résultat de plusieurs “concerts-tests”.
L’année blanche, annoncée en mai 2020, qui correspond à la prolongation des droits d’indemnisation jusqu’au 31 août 2021 pour les intermittents arrivant en fin de droits entre le 1er mars 2020 et le 31 août 2021. Les professionnels de la culture exigent également sa prolongation jusqu’en août 2022.
Dans la foulée de la manifestation parisienne qui a rassemblé des milliers de personnes, jeudi, des manifestants, artistes et techniciens, intermittents du spectacle, du tourisme et de la restauration, ont envahi le Théâtre national de l’Odéon.
Des banderoles ont été déroulées sur la façade de l’édifice parisien. Elles dénoncent un « gouvernement disqualifié », les « chômeurs non indemnisés » et exigent le « retrait des deux lettres de cadrage ». “On est en train de crever !”
Plusieurs milliers de professionnels du monde de la culture ont manifesté ce jeudi 4 mars partout en France, pour de nouveau crier leur ras-le-bol et exiger la réouverture des lieux culturels, un an après les premières mesures de fermeture. Le rassemblement parisien s’est tenu place de la République, à la mi journée avant de s’élancer vers 14h30, en direction de la Madeleine.
Année blanche
Concomitamment, une centaine de manifestants sont entrés dans le théâtre national de l’Odéon, qu’ils comptent “occuper toute la nuit”. “Nous ne sortirons pas avant qu’un conseil national des professionnels du spectacle soit convoqué avec Roselyne Bachelot et Jean Castex”, a annoncé Karine Huet, secrétaire générale adjointe du SNAM-CGT.
Le gouvernement, qui a fermé fin octobre les théâtres, musées et autres lieux culturels pour lutter contre l’épidémie de Covid-19, n’a donné aucune date de réouverture, attendant le résultat de plusieurs “concerts-tests”.
L’année blanche, annoncée en mai 2020, qui correspond à la prolongation des droits d’indemnisation jusqu’au 31 août 2021 pour les intermittents arrivant en fin de droits entre le 1er mars 2020 et le 31 août 2021. Les professionnels de la culture exigent également sa prolongation jusqu’en août 2022.
En deux secondes, on a réussi à voler les informations d’une carte bancaire grâce au “sans contact”.
Cette technologie du “sans contact” que nous utilisons tous est-elle risquée ? On fait le point avec Valentin Squirelo.
En deux secondes, on a réussi à voler les informations d’une carte bancaire grâce au “sans contact”.
Cette technologie du “sans contact” que nous utilisons tous est-elle risquée ? On fait le point avec Valentin Squirelo.
Être fan de Lego peut vous rapporter beaucoup d’argent : on vous explique comment faire en une minute chrono
1er février 2021. Les promesses de transition démocratique pour la Birmanie volent en éclats. Les militaires réalisent le quatrième coup d’état de l’histoire du pays depuis son indépendance en 1948. Le chef des forces armées conteste les résultats des élections législatives de 2020 remportées, comme les précédentes, par la Ligue nationale pour la démocratie (LND), dirigée par Aung San Suu Kyi. Un nouveau camouflet pour la junte militaire qui décide d’imposer l’état d’urgence dans le pays et d’emprisonner ses opposants politiques, la prix Nobel de la paix en priorité. La Birmanie renoue alors avec un cycle morbide d’espérances démocratiques broyées par l’armée.
Mais un mouvement de désobéissance civile se met en place. Plusieurs centaines de milliers de manifestants défilent dans les grandes villes birmanes pour rejeter ce coup d’État et demander la libération de Mère « Suu ». Des manifestations réprimées brutalement par l’armée. Alors, pourquoi l’armée, qui détenait une partie du pouvoir politique, a-t-elle décidé de mettre fin à l’apaisement des dernières années ? Le parti d’Aung San Suu Kyi réussira-t-il à négocier avec la junte pour faire revenir le calme ?
Depuis 30 ans, Mike Horn parcourt la planète en quête de sensations fortes à travers des expéditions en terrains hostiles.
L’explorateur a titillé la mort à maintes reprises, comme lors de sa dernière aventure en Antarctique, en 2019.
Dans Planète Liza, il explique à Bixente Lizarazu comment il s’est laissé surprendre par une couche de glace beaucoup plus fine qu’escomptée…
C’était le souhait de Jean Paul II et de Benoît XVI. Mais c’est François qui le réalise.
Du 5 au 8 mars, le pape se rend en Irak pour un voyage apostolique historique. Parmi les axes qui sous-tendent cette visite : le soutien aux autorités irakiennes, la rencontre avec la communauté chrétienne, et le dialogue avec l’islam chiite.
François rencontrera notamment le grand ayatollah Ali Sistani, la plus haute autorité religieuse du chiisme. Et les mots prononcés, comme l’image de l’échange entre les deux hommes, vaudront message d’apaisement face à l’intolérance religieuse et politique qui sévit bien au-delà des frontières de l’Irak.
Questions posées à notre journaliste Jean-Dominique Merchet :
– C’est la première fois dans l’histoire qu’un successeur de saint Pierre se rend sur la terre d’Abraham et de Jonas. Quelles leçons spirituelles faut-il en tirer ?
– Après quatre décennies sanglantes, où en est l’Irak aujourd’hui ? La visite du pape doit-elle également s’interpréter comme une volonté de résoudre la crise politique ?
– Qui sont les chrétiens que le pape va rencontrer lors de son voyage et comment a évolué leur situation politique et sociale dans la région ?
– Après avoir rencontré les dirigeants les plus importants du monde sunnite ces dernières années, pourquoi le pape a-t-il choisi de s’entretenir avec le plus haut personnage de l’islam chiite, l’ayatollah Ali Husseini al-Sistani ?
C’était le souhait de Jean Paul II et de Benoît XVI. Mais c’est François qui le réalise.
Du 5 au 8 mars, le pape se rend en Irak pour un voyage apostolique historique. Parmi les axes qui sous-tendent cette visite : le soutien aux autorités irakiennes, la rencontre avec la communauté chrétienne, et le dialogue avec l’islam chiite.
François rencontrera notamment le grand ayatollah Ali Sistani, la plus haute autorité religieuse du chiisme. Et les mots prononcés, comme l’image de l’échange entre les deux hommes, vaudront message d’apaisement face à l’intolérance religieuse et politique qui sévit bien au-delà des frontières de l’Irak.
Questions posées à notre journaliste Jean-Dominique Merchet :
– C’est la première fois dans l’histoire qu’un successeur de saint Pierre se rend sur la terre d’Abraham et de Jonas. Quelles leçons spirituelles faut-il en tirer ?
– Après quatre décennies sanglantes, où en est l’Irak aujourd’hui ? La visite du pape doit-elle également s’interpréter comme une volonté de résoudre la crise politique ?
– Qui sont les chrétiens que le pape va rencontrer lors de son voyage et comment a évolué leur situation politique et sociale dans la région ?
– Après avoir rencontré les dirigeants les plus importants du monde sunnite ces dernières années, pourquoi le pape a-t-il choisi de s’entretenir avec le plus haut personnage de l’islam chiite, l’ayatollah Ali Husseini al-Sistani ?
VIDEO VOILE – Le Finlandais Ari Huusela (Stark) est le dernier des 25 marins à boucler le Vendée Globe, ce vendredi matin.