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Saint-Valentin: Aujourd'hui en amour "nous ne sommes plus à la recherche de l'âme soeur"

SAINT-VALENTIN – À l’approche de la Saint-Valentin, les études sur le couple se multiplient. Ces derniers jours, nous apprenons grâce à Happn que les qualités les plus recherchées par les célibataires sont la communication, la gentillesse, l’humour, l’attention ou encore la loyauté. Le cabinet de recrutement PageGroup explique quant à lui que 37% des Français ont déjà ressenti un petit quelque chose envers l’un de leur collègue de bureau.

Ces études obtiennent différents résultats qui nous permettent de dresser le tableau des endroits où il est plus fréquent de se rencontrer et des profils recherchés. Malgré tout, nous restons un peu dans le flou. Que recherche-t-on exactement? Qu’est-ce que le mot “amour” signifie en 2022? Que nous dit cette définition de notre société? La philosophe et autrice Eliette Abecassis s’est interrogée à ce sujet. Dans son livre De l’âme soeur à Tinder, elle réalise une analyse de la relation de plus en plus ambigüe que nous avons avec l’amour, grâce aux nombreux témoignages d’adolescents récoltés lors de son écriture.

"Pécresse est la seule qui peut vaincre Macron", pourquoi ces militants LR sont optimistes

L’espoir fait vivre. Et dimanche 13 février, il a fait vibrer près de 7000 personnes au Zénith de la Villette à Paris. Valérie Pécresse y tenait son premier grand meeting. Tandis que la campagne patine après sa victoire au congrès LR, elle était attendue au tournant, dans un exercice oral pas évident pour la candidate à l’élection présidentielle.

Valérie Pécresse : "Pas de fatalité, ni au grand déclassement, ni au grand remplacement"

Au début du mois de novembre, Valérie Pécresse disait “détester” l’expression “grand remplacement”, “parce qu’elle donne le sentiment que tout est foutu”. À la fin de ce même mois, alors qu’Éric Ciotti faisait sauter les digues sémantiques qui séparent la droite et l’extrême droite elle consentait à se l’approprier. Ce dimanche 13 février au Zénith de Paris, la candidate LR à la présidence de la République a confirmé ce virage, jusqu’à reprendre au mot près une formule utilisée par Éric Zemmour au meeting de Villepinte. 

“Il n’y a pas de fatalité, ni au grand déclassement, ni au grand remplacement”, a lancé la présidente de la région Île-de-France, soit le recyclage du discours et des obsessions du fondateur de Reconquête!, dont elle reprend le diagnostic d’une France ”à la croisée des chemins”.

Un sous-marin russe dans le détroit du Bosphore en Turquie

C’est une image surréaliste. Un sous-marin russe a traversé le détroit du Bosphore en Turquie, ce dimanche 13 mars. Il fait route vers la mer Noire, dans un contexte d’affrontement entre Moscou et l’Occident au sujet de l’Ukraine.

 Auparavant, six navires de débarquement de la marine russe avaient fait route vers la mer Noire par le détroit du Bosphore au cours de la semaine écoulée. Et plus de 30 navires de la flotte russe de la mer Noire ont commencé à s’entraîner près de la péninsule de Crimée dans le cadre d’exercices navals plus vastes, a rapporté l’agence de presse RIA en citant la flotte, alors que les nations occidentales ont mis en garde contre le risque d’une guerre en Ukraine à tout moment.

Nouvelle-Zélande: un cyclone n’a pas entamé la détermination des manifestants anti-vaccin

Le cyclone Dovi, qui a entraîné dimanche des coupures d’électricité, des glissements de terrain et des évacuations à travers la Nouvelle-Zélande, n’a pas découragé les manifestants anti-vaccin qui campent depuis six jours devant le parlement, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus.

Des centaines d’entre eux, inspirés par les convois anti-restrictions sanitaires des camionneurs canadiens, ont dansé dans la boue, sur une musique qui était destinée à les disperser. À l’image des camionneurs canadiens qui paralysent la capitale Ottawa, les manifestants néo-zélandais s’opposent aux mesures drastiques anti-Covid imposées par le gouvernement et demandent la fin de la vaccination requise pour les personnes travaillant dans certains secteurs comme la santé.

"Convois de la liberté" : lacrymogènes contre des manifestants sur les Champs-Elysée

Les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes samedi en début d’après midi pour disperser des manifestants issus des convois antipass, qui s’étaient donnés rendez-vous sur les Champs-Élysées à Paris.
Des milliers d’opposants au pass vaccinal, sous le nom de “convois de la liberté” et venus de toute la France, ont rejoint Paris samedi dans le but de manifester malgré l’interdiction de la préfecture de police, déterminée à empêcher tout blocage.
Vers 14h00, plus d’une centaine de véhicules avaient rejoint l’avenue, des automobilistes, certains dorénavant à pied, agitaient des drapeaux ou scandaient “liberté”. La situation s’est tendue: des gaz lacrymogènes ont été utilisés.
Les forces de l’ordre ont évacué les piétons qui étaient autour de l’Arc-de-triomphe, avant de repousser peu à peu les manifestants vers les jardins qui se trouvent à l’autre bout de cette célèbre artère de la capitale.
“On était depuis hier 17h00 sur Paris, tel un cheval de Troie. On était invisibles, on voulait se fondre dans la masse. Moi je suis gilet jaune mais y a beaucoup de primos manifestants. À 13H15, on a décidé de se rejoindre autour de l’Arc-de-Triomphe parce qu’on savait que plusieurs convois étaient là. Les convois en voiture c’était un test. On a d’autres manifestants qui vont venir aujourd’hui. On peut pas vacciner de force”, a déclaré Laure 57 ans monitrice d’auto école en Seine-et-Marne “contre le pass vaccinal”, en fuyant les lacrymogènes sur les Champs-Élysées.
“Même si Macron le veut pas, nous on est là, pour l’honneur des travailleurs et pour un monde meilleur”, chantaient des manifestants avant d’être dispersés.
Voitures, camping-cars et camionnettes sont partis de Nice, Lille, Strasbourg, Vimy (Pas-de-Calais) ou Châteaubourg (Ille-et-Vilaine), circulant pendant deux ou trois jours à vitesse réduite sur des routes secondaires pour rejoindre la capitale.
Après avoir campé aux portes de Paris vendredi soir, une partie des participants (3 000 véhicules pour 5 000 manifestants en tout selon la police) a rejoint samedi matin le périphérique parisien, où 337 personnes avaient été verbalisées vers 14h30 pour “participation à une manifestation non autorisée”, selon la préfecture de police de Paris.

"Convois de la liberté" : lacrymogènes contre des manifestants sur les Champs-Élysées

Les forces de l’ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes samedi en début d’après midi pour disperser des manifestants issus des convois antipass, qui s’étaient donnés rendez-vous sur les Champs-Élysées à Paris.
Des milliers d’opposants au pass vaccinal, sous le nom de “convois de la liberté” et venus de toute la France, ont rejoint Paris samedi dans le but de manifester malgré l’interdiction de la préfecture de police, déterminée à empêcher tout blocage.
Vers 14h00, plus d’une centaine de véhicules avaient rejoint l’avenue, des automobilistes, certains dorénavant à pied, agitaient des drapeaux ou scandaient “liberté”. La situation s’est tendue: des gaz lacrymogènes ont été utilisés.
Les forces de l’ordre ont évacué les piétons qui étaient autour de l’Arc-de-triomphe, avant de repousser peu à peu les manifestants vers les jardins qui se trouvent à l’autre bout de cette célèbre artère de la capitale.
“On était depuis hier 17h00 sur Paris, tel un cheval de Troie. On était invisibles, on voulait se fondre dans la masse. Moi je suis gilet jaune mais y a beaucoup de primos manifestants. À 13H15, on a décidé de se rejoindre autour de l’Arc-de-Triomphe parce qu’on savait que plusieurs convois étaient là. Les convois en voiture c’était un test. On a d’autres manifestants qui vont venir aujourd’hui. On peut pas vacciner de force”, a déclaré Laure 57 ans monitrice d’auto école en Seine-et-Marne “contre le pass vaccinal”, en fuyant les lacrymogènes sur les Champs-Élysées.
“Même si Macron le veut pas, nous on est là, pour l’honneur des travailleurs et pour un monde meilleur”, chantaient des manifestants avant d’être dispersés.
Voitures, camping-cars et camionnettes sont partis de Nice, Lille, Strasbourg, Vimy (Pas-de-Calais) ou Châteaubourg (Ille-et-Vilaine), circulant pendant deux ou trois jours à vitesse réduite sur des routes secondaires pour rejoindre la capitale.
Après avoir campé aux portes de Paris vendredi soir, une partie des participants (3 000 véhicules pour 5 000 manifestants en tout selon la police) a rejoint samedi matin le périphérique parisien, où 337 personnes avaient été verbalisées vers 14h30 pour “participation à une manifestation non autorisée”, selon la préfecture de police de Paris.

À Nice, le carnaval retrouve son public après deux années de Covid

“C’est festif, il fait beau, il y a des paillettes, ça fait du bien de sortir après le Covid”: comme Sarah Defigier, enseignante venue d’Aix-en-Provence, la foule ne cachait pas sa joie vendredi soir pour la cérémonie d’ouverture du carnaval de Nice.
Après une édition 2020 tronquée par le virus et une année blanche en 2021, l’événement, qui célébrait sa 137e édition, a retrouvé un public ravi. Et ce d’autant plus que ce traditionnel rendez-vous, dont la première édition remonte à 1873, est l’un des trois plus importants au monde avec ceux de Rio de Janeiro et de Venise, et surtout l’un des rares carnavals à se tenir cette année.
Les 5.000 privilégiés qui avaient réservé à temps leurs places, gratuites, ont pu assister assis dans des gradins à la cérémonie d’ouverture, ouverte au son des batucadas et d’un feu d’artifice.
Quelques-uns des chars des batailles de fleurs ou du corso carnavalesque ont ensuite défilé, suivis des troupes de danseurs et de tous les bénévoles ou professionnels impliqués dans la manifestation. Et pour ceux qui n’avaient pu réserver leur place, il ne restait plus qu’à se hisser sur la pointe des pieds pour apercevoir le roi du carnaval, un géant juché sur un aigle niçois en guise de trône, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus.
Dans l’après-midi, Niçois et touristes ont profité de l’installation, pour la première fois, d’un village du carnaval, pour s’amuser en famille.
”Ça fait plaisir que la carnaval revienne, c’est emblématique de la ville”, relevait Justine Airaut, venue avec son petit Hector de 5 ans déguisé en cosmonaute: “C’est la première fois qu’il vient au carnaval, l’an dernier j’avais été déçue de ne pas pouvoir l’y amener”.

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