Quelques minutes à peine après l’annonce de la mort de la reine Elizabeth II, jeudi 8 septembre, la capitale britannique s’est retrouvée sous le choc. Dans les rues, l’émotion était présente, avec de nombreux passants en larmes et en deuil.
Plusieurs responsables politiques internationaux ont commenté la mort de la reine Elizabeth II. Au Canada, le premier ministre Justin Trudeau s’est dit accablé par la disparition de « l’une des [ses] personnes préférées au monde.
Quelques heures après l’annonce de la mort de la reine Elizabeth II, jeudi 8 septembre, la première ministre britannique, Liz Truss, a prononcé un discours pour rendre hommage à la monarque. Elle a salué sa « dévotion » et a appelé les Britanniques à s’ « unir en tant que peuple ».
“Il y a quelques instants, le palais de Buckingham a annoncé le décès de sa majesté, la reine Elizabeth II”, a sobrement déclaré Huw Edwards, présentateur de la BBC.
Le président de la République a ouvert, jeudi 8 septembre, à Marcoussis (Essonne), le Conseil national de la refondation. Divers sujets y serons discutés, de l’école à la santé en passant par le grand âge. Le chef de l’Etat n’exclut pas que des référendums soient organisés pour laisser la population trancher sur certains thèmes.
La ville de Nîmes, dans le Gard, a subi de fortes intempéries, dans la nuit du 6 au 7 septembre. Météo-France a placé le département en vigilance rouge pendant quelques heures avant de repasser à l’orange.
L’entraîneur du Paris-Saint-Germain, Christophe Galtier, s’est attiré des critiques après une plaisanterie sur l’usage de l’avion par son équipe, lundi 5 septembre. Interrogé lors d’une conférence de presse, à la veille de la réception de la Juventus en Ligue des champions, sur les commentaires qui ont suivi le trajet aller-retour Paris-Nantes effectué en avion par son équipe ce week-end, le Parisien a déclaré dans un grand sourire envisager de prochains voyages en « char à voile ».
Cristina Kirchner, qui a dirigé l’Argentine de 2007 à 2015, a été visée par une tentative d’assassinat le 1er septembre. Lors d’un bain de foule, un homme l’a visée avec un pistolet, qui semble s’être enrayé.
Des dizaines de millions de Pakistanais ont été déplacés de force par les inondations exceptionnelles qui touchent le pays depuis plusieurs semaines. Des ONG s’organisent pour abriter les victimes, mais le relief montagneux rend la tâche difficile.
Que s’est-il passé le 30 juin 2022 à Khartoum, au Soudan ? Le régime militaire s’était engagé à laisser le peuple manifester pacifiquement. Pourtant, dès 8 heures du matin, il fait couper la connexion Internet dans tout le pays.
Le Monde a récolté et authentifié les images disponibles après le rétablissement du réseau Internet. Au total, elles permettent de documenter la mort d’au moins huit manifestants au cours de la journée, la plupart par balles. A travers le pays, de nombreux autres militants ont été blessés par balles, ou arrêtés et détenus par centaines.
Le même jour, les images montrent des agents des forces de l’ordre équipés de fusils d’assauts automatiques de type AK-47. Parmi les unités engagées figuraient notamment des agents de la réserve centrale de police (CRP). Différents observateurs et ONG reprochent ces agents des « violations sérieuses des droits de l’homme ». Ces accusations ont poussé les Etats-Unis à placer l’organisation sur sa liste de sanction financière en mars 2022. En cette fin juin 2022, aux côtés de la police de Khartoum, de la police antiémeute ainsi que de l’armée, elle a pris part à la violente répression des manifestants, essentiellement pacifiques.
Que s’est-il passé le 30 juin 2022 à Khartoum, au Soudan ? Abdel Fattah al-Burhan s’était engagé à laisser le peuple manifester pacifiquement. Pourtant, dès 8 heures du matin, le régime militaire fait couper la connexion Internet dans tout le pays.
Le Monde a récolté et authentifié les images disponibles après le rétablissement du réseau. Au total, elles permettent de documenter la mort d’au moins huit manifestants au cours de la journée, la plupart par balles. A travers le pays, de nombreux autres militants ont été blessés par balles, ou arrêtés et détenus par centaines.
