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« Nous vous pourchasserons », dit Joe Biden après les attentats près de l’aéroport de Kaboul

L’air grave, Joe Biden s’est exprimé à la Maison Blanche, jeudi 26 août, quelques heures après les attentats qui ont fait treize morts et au moins dix-huit blessés parmi les militaires américains, près de l’aéroport de Kaboul, en Afghanistan, où les Etats-Unis tentent de procéder à l’évacuation de milliers d’Américains et d’Afghans cherchant à fuir le pays après la prise de pouvoir des talibans.

Le bilan s’est, par ailleurs, alourdi : le ministère de la santé afghan a fait état de plus de 90 morts et 150 blessés, à la chaîne américaine CNN.

Exclusif : « Nous ne nous rendrons pas », prévient Amrullah Saleh, chef des derniers résistants…

L’ex-premier vice-président afghan, Amrullah Saleh, a pris la tête des derniers résistants au pouvoir taliban qui vient de prendre le contrôle de la quasi totalité de l’Afghanistan. Réfugié dans la vallée du Panchir (nord), là où l’ex-commandant Massoud a résisté aux talibans, entre 1996 et 2001, lorsque ceux-ci dirigeaient le pays, il s’exprime pour la première fois depuis la chute de Kaboul, le 15 août, et la fuite aux Emirats arabes unis du président Ashraf Ghani.

Dans un message audio, il assure, notamment, être prêt à négocier avec le nouveau régime et abandonner l’affrontement armé, si celui-ci donne « son mot à dire au peuple afghan sur le type d’Etat » qui présidera au destin du pays. Il ne précise pas ce qu’il attend des nouveaux maîtres de Kaboul en matière de participation des Afghans aux choix politiques et institutionnels. Les talibans ont d’ores-et-déjà indiqué qu’ils entendaient appliquer la charia et qu’ils mettraient en place un gouvernement de dieu.

M. Saleh a rejoint les derniers fidèles d’Ahmad Shah Massoud, fils du commandant Massoud, tué par Al-Qaida, en 2001, dans le Panchir. Cette vallée est aujourd’hui entourée par les combattants talibans et coupée de toutes voies d’approvisionnement et de soutien international. Si dans son message, il assure qu’il n’y aura de leur part « aucune reddition » ni « aucune déclaration d’allégeance », cette intervention ressemble aussi, à certains égards, à un baroud d’honneur et une main tendue faute de pouvoir réellement s’opposer militairement.

Canicules : les villes condamnées à devenir des fours ?

Les citadins devront-ils déserter les villes, pour survivre aux canicules ? Si rien n’est fait c’est probable. Car en ville, il fera encore plus chaud qu’ailleurs.

C’est à cause de l’effet d’îlot de chaleur urbain identifié il y a 200 ans à Londres. C’est-à-dire que la texture même des villes (morphologie, matériaux utilisés) retient la chaleur. Si cela était bien utile lors des rudes hivers du XIXe siècle, aujourd’hui, c’est un désastre pour les populations urbaines, 8 personnes sur 10 en France.

Alors de nombreuses métropoles cherchent à se réinventer pour limiter cet effet. Météo France a justement étudié l’impact des changements qui peuvent être apportés aux villes grâce à un outil de modélisation.

Des villes qui à l’instar de Lille, Lyon ou Paris, sont déjà engagées dans cette démarche.

Explications en images.

Images des incendies qui ravagent la Grèce et la Turquie

La Grèce est confrontée pour le quatrième jour d’affilée à des feux de forêt alimentés par une forte vague de a et des vents violents. Des milliers de personnes ont fui leurs maisons vendredi 6 août dans la banlieue d’Athènes.

Comme dans d’autres pays méditerranéens, les conditions météorologiques sont extrêmes cet été en Grèce où frappe une vague caniculaire inédite en plus de trois décennies.

L’épaisse fumée dégagée par les feux de forêt du mont Parnès, au nord d’Athènes, a assombri le ciel de la capitale.
Dans la Turquie voisine, les autorités luttent contre les pires incendies de forêt que le pays ait jamais connus, et des dizaines de milliers de personnes, dont des touristes, ont dû être évacuées. En Italie, des vents chauds ont attisé les flammes à travers la Sicile cette semaine.

Les images des incendies qui ravagent la Grèce et la Turquie

La Grèce fait face pour le quatrième jour d’affilée à des feux de forêt alimentés par une forte vague de chaleur et des vents violents. Des milliers de personnes ont fui leurs maisons, vendredi 6 août, dans la banlieue d’Athènes.

Comme dans d’autres pays méditerranéens, les conditions météorologiques sont extrêmes cet été en Grèce, où frappe la canicule la plus forte depuis plus de trois décennies.

L’épaisse fumée dégagée par les incendies du mont Parnès, au nord d’Athènes, a assombri le ciel de la capitale.

Dans la Turquie voisine, les autorités luttent contre les pires feux de forêt que le pays ait jamais connus et des dizaines de milliers de personnes, dont des touristes, ont dû être évacuées. En Italie, des vents chauds ont attisé les flammes à travers la Sicile cette semaine.

Comment les talibans reprennent l’Afghanistan

Vingt ans après le début de la guerre contre le terrorisme en Afghanistan, les États-Unis s’en vont. Depuis l’annonce du retrait des derniers soldats américains d’Afghanistan le 1er mai 2021, les talibans ont intensifié leur offensive contre Kaboul. En l’espace de trois mois, le groupe armé est passé de 78 districts contrôlés dans le pays à plus de deux cents, plus de la moitié du pays.

Les vidéos authentifiées et analysées par Le Monde attestent l’étendue de la reconquête talibane, jusqu’aux frontières du pays. La propagande du groupe islamiste montre une armée nationale afghane en déroute, des redditions sans combats préalables, et des captures de matériels militaires par les talibans. Le gouvernement afghan, quant à lui, met en avant la résistance de l’armée et des communautés locales. Malgré le soutien aérien américain aux forces afghanes, qui continue, les talibans se rapprochent progressivement des grandes villes.

Piégé dans le métro : des pluies meurtrières balayent la métropole chinoise de Zhengzhou

Des inondations « extrêmement graves » de l’aveu même du président Xi Jinping : la Chine est confrontée à des pluies torrentielles qui ont fait au moins 12 morts dans le métro d’une grande ville du centre du pays.

Des passagers qui s’accrochent aux poignées pendant que l’eau monte dans leur rame. Les scènes de chaos mardi à Zhengzhou, une ville de 10 millions d’habitants à 700 km au sud de Pékin, ont semé l’inquiétude dans le pays.

L’armée a été appelée en renfort à Zhengzhou (prononcer : « djangue-djo »), capitale de la province très peuplée du Henan, qui a reçu en trois jours presque l’équivalent d’une année de pluie.

Dès mercredi matin, pas moins de 200.000 habitants avaient dû être évacués, a annoncé la mairie, précisant que 36.000 personnes étaient « affectées » par les inondations.

La ville « a connu une série d’orages rares et violents, provoquant une accumulation d’eau dans le métro de Zhengzhou », ont déclaré les autorités locales sur le réseau social Weibo, ajoutant que 12 personnes avaient péri et que cinq autres avaient été blessées.

La métropole a été placée mardi en alerte rouge. Il s’agit du niveau d’alerte le plus élevé pour la météorologie en Chine.

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