Plus de 3 000 blessés en Iran depuis le début de la guerre
Le ministère de la santé iranien a affirmé que 3 056 personnes ont été blessées depuis le 13 juin, et 400 sont mortes.
Le ministère de la santé iranien a affirmé que 3 056 personnes ont été blessées depuis le 13 juin, et 400 sont mortes.
Une source militaire israélienne a affirmé, samedi, que l’armée avait à nouveau frappé « le site nucléaire d’Ispahan », dans le centre de l’Iran, plus d’une semaine après le début de la guerre entre l’Iran et Israël.
On dit d’elle qu’elle serait peut-être la seule à pouvoir atteindre le complexe nucléaire iranien de Fordo, mais seuls les Américains la possèdent… Voici la bombe perforante GBU-57. Vidéo : Alexis Tromas
Le traité de 1968 sur la non-prolifération nucléaire (TNP) reconnaît officiellement cinq puissances nucléaires. Depuis, quatre autres nations le sont devenues en-dehors du cadre juridique international.
À Nairobi, des affrontements ont eu lieu entre des manifestants et les forces de l’ordre, le 17 juin. À l’origine de ces protestations, la mort en détention d’un blogueur le 8 juin dernier. Lors de la manifestation, de nombreux éléments violents visiblement chargés de disperser la foule ont été aperçus aux côtés de la police kényane.
L’une des cibles prioritaires d’Israël en Iran est le site d’enrichissement d’uranium de Fordo. Mais l’atteindre est très compliqué. Des images par satellite permettent de mieux comprendre pourquoi.
En visite au salon du Bourget, le président français, Emmanuel Macron, a affirmé qu’une « offre de négociation » complète serait proposée à l’Iran en début d’après-midi. Celle-ci comprendrait : un accès de l’AIEA à toutes les infrastructures, pour aller vers le zéro enrichissement nucléaire ; un encadrement des activités balistiques ; un arrêt du financement des groupes terroristes qui déstabilisent la région ; la libération des otages.
En visite au salon du Bourget, le président français, Emmanuel Macron, a affirmé qu’une « offre de négociation » complète serait proposée à l’Iran en début d’après-midi. Celle-ci comprendrait : un accès de l’AIEA à toutes les infrastructures, pour aller vers le zéro enrichissement nucléaire ; un encadrement des activités balistiques ; un arrêt du financement des groupes terroristes qui déstabilisent la région ; la libération des otages.
Depuis le lancement de son attaque sur l’Iran, le 13 juin, Israël a frappé plusieurs sites nucléaires, dont le plus connu, celui de Natanz. Mais l’armée israélienne n’a pas réussi à atteindre un autre site nucléaire très important : le site d’enrichissement d’uranium de Fordo, situé à 150 kilomètres au sud de Téhéran. Elle en fait l’un de ses principaux objectifs : « Cette opération (…) doit vraiment être menée à bien avec la destruction de Fordo », a annoncé l’ambassadeur d’Israël aux Etats-Unis lors d’une interview sur Fox News, le 13 juin.
Le Monde a analysé des images par satellite du site de Fordo et interrogé des experts militaires. Ils montrent à quel point il est compliqué pour l’armée israélienne de détruire cette installation nucléaire. Le seul moyen : faire appel aux Etats-Unis, qui disposent d’une bombe spécifique, la GBU-57.
À Nairobi, des affrontements ont eu lieu entre des manifestants et les forces de l’ordre, le 17 juin. À l’origine de ces protestations, la mort en détention d’un blogueur le 8 juin dernier. Lors de la manifestation, de nombreux éléments violents visiblement chargés de disperser la foule ont été aperçus aux côtés de la police kényane.
Le Monde répond à vos questions : comment la population iranienne se positionne-t-elle vis-à-vis du régime ? Vidéo : Emilie Duhamel