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Le 13 novembre 2015, Christophe Molmy était chef de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) de Paris. A 22 h 15, il arrive devant le Bataclan avec ses équipes. L’un des terroristes vient d’être abattu, deux autres sont encore à l’intérieur et retiennent des otages. S’ensuivront deux heures durant lesquelles les policiers pénètrent dans la salle de spectacles, découvrent « l’horreur démesurée » des corps au sol, évacuent les victimes et tentent de négocier avec les ravisseurs à l’étage, avant de lancer l’assaut. Un assaut qui, « sur le papier, ne pouvait pas se passer bien », dans un couloir étroit, face à des terroristes équipés d’armes de guerre, permet finalement de libérer tous les otages, en vie.

Le 13 novembre 2015, 90 personnes sont mortes au Bataclan. Les attentats, qui ont aussi visé le Stade de France et plusieurs terrasses de cafés, ont coûté la vie à 132 personnes et ont fait plusieurs centaines de blessés.

En 2015, la quasi-totalité des pays du monde s’engageaient à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre en signant l’accord de Paris à l’issue de la COP21. Dix ans plus tard son objectif de maintenir le réchauffement climatique en dessous de 2 °C semble difficile à atteindre.

Dans la soirée mardi 11 novembre, plusieurs dizaines de manifestants indigènes se sont confrontés aux agents de sécurité de la COP30 à Belem en tentant de rentrer dans le site. Ces heurts tranchent avec la volonté du Brésil de faire de cette conférence « la meilleure COP en termes de participation indigène ».

L’ancien chef de la BRI raconte les négociations avec les terroristes, au Bataclan, le 13 novembre 2015. Cinq échanges téléphoniques, avec des hommes « énervés et instables », dont les policiers craignent qu’ils tentent de se faire exploser avec des otages face aux caméras du monde entier.
Une interview à retrouver en intégralité sur notre chaîne Youtube.

Dans la soirée mardi 11 novembre, plusieurs dizaines de manifestants indigènes se sont confrontés aux agents de sécurité de la COP30 à Belem en tentant de rentrer dans le site. Ces heurts tranchent avec la volonté du Brésil de faire de cette conférence « la meilleure COP en termes de participation indigène ».

Le 13 novembre 2015, Marie Hourcastagnou a été prise en otage dans un couloir du Bataclan. Elle raconte l’assaut qui l’a sauvée.
Grâce à des témoignages de premier plan, une reconstitution du Bataclan en 3D, et des documents rarement diffusés, « Le Monde » retrace les attentats terroristes du 13 novembre 2015, au Stade de France, sur des terrasses de cafés à Paris, et dans la salle du Bataclan.
Une vidéo à retrouver en intégralité sur notre chaîne YouTube.

Mercredi 12 novembre, l’Assemblée nationale se penchera sur la suspension de la réforme des retraites, proposée par le gouvernement de Sébastien Lecornu. Mais suspension ne veut pas dire abrogation, faisons le point.

A l’Hôtel national des Invalides, le chef de l’Etat a dévoilé la plaque en mémoire des Alsaciens et Mosellans incorporés de force au cours de la seconde guerre mondiale. Il s’est ensuite recueilli devant la statue de Georges Clemenceau aux Champs-Elysées avant de raviver la flamme du tombeau du Soldat inconnu.

A l’Hôtel national des Invalides, le chef de l’Etat a dévoilé la plaque en mémoire des Alsaciens et Mosellans incorporés de force au cours de la seconde guerre mondiale. Il s’est ensuite recueilli devant la statue de Georges Clemenceau aux Champs-Elysées avant de raviver la flamme du tombeau du Soldat inconnu.

L’Iran est confronté cette année à sa pire sécheresse depuis des décennies. Sur les 31 provinces que compte le pays, 15 n’ont pas reçu la moindre goutte de pluie au cours de l’automne. Le président iranien a averti, le 6 novembre, que Téhéran pourrait devoir être évacuée faute de pluie d’ici à la fin de l’année. De son côté, le gouvernement a annoncé qu’il procéderait à des coupures pendant la nuit, afin d’économiser l’eau.

L’Iran est confronté cette année à sa pire sécheresse depuis des décennies. Sur les 31 provinces que compte le pays, 15 n’ont pas reçu la moindre goutte de pluie au cours de l’automne. Le président iranien a averti, le 6 novembre, que Téhéran pourrait devoir être évacuée faute de pluie d’ici à la fin de l’année. De son côté, le gouvernement a annoncé qu’il procéderait à des coupures pendant la nuit, afin d’économiser l’eau.

Ces produits ultratransformés représenteraient plus de 30 % de l’animation d’un adulte en France, alors que les études démontrant leurs effets négatifs sur la santé se multiplient.