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Le premier hôtel-cinéma au monde ouvre à Paris

Alors que les salles obscures et les lieux de culture restent fermés en France, à cause des restrictions sanitaires liées au Covid-19, les frères Karmitz, co-directeurs des cinémas MK2, eux, viennent d’ouvrir un hôtel concept, unique au monde, où l’on peut se faire une toile comme au cinéma, depuis son lit. Bienvenue à l’hôtel Paradiso. « Quand j’ai su qu’on pouvait se faire un film comme au cinéma, dans une chambre d’hôtel au chaud dans son lit, j’ai immédiatement pris mon téléphone pour réserver une nuit ici », s’enthousiasme Marie-Christine, petit bagage à la main, en passant le check-in à la réception de l’hôtel Paradiso. Le cinéma lui manque. Comme à tous les cinéphiles. Elle qui habite dans le 17e arrondissement de la capitale, n’a pas eu à faire un grand voyage. Quelques stations de métro pour rejoindre le boulevard Diderot, dans le 12ème. Comme elle, Stéphane et son épouse se présentent à l’accueil de l’hôtel-ciné fraîchement ouvert depuis une semaine. Ils viennent du 93 et voulaient fêter leur 20 ans d’union dans « le seul endroit où l’on peut faire quelque chose d’exceptionnel dans Paris, après le couvre-feu », commente-t-il. Car derrière la devanture aux néons blancs, l’hôtel Paradiso offre ce qu’aucun autre établissement hôtelier au monde n’avait jusque-là proposé à ses clients : transformer chaque chambre en une salle de cinéma privée, à l’aide d’une simple tablette tactile, et en un seul clic. Elisha Karmitz, l’un des deux directeurs des cinémas MK2 n’est pas peu fier de dévoiler son concept et de voir les carnets de réservation se remplir à vue d’œil. « Le Paradiso, c’est un projet qui est né il y a déjà plusieurs années. On a voulu fusionner le cinéma et l’hôtellerie, proposer une autre façon de vivre le Septième Art, de manière plus cool. C’est vrai qu’on a choisi d’ouvrir pendant une période où c’est très risqué, mais on s’est dit qu’au contraire que c’est une opportunité d’offrir aux gens la possibilité de venir se détendre, de sortir d’un quotidien assez morose ». Sur sept étages, l’hôtel-ciné compte 34 chambres et deux suites. Comme au cinéma, on peut y manger du pop-corn ( bio ), des snacks en tout genre et comme à l’hôtel, on peut se faire livrer un repas en room service. Côté programmation, évidemment, pas de films à l’affiche. Il n’y en a plus depuis fin octobre. Mais les cinéphiles auront de quoi faire, entre la sélection du catalogue MK2 Curiosity et l’accès aux plateformes Mubi, Carlotta, Arte, Netflix ou encore Disney +. A voir les nombreux clients qui passent la porte du Paradiso, tout sourire, le soir (avant 18 heures) de notre tournage, on comprend que l’envie de retrouver le chemin des salles obscures, de retrouver un semblant de normalité, n’a jamais été aussi forte. « J’ai l’impression d’avoir presque oublié ce que ça faisait de sortir voir un film au cinéma », ironise un des clients du soir.

Le Polar Pod, navire vertical futuriste de 100 m de haut, va faire le tour de l’Antarctique

Le Polar Pod va littéralement partir à la dérive. Pendant 3 ans, le navire vertical sans moteur sera porté par le courant circumpolaire. Il fera le tour de l’Antarctique deux fois, donc il fera deux fois le tour du monde. Il n’avancera pas très vite, environ 1 km/h et c’est voulu. L’équipage est composé de trois marins et quatre scientifiques qui feront marcher « un arbre de noël de capteurs », comme dit Jean-Louis Etienne. « Les mesures seront envoyées à terre quasiment en temps réel et seront disponibles pour la communauté scientifique internationale », poursuit l’explorateur. Ce navire est une potentielle mine d’or d’informations sur le climat, la biodiversité et la pollution en Antarctique.

Il y a un an, les rues de Paris désertées pendant le premier confinement

Des habitants confinés entre quatre murs, des Parisiens fuyant la capitale pour la province, des rues plus que fluides et soudain le vrombissement des voitures qui s’est tu. Il y a un an, en 2020, sous l’effet dévastateur du coronavirus, à l’instar d’autres capitales européennes, Paris se confinait. Sous un soleil resplendissant et un ciel qui n’avait jamais été aussi bleu, les Parisiens ont vécu pendant près de trois mois, cloîtrés, avec interdiction de sortir, si ce n’est une heure pas jour avec une attestation . Ces images d’un Paris fantôme sont à redécouvrir un an plus tard, alors que de « nouvelles décisions » seront prises, « sans doute », « dans les jours qui viennent », a averti Emmanuel Macron, signe que l’heure est grave. Alors que la menace d’un reconfinement plane sur l’Ile-de-France, le Premier ministre et le ministre de la Santé prendront la parole conjointement jeudi, à 18 heures, pour annoncer de nouvelles mesures sanitaires pour lutter contre le Covid-19, qui s’appliqueront notamment aux Hauts-de-France et à l’Île-de-France.

Carla Valette, l’étudiante en médecine qui cartonne sur TikTok

Il lui suffit de quelques secondes, d’une modélisation 3D ou parfois seulement d’un fruit pour illustrer et expliquer un phénomène médical. Étudiante en 5e année de médecine à Toulouse, Carla Valette poste depuis novembre dernier de courtes vidéos pédagogiques sur l’application TikTok. « La médecine c’est compliqué, il y a plein de mots barbares », explique la jeune femme de 23 ans. « Moi je ne suis pas sur le côté anxiogène, […] mais je raconte les phénomènes étonnants du corps humain, comment on fonctionne. »

Nouvelle carte d’identité : un objet « plus sécurisée » et « plus pratique », selon Shiappa

Marlène Shiappa a présenté mardi la nouvelle carte nationale d’identité qui sera mise en circulation dès le mois d’août, pour respecter la législation européenne, un document présenté comme « plus sécurisé » grâce à la biométrie et destiné à mieux lutter contre la fraude. De la taille d’une carte bancaire, un format « harmonisé avec celui des autres pays de l’Union européenne », cette nouvelle carte, baptisée « CNIe » et faite en polycarbonate et inscriptions laser, est produite depuis mardi sur le site d’IN Groupe (ex-Imprimerie nationale) à Flers-en-Escrebieux, près de Douai (Nord).

Un an après, des acteurs lisent les lettres de proches ayant perdu un être aimé du Covid-19

Ils sont décédés il y a 1 an. De nombreux acteurs lisent les lettres de proches de victimes décédées du Covid-19. Des proches, qui pour beaucoup, n’ont pas pu faire leur deuil. Leurs amis ou membres de leur famille sont pour la plupart décédés dans un hôpital ou dans un EHPAD. Conformément aux mesures sanitaires, les proches n’avaient pas le droit de rendre visite à leurs biens aimés. Des dizaines d’acteurs et comédiens prêtent leur voix aux maux des familles et amis endeuillés.

Thomas Pesquet, premier commandant de bord français à bord de la Station spatiale internationale

« Je suis incroyablement honoré ! », s’est réjoui l’astronaute, lors d’une conférence de presse en ligne de l’Agence spatiale européenne (ESA), qui lui a assigné cette fonction de commandant en accord avec les autres agences spatiales partenaires de l’ISS (Etats-Unis, Russie, Japon et Canada).
C’est une première pour un astronaute français. Pour sa deuxième mission en orbite, « Alpha », Thomas Pesquet sera aux commandes de la Station spatiale internationale (ISS), pour laquelle il doit s’envoler le 22 avril depuis la Floride. Intégré à l’Agence spatiale européenne (ESA), le Français y a déjà effectué un premier séjour, de novembre 2016 à juin 2017.
400 kilomètres au-dessus de la Terre
A 43 ans, celui qui a été pilote de ligne prendra les maîtresses décisions à quelque 400 kilomètres au-dessus de la Terre, durant environ un mois, vers la fin de son séjour de six mois. « C’est comme un bateau, il y a un seul maître à bord après Dieu », a commenté Thomas Pesquet. Évidemment, il y a beaucoup de choses qui se décident au centre de contrôle au sol », a-t-il expliqué, mais « quand ça va mal et qu’il faut réagir vite, c’est le commandant qui décide, qui assigne un peu les tâches, par exemple si on doit faire face à un départ de feu ou une dépressurisation ».
« J’ai la chance d’être le premier Français aux commandes d’un véhicule spatial. C’est grâce à l’histoire, à la place de la France et de l’Europe dans les vols habités, c’est une reconnaissance pour tout le monde », s’est félicité l’astronaute.
La fonction de commandant est exercée tour à tour par les membres désignés de l’équipage de l’ISS. Autre première de la mission « Alpha » : Thomas Pesquet sera le premier Européen à rejoindre l’ISS à bord d’un vaisseau privé américain, la capsule Crew-2 Dragon de Space X, qui doit décoller depuis le Kennedy Space Center en Floride le 22 avril, avec trois autres astronautes (les Américains Megan Mc Arthur et Shane Kimbrough, et le Japonais Akihiko Hoshide).

Manifestation contre la loi sur la sécurité globale : « Il faut se mobiliser même si c’est le…

Devant le Sénat où le projet de loi portée par le ministre de l’Intérieur et déjà voté à l’Assemblée Nationale doit être examiné, les manifestants étaient peu nombreux. Malgré une mobilisation en baisse, les opposants à la loi continuent de demander son retrait total.
« Ça sert à rien mais on est encore là » Isabelle, manifestante de la première heure contre la loi dite de Sécurité Globale, continue de répondre présente aux rassemblements.

« Les pancartes se rétrécissent et dans la foule il y en a de moins en moins » explique-t-elle non sans humour. La loi a déjà été votée par l’Assemblée Nationale en décembre 2020. « Je ne comprends pas comment les députés ont laissé passer ça », explique Pierre, lui aussi manifestant depuis les débuts de la mobilisation.

« Je ne comprendrais pas comment les sénateurs pourraient laisser passer ça. Ce serait une défaite de notre démocratie, rajoute-t-il. Il faut continuer à se mobiliser même si ça paraît être notre dernier espoir ». Retrouvez notre reportage avec les manifestants contre la loi de sécurité globale devant le Sénat.

On a testé la Dacia Spring, une voiture électrique à 12.000 euros

Dacia avait pour ambition de mettre sur le marché “la moins chère des voitures électriques citadines”. Pari réussi avec la Spring, la première voiture électrique low-cost,que le constructeur automobile roumain commercialise au prix de 16 990 euros pour le modèle le moins cher, soit 12 403 euros, bonus écologique déduit.

Un prix particulièrement bas pour ce type de voitures : à titre de comparaison, la Renault Twingo ZE, jusqu’alors le modèle électrique le plus abordable, est mise en vente à près de 3 500 euros de plus ; et la Renault Zoé, la voiture électrique la plus vendue en 2020, environ 25 000 euros, bonus écologique déduit.

« On démocratise l’électrique avec Spring. C’est la voiture la plus abordable du marché sur ce segment », assure Camille Soulat, de la direction commerciale monde de Dacia. Comment expliquer un prix si faible ? « En chassant les coûts inutiles et superflus. Pas de recherche de la dernière technologie, mais plutôt des technologies qui ont fait leurs preuves », ajoute Régis Macaluso, chef de produit chez Dacia.

Avec une autonomie allant jusqu’à 300 km lorsqu’elle est utilisée uniquement en ville, le constructeur a imaginé cette citadine comme deuxième voiture, ou pour les trajets courts autour du domicile.

La Spring sera commercialisée en précommande dès ce samedi, et livrée à partir de septembre.

Que vaut vraiment cette voiture à bas prix ? Nous l’avons testée.

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