Cookie Settings Leparisien – Page 1152 – Squid Videos

Leparisien

On a testé la Dacia Spring, une voiture électrique à 12 000 euros

Dacia avait pour ambition de mettre sur le marché “la moins chère des voitures électriques citadines”. Pari réussi avec la Spring, la première voiture électrique low-cost,que le constructeur automobile roumain commercialise au prix de 16 990 euros pour le modèle le moins cher, soit 12 403 euros, bonus écologique déduit.

Un prix particulièrement bas pour ce type de voitures : à titre de comparaison, la Renault Twingo ZE, jusqu’alors le modèle électrique le plus abordable, est mise en vente à près de 3 500 euros de plus ; et la Renault Zoé, la voiture électrique la plus vendue en 2020, environ 25 000 euros, bonus écologique déduit.

« On démocratise l’électrique avec Spring. C’est la voiture la plus abordable du marché sur ce segment », assure Camille Soulat, de la direction commerciale monde de Dacia. Comment expliquer un prix si faible ? « En chassant les coûts inutiles et superflus. Pas de recherche de la dernière technologie, mais plutôt des technologies qui ont fait leurs preuves », ajoute Régis Macaluso, chef de produit chez Dacia.

Avec une autonomie allant jusqu’à 300 km lorsqu’elle est utilisée uniquement en ville, le constructeur a imaginé cette citadine comme deuxième voiture, ou pour les trajets courts autour du domicile.

La Spring sera commercialisée en précommande dès ce samedi, et livrée à partir de septembre.

Que vaut vraiment cette voiture à bas prix ? Nous l’avons testée.

Covid-19 : les autotests, comment ça marche ?

Feu vert pour les autotests. La Haute Autorité de Santé (HAS) s’est prononcée, ce mardi, en faveur de l’utilisation des autotests Covid-19 dans certains cas. Dans un avis rendu ce mardi, la HAS préconise notamment leur utilisation « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans dans le cadre d’une utilisation restreinte à la sphère privée » ou « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans, dans le cadre d’un dépistage itératif ciblé à large échelle ». En cas d’autotest positif, le résultat devra ensuite être confirmé par un test PCR.

Comme l’avait laissé entendre Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, ces autotests devraient donc bientôt être disponibles en France. Reste à savoir s’ils seront remboursés et où on pourra les trouver (pharmacies, supermarchés…). A titre indicatif, celui que nous avons fait tester coûte entre 5 et 7 euros dans les pays où il est commercialisé. Déjà disponibles ailleurs (Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Autriche, Allemagne, etc…), ces tests sont des tests antigéniques que l’on peut faire soi-même et dont le résultat est disponible en 20 minutes environ. Autre avantage, le protocole est moins désagréable puisque l’écouvillon est introduit moins profondément.

En attendant que ces tests arrivent sur le marché français, Xavier Guérin, président d’Innova Europe, qui fabrique des autotests utilisés actuellement dans plusieurs pays, s’est prêté au jeu de la démonstration.

Chambre avec vue sur ours polaire

Un hôtel chinois qui a ouvert ses portes ce vendredi est dans le collimateur des défenseurs des animaux car il exhibe des ours polaires pour le seul plaisir de ses clients.

En Chine, l’ouverture d’un hôtel exhibant des ours polaires en captivité suscite l’indignation

A peine ouvert, un hôtel chinois se retrouve dans le collimateur des défenseurs des animaux. Et pour cause, l’établissement exhibe des ours polaires pour le seul plaisir de ses clients. L’hôtel se situe à Harbin, capitale d’une province frontalière avec la Sibérie russe, au nord-est du pays. Les hivers y sont rudes, avec des températures pouvant atteindre les -20 °C, et les étés peuvent être longs et chauds.

Les larges fenêtres en verre des chambres permettent aux clients d’avoir une vue panoramique sur les ours installés dans le patio central, surmonté d’une verrière et dans lequel sont installés bassins, rochers et stalactites factices. Une vidéo montre les grands mammifères, considérés comme une espèce menacée, photographiés par de nombreux visiteurs sous une forte lumière artificielle.

« La place des ours polaires est dans l’Arctique, pas dans des zoos ou des aquariums en verre et certainement pas dans des hôtels », a réagi Jason Baker, le vice-président pour l’Asie de l’association de défense des animaux Peta, basée aux Etats-Unis. Il dénonce un établissement « qui profite de la détresse des animaux », alors que le territoire naturel des ours blancs sauvages s’étend généralement sur plusieurs milliers de kilomètres.

L’Agence européenne des médicaments reste « fermement convaincue » des bénéfices du vaccin…

Alors que de nombreux pays européens, dont l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne et le Portugal, suspendent par précaution l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, l’Agence européenne des médicaments (EMA) reste « fermement convaincue » des bénéfices du vaccin AstraZeneca contre le Covid-19, annonce sa directrice, après le signalement de caillots sanguins possibles mais sans lien avéré à ce stade.
La directrice de l’Agence européenne des médicaments (EMA) affirme que l’agence « examine » les effets « indésirables associés à tous les vaccins » contre le coronavirus, alors que l’agence enquête sur des cas de caillots sanguins potentiellement liés au vaccin AstraZeneca.

Variant breton : ni plus grave ni plus transmissible que le virus historique

Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 a été détecté en Bretagne, a annoncé lundi la Direction générale de la santé (DGS), précisant que des investigations sont en cours pour en évaluer la transmissibilité et la sévérité.
En attendant, ce variant a été classé dans la catégorie “à suivre” par les autorités, celle qui regroupe la plupart des milliers de variants qui apparaissent naturellement dans le monde, et dont seule une petite proportion poseront finalement des problèmes particuliers de santé publique, par exemple s’ils s’avèrent plus transmissibles.
Les autorités sanitaires ont tout d’abord détecté en Bretagne plusieurs cas de malades présentant les symptômes du Covid, “rattachés à un cluster” mais dont les tests PCR étaient négatifs. Les premières analyses du nouveau variant “breton”ne permettent à ce stade de conclure “ni à une gravité ni à une transmissibilité accrues” par rapport au virus historique, déclare le directeur général de l’ARS Bretagne, Stéphane Mulliez, lors d’une conférence de presse à Saint-Brieuc (Côtes d’Armor).

Le variant breton «difficilement détectable», serait ni plus grave ni plus transmissible

Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 a été détecté en Bretagne, a annoncé lundi la Direction générale de la santé (DGS), précisant que des investigations sont en cours pour en évaluer la transmissibilité et la sévérité.
En attendant, ce variant a été classé dans la catégorie “à suivre” par les autorités, celle qui regroupe la plupart des milliers de variants qui apparaissent naturellement dans le monde, et dont seule une petite proportion poseront finalement des problèmes particuliers de santé publique, par exemple s’ils s’avèrent plus transmissibles.
Les autorités sanitaires ont tout d’abord détecté en Bretagne plusieurs cas de malades présentant les symptômes du Covid, “rattachés à un cluster” mais dont les tests PCR étaient négatifs. Les premières analyses du nouveau variant “breton”ne permettent à ce stade de conclure “ni à une gravité ni à une transmissibilité accrues” par rapport au virus historique, déclare le directeur général de l’ARS Bretagne, Stéphane Mulliez, lors d’une conférence de presse à Saint-Brieuc (Côtes d’Armor).

AstraZeneca : les vaccinés «ne sont pas en danger», assure Véran

« Je fais partie de ces Français qui ont reçu une injection d’AstraZeneca. Les gens ne sont pas en danger parce qu’ils auraient été vaccinés par AstraZeneca », assure Olivier Véran, alors que plusieurs pays ont suspendu la vaccination avec ce vaccin anti-Covid. Le ministre français de la Santé espère que “le verdict de la part de la communauté scientifique européenne” sur le vaccin AstraZeneca va permettre “de reprendre la campagne de vaccination” avec ce vaccin anti-Covid suspendu par plusieurs pays, dont la France.

Un vaccinodrome au Vélodrome : «Ça fait plaisir de revenir au stade», se réjouit un Marseillais

« C’est probablement l’un des plus grands centres de vaccination en France et c’était très symbolique d’ouvrir le Vélodrome », s’honore Benoît Payan, maire PS de Marseille. Dans la cité phocéenne, le rythme des injections va accélérer après l’inauguration lundi d’un centre de vaccination dans les locaux de la tribune Ganay. 500 personnes se sont inscrites pour être inoculées dans le mythique stade de l’OM, ouvert 6 jours sur 7, de 9 heures à 17 heures.

Faut-il craindre le vaccin d’AstraZeneca ? « Ce n’est pas un sérum de seconde zone ! », selon l…

La France, à son tour, a décidé lundi de « suspendre par précaution » l’utilisation du vaccin AstraZeneca, en attendant un avis de l’autorité européenne du médicament qui sera rendu mardi après-midi, a annoncé Emmanuel Macron lors d’une conférence de presse à Montauban. Cette annonce intervient après des suspicions de cas de thromboses et de coagulation chez plusieurs personnes vaccinées avec le produit développé par le laboratoire anglo-suédois.
Le professeur Daniel Camus, infectiologue à l’Institut Pasteur de Lille et membre du Haut Conseil de la santé publique, veut que les choses soient bien claires : « le vaccin AstraZeneca n’est pas un vaccin de seconde zone, il est soumis, comme les autres, aux mêmes règles pour être mis sur le marché européen et français ». Le médecin appelle au calme et à la raison, « attendons le résultat des investigations qui sont actuellement menées pour trancher définitivement », conclut-il.

Pendant ce temps-là, au Texas, la foire aux serpents à sonnette bat son plein

A Sweetwater au Texas, la levée des restrictions dues au Covid a permis à la plus grande foire annuelle du serpent à sonnette des Etats-Unis d’avoir lieu. Et elle a fait le plein d’amateurs la plupart non masqués.
Dans cet Etat conservateur des Etats-Unis, la chasse aux serpents à sonnettes est une vraie passion. Qui a sa propre foire depuis plus de 60 ans. Le principe est de capturer un maximum de serpents à sonnettes pour les vendre ou les exposer dans des concours. Dans les allées, on peut apprendre à dépecer un serpent, en consommer ou acheter des produits dérivés. Âmes sensibles s’abstenir.
« C’est la vie de l’ouest du Texas, vous savez? On a des gens qui viennent d’autres villes ou d’autres Etats. On a ce qu’on appelle notre famille de crotales, vous voyez? Des gens qui viennent, et qui reviennent chaque année. Notre famille ne cesse de s’agrandir. Tout le monde dit: Je reviendrai l’année prochaine. Je m’amuse bien, on reviendra l’année prochaine ! » se rengorge Bo Browning, un chasseur de serpents.
La foire, c’est aussi l’occasion de réviser les bonnes pratiques et les gestes à faire en cas de morsures ou de rencontre avec l’un de ces spécimens. « Dans cette région, on vit vraiment avec eux. Peu importe que vous soyez dans une grande ville ou une petite commune, un jour ou l’autre, vous risquez de croiser l’une de ces créatures, et notre message général est de savoir quoi faire lorsque vous en rencontrez une. Et si nous sommes capables de transmettre ces connaissances à d’autres personnes, et si quelqu’un est sauvé grâce à l’une des choses que nous lui avons enseignées et qu’il a apprises lors de notre événement, alors ce week-end aura été un succès » conclut Red Hurd, un bénévole.

Close Bitnami banner
Bitnami