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Carla Valette, l’étudiante en médecine qui cartonne sur TikTok

Il lui suffit de quelques secondes, d’une modélisation 3D ou parfois seulement d’un fruit pour illustrer et expliquer un phénomène médical. Étudiante en 5e année de médecine à Toulouse, Carla Valette poste depuis novembre dernier de courtes vidéos pédagogiques sur l’application TikTok. « La médecine c’est compliqué, il y a plein de mots barbares », explique la jeune femme de 23 ans. « Moi je ne suis pas sur le côté anxiogène, […] mais je raconte les phénomènes étonnants du corps humain, comment on fonctionne. »

Nouvelle carte d’identité : un objet « plus sécurisée » et « plus pratique », selon Shiappa

Marlène Shiappa a présenté mardi la nouvelle carte nationale d’identité qui sera mise en circulation dès le mois d’août, pour respecter la législation européenne, un document présenté comme « plus sécurisé » grâce à la biométrie et destiné à mieux lutter contre la fraude. De la taille d’une carte bancaire, un format « harmonisé avec celui des autres pays de l’Union européenne », cette nouvelle carte, baptisée « CNIe » et faite en polycarbonate et inscriptions laser, est produite depuis mardi sur le site d’IN Groupe (ex-Imprimerie nationale) à Flers-en-Escrebieux, près de Douai (Nord).

Un an après, des acteurs lisent les lettres de proches ayant perdu un être aimé du Covid-19

Ils sont décédés il y a 1 an. De nombreux acteurs lisent les lettres de proches de victimes décédées du Covid-19. Des proches, qui pour beaucoup, n’ont pas pu faire leur deuil. Leurs amis ou membres de leur famille sont pour la plupart décédés dans un hôpital ou dans un EHPAD. Conformément aux mesures sanitaires, les proches n’avaient pas le droit de rendre visite à leurs biens aimés. Des dizaines d’acteurs et comédiens prêtent leur voix aux maux des familles et amis endeuillés.

Thomas Pesquet, premier commandant de bord français à bord de la Station spatiale internationale

« Je suis incroyablement honoré ! », s’est réjoui l’astronaute, lors d’une conférence de presse en ligne de l’Agence spatiale européenne (ESA), qui lui a assigné cette fonction de commandant en accord avec les autres agences spatiales partenaires de l’ISS (Etats-Unis, Russie, Japon et Canada).
C’est une première pour un astronaute français. Pour sa deuxième mission en orbite, « Alpha », Thomas Pesquet sera aux commandes de la Station spatiale internationale (ISS), pour laquelle il doit s’envoler le 22 avril depuis la Floride. Intégré à l’Agence spatiale européenne (ESA), le Français y a déjà effectué un premier séjour, de novembre 2016 à juin 2017.
400 kilomètres au-dessus de la Terre
A 43 ans, celui qui a été pilote de ligne prendra les maîtresses décisions à quelque 400 kilomètres au-dessus de la Terre, durant environ un mois, vers la fin de son séjour de six mois. « C’est comme un bateau, il y a un seul maître à bord après Dieu », a commenté Thomas Pesquet. Évidemment, il y a beaucoup de choses qui se décident au centre de contrôle au sol », a-t-il expliqué, mais « quand ça va mal et qu’il faut réagir vite, c’est le commandant qui décide, qui assigne un peu les tâches, par exemple si on doit faire face à un départ de feu ou une dépressurisation ».
« J’ai la chance d’être le premier Français aux commandes d’un véhicule spatial. C’est grâce à l’histoire, à la place de la France et de l’Europe dans les vols habités, c’est une reconnaissance pour tout le monde », s’est félicité l’astronaute.
La fonction de commandant est exercée tour à tour par les membres désignés de l’équipage de l’ISS. Autre première de la mission « Alpha » : Thomas Pesquet sera le premier Européen à rejoindre l’ISS à bord d’un vaisseau privé américain, la capsule Crew-2 Dragon de Space X, qui doit décoller depuis le Kennedy Space Center en Floride le 22 avril, avec trois autres astronautes (les Américains Megan Mc Arthur et Shane Kimbrough, et le Japonais Akihiko Hoshide).

Manifestation contre la loi sur la sécurité globale : « Il faut se mobiliser même si c’est le…

Devant le Sénat où le projet de loi portée par le ministre de l’Intérieur et déjà voté à l’Assemblée Nationale doit être examiné, les manifestants étaient peu nombreux. Malgré une mobilisation en baisse, les opposants à la loi continuent de demander son retrait total.
« Ça sert à rien mais on est encore là » Isabelle, manifestante de la première heure contre la loi dite de Sécurité Globale, continue de répondre présente aux rassemblements.

« Les pancartes se rétrécissent et dans la foule il y en a de moins en moins » explique-t-elle non sans humour. La loi a déjà été votée par l’Assemblée Nationale en décembre 2020. « Je ne comprends pas comment les députés ont laissé passer ça », explique Pierre, lui aussi manifestant depuis les débuts de la mobilisation.

« Je ne comprendrais pas comment les sénateurs pourraient laisser passer ça. Ce serait une défaite de notre démocratie, rajoute-t-il. Il faut continuer à se mobiliser même si ça paraît être notre dernier espoir ». Retrouvez notre reportage avec les manifestants contre la loi de sécurité globale devant le Sénat.

On a testé la Dacia Spring, une voiture électrique à 12.000 euros

Dacia avait pour ambition de mettre sur le marché “la moins chère des voitures électriques citadines”. Pari réussi avec la Spring, la première voiture électrique low-cost,que le constructeur automobile roumain commercialise au prix de 16 990 euros pour le modèle le moins cher, soit 12 403 euros, bonus écologique déduit.

Un prix particulièrement bas pour ce type de voitures : à titre de comparaison, la Renault Twingo ZE, jusqu’alors le modèle électrique le plus abordable, est mise en vente à près de 3 500 euros de plus ; et la Renault Zoé, la voiture électrique la plus vendue en 2020, environ 25 000 euros, bonus écologique déduit.

« On démocratise l’électrique avec Spring. C’est la voiture la plus abordable du marché sur ce segment », assure Camille Soulat, de la direction commerciale monde de Dacia. Comment expliquer un prix si faible ? « En chassant les coûts inutiles et superflus. Pas de recherche de la dernière technologie, mais plutôt des technologies qui ont fait leurs preuves », ajoute Régis Macaluso, chef de produit chez Dacia.

Avec une autonomie allant jusqu’à 300 km lorsqu’elle est utilisée uniquement en ville, le constructeur a imaginé cette citadine comme deuxième voiture, ou pour les trajets courts autour du domicile.

La Spring sera commercialisée en précommande dès ce samedi, et livrée à partir de septembre.

Que vaut vraiment cette voiture à bas prix ? Nous l’avons testée.

On a testé la Dacia Spring, une voiture électrique à 12 000 euros

Dacia avait pour ambition de mettre sur le marché “la moins chère des voitures électriques citadines”. Pari réussi avec la Spring, la première voiture électrique low-cost,que le constructeur automobile roumain commercialise au prix de 16 990 euros pour le modèle le moins cher, soit 12 403 euros, bonus écologique déduit.

Un prix particulièrement bas pour ce type de voitures : à titre de comparaison, la Renault Twingo ZE, jusqu’alors le modèle électrique le plus abordable, est mise en vente à près de 3 500 euros de plus ; et la Renault Zoé, la voiture électrique la plus vendue en 2020, environ 25 000 euros, bonus écologique déduit.

« On démocratise l’électrique avec Spring. C’est la voiture la plus abordable du marché sur ce segment », assure Camille Soulat, de la direction commerciale monde de Dacia. Comment expliquer un prix si faible ? « En chassant les coûts inutiles et superflus. Pas de recherche de la dernière technologie, mais plutôt des technologies qui ont fait leurs preuves », ajoute Régis Macaluso, chef de produit chez Dacia.

Avec une autonomie allant jusqu’à 300 km lorsqu’elle est utilisée uniquement en ville, le constructeur a imaginé cette citadine comme deuxième voiture, ou pour les trajets courts autour du domicile.

La Spring sera commercialisée en précommande dès ce samedi, et livrée à partir de septembre.

Que vaut vraiment cette voiture à bas prix ? Nous l’avons testée.

Covid-19 : les autotests, comment ça marche ?

Feu vert pour les autotests. La Haute Autorité de Santé (HAS) s’est prononcée, ce mardi, en faveur de l’utilisation des autotests Covid-19 dans certains cas. Dans un avis rendu ce mardi, la HAS préconise notamment leur utilisation « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans dans le cadre d’une utilisation restreinte à la sphère privée » ou « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans, dans le cadre d’un dépistage itératif ciblé à large échelle ». En cas d’autotest positif, le résultat devra ensuite être confirmé par un test PCR.

Comme l’avait laissé entendre Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, ces autotests devraient donc bientôt être disponibles en France. Reste à savoir s’ils seront remboursés et où on pourra les trouver (pharmacies, supermarchés…). A titre indicatif, celui que nous avons fait tester coûte entre 5 et 7 euros dans les pays où il est commercialisé. Déjà disponibles ailleurs (Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Autriche, Allemagne, etc…), ces tests sont des tests antigéniques que l’on peut faire soi-même et dont le résultat est disponible en 20 minutes environ. Autre avantage, le protocole est moins désagréable puisque l’écouvillon est introduit moins profondément.

En attendant que ces tests arrivent sur le marché français, Xavier Guérin, président d’Innova Europe, qui fabrique des autotests utilisés actuellement dans plusieurs pays, s’est prêté au jeu de la démonstration.

Chambre avec vue sur ours polaire

Un hôtel chinois qui a ouvert ses portes ce vendredi est dans le collimateur des défenseurs des animaux car il exhibe des ours polaires pour le seul plaisir de ses clients.

En Chine, l’ouverture d’un hôtel exhibant des ours polaires en captivité suscite l’indignation

A peine ouvert, un hôtel chinois se retrouve dans le collimateur des défenseurs des animaux. Et pour cause, l’établissement exhibe des ours polaires pour le seul plaisir de ses clients. L’hôtel se situe à Harbin, capitale d’une province frontalière avec la Sibérie russe, au nord-est du pays. Les hivers y sont rudes, avec des températures pouvant atteindre les -20 °C, et les étés peuvent être longs et chauds.

Les larges fenêtres en verre des chambres permettent aux clients d’avoir une vue panoramique sur les ours installés dans le patio central, surmonté d’une verrière et dans lequel sont installés bassins, rochers et stalactites factices. Une vidéo montre les grands mammifères, considérés comme une espèce menacée, photographiés par de nombreux visiteurs sous une forte lumière artificielle.

« La place des ours polaires est dans l’Arctique, pas dans des zoos ou des aquariums en verre et certainement pas dans des hôtels », a réagi Jason Baker, le vice-président pour l’Asie de l’association de défense des animaux Peta, basée aux Etats-Unis. Il dénonce un établissement « qui profite de la détresse des animaux », alors que le territoire naturel des ours blancs sauvages s’étend généralement sur plusieurs milliers de kilomètres.

L’Agence européenne des médicaments reste « fermement convaincue » des bénéfices du vaccin…

Alors que de nombreux pays européens, dont l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne et le Portugal, suspendent par précaution l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, l’Agence européenne des médicaments (EMA) reste « fermement convaincue » des bénéfices du vaccin AstraZeneca contre le Covid-19, annonce sa directrice, après le signalement de caillots sanguins possibles mais sans lien avéré à ce stade.
La directrice de l’Agence européenne des médicaments (EMA) affirme que l’agence « examine » les effets « indésirables associés à tous les vaccins » contre le coronavirus, alors que l’agence enquête sur des cas de caillots sanguins potentiellement liés au vaccin AstraZeneca.

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