Euro 2021 : «Mbappé ? Il ne va pas tarder à marquer», promet Kimpembe
Le défenseur central des Bleus, coéquipier de Mbappé au PSG, ne se montre pas inquiet pour l’attaquant.
Le défenseur central des Bleus, coéquipier de Mbappé au PSG, ne se montre pas inquiet pour l’attaquant.
C’est libre mais « vidée mentalement et physiquement » que Valérie Bacot est ressortie du palais de justice de Chalon-sur-Saône, ovationnée par sa famille et ses soutiens venus l’encourager. Jugée pour l’assassinat de Daniel Polette, son mari tyrannnique, elle a été condamnée à quatre ans de prison, dont trois avec sursis. Une peine symbolique puisqu’elle a déjà effectué une année en détention provisoire. Le 13 mars 2016, cette mère de quatre enfants, violentée, prostituée et violée durant 25 ans, a tué son mari d’une balle dans la nuque.
Dix jours après l’avoir levée, le gouvernement israélien a rétabli, ce
vendredi, l’obligation de porter le masque dans les lieux publics fermés et les entreprises. Comme l’avait laissé entendre Naftali Bennett, le nouveau Premier ministre, en début de semaine, Israël tente ainsi d’endiguer une possible « nouvelle vague ». La décision de revenir en arrière et de réimposer le port du masque en intérieur fait suite à l’apparition du variant Delta du Covid-19, qui fait craindre aux autorités sanitaires une résurgence de l’épidémie.
Depuis lundi, le pays enregistre chaque jour plus de 100 nouveaux malades. Ils étaient 227 jeudi, d’après le dernier bilan disponible. « Nous espérons que les vaccins nous protégeront d’une hausse des hospitalisations et des cas sévères », a déclaré Nachman Ash, le coordinateur de la lutte contre le coronavirus. Pour l’heure, 48 malades sont hospitalisés et 26 sont considérés comme des cas sévères, selon le ministère de la Santé. Depuis le 15 juin, les Israéliens n’étaient plus tenus de porter un masque, ni en intérieur ni en extérieur, alors que plus de la moitié des quelque neuf millions d’habitants a reçu deux doses de vaccin.
Confronté à une pénurie de vaccins contre le Covid-19, l’Afrique
connaît actuellement une troisième vague des cas qui se propage très rapidement et qui frappe plus fort. Jeudi, le Dr Matshidiso Moeti, directrice régionale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour l’Afrique a lancé un message d’alerte sur cette situation sanitaire inquiétante. « Avec une augmentation rapide du nombre de cas et des rapports de plus en plus nombreux de maladies graves,
la dernière vague menace d’être la pire à ce jour en Afrique », a-t-elle
averti lors d’une conférence de presse virtuelle.
Selon l’OMS, les cas de Covid-19 ont augmenté pendant cinq semaines
consécutives depuis le début de la troisième vague le 3 mai 2021. La directrice régionale de l’OMS pour l’Afrique a également insisté sur le
fait que le continent tout entier manquait de doses de vaccins. « Il faudrait 700 millions de doses supplémentaires de vaccin contre le Covid-19 pour atteindre l’objectif de l’OMS de vacciner entièrement 30% de la population
africaine d’ici la fin de l’année. Les Africains ont été vaccinés avec
une première dose d’un vaccin mais qui a vraiment besoin d’une deuxième dose
pour fonctionner de manière optimale… et ces approvisionnements s’avèrent
être un énorme combat. L’urgence d’avoir les vaccins disponibles en ce moment est donc énorme », a-t-elle exhorté.
La mère de deux enfants lourdement handicapés qui souhaitait obtenir un logement à Toulouse, Leïla Ketrouci, est descendue de la grue en haut de laquelle elle était montée jeudi à l’aube. Cette dernière a obtenu un logement au sud de Toulouse et deux places à temps complet dans des instituts spécialisés. Elle a été conduite à l’hôpital pour un check-up.
Se disant «à bout», Mme Ketrouci, dont deux enfants sont lourdement handicapés, assurait qu’elle ne descendrait pas avant d’avoir obtenu une «garantie officielle» d’un logement dans la Ville rose. Du haut de la grue située près du CHU de Toulouse Purpan, cette mère de famille élevant seule ses trois enfants dans le Gers brandissait une banderole où l’on pouvait lire «handicap scandale français». Son fils de huit ans et sa fille de cinq ans sont tous les deux lourdement handicapés, atteints d’une maladie génétique rare et présentent un trouble autistique. Elle cherchait donc «désespérément» à déménager en région toulousaine afin d’être plus proche du CHU de Toulouse Purpan où ses enfants sont régulièrement hospitalisés et pris en charge par divers spécialistes. Mais aussi afin d’accéder aux établissements et services médico-sociaux spécialisés et adaptés, qui n’existent pas dans le Gers.
Une impressionnante tornade, accompagnée de grêlons, a causé la mort d’au moins trois personnes et fait des dizaines de blessés dans plusieurs villes du sud-est de la République Tchèque. Les dégâts matériels sont également
considérables. Sur des vidéos circulant sur les réseaux sociaux, on pouvait voir des maisons éventrées, des bâtiments détruits, des arbres arrachés, ainsi
que des incendies. « C’est l’enfer sur terre », a déclaré le gouverneur régional Jan Grolich après avoir visité la zone touchée. Des secouristes venus d’Autriche et de Slovaquie voisines participent aux opérations et l’armée tchèque a été déployée dans la région.
Le bilan pourrait être très lourd. Les autorités américaines étaient
toujours sans nouvelles de 99 personnes jeudi après l’effondrement
spectaculaire d’un immeuble résidentiel près de Miami. Au moins une
personne a trouvé la mort dans cette catastrophe pour l’heure
inexpliquée alors que les secours continuent de fouiller les décombres à
la recherche d’éventuels survivants.
«102 personnes ont été localisées (…) et elles sont en sécurité», a
dit lors d’une conférence de presse Daniella Levine Cava, la maire du
comté de Miami-Dade. «Nous sommes encore sans nouvelles d’au moins 99»
personnes. Pompiers et unités cynophiles s’activent toujours dans les
ruines, a-t-elle plus tard ajouté, en précisant que le prochain point de presse était prévu pour le lendemain matin, vers 08H00 (12H GMT).
Depuis dimanche soir, Ayoub, fonctionnaire de 51 ans et son fils
de 13 ans, Slimane ( le prénom a été modifié ), se sont réfugiés à l’hôtel,
loin de leur domicile de Pantin ( Seine-Saint-Denis) pour se protéger. « Parce
que nous avons été menacés, parce notre vie est en danger », souffle le
père de famille, les yeux cernés après plusieurs nuits blanches passées à
rassurer son jeune fils, encore traumatisé par les évènements vécus ces
dernières semaines. Slimane, jeune collégien en classe de 4 e est
victime de harcèlement de la part d’un autre élève, Ahmed ( son prénom a aussi
été changé ) depuis le mois de mars. Menaces, insultes, intimidation… Le jeune ado brise le silence et en parle à ses parents. Eux, décident d’en avertir les
responsables de collège, le rectorat et la famille du harceleur. « Dans un
premier temps, nous avons tenté une conciliation avec le harceleur de mon fils
et sa famille. Mais rien n’y a changé. Il a continué à menacer mon enfant.
Alors avec ma femme, nous avons porté plainte », raconte Ayoub. La
situation va rapidement dégénérer. La famille d’Ahmed, sa cousine notamment, sont
remontés. « Ils ont voulu se venger. Nous faire payer notre dépôt de
plainte », poursuit Ayoub. Samedi 18 juin, devant leur domicile, le père
de famille croise la cousine du jeune harceleur, suivie par un homme qui
brandit un long couteau. L’individu armé le poursuit et tente de l’agresser. « Il
a essayé de me tuer, jure Ayoub. J’ai couru jusqu’à ma porte. J’ai réussi à repousser
les coups de couteau avec mon sac à dos. J’étais à deux doigts de me faire poignarder ».
Le lendemain, le même homme passe devant Ayoub en voiture et brandit une arme à
feu. « C’est à ce moment que j’ai décidé de faire nos bagages et de partir
loin d’ici. J’ai pris mon fils et nous sommes partis à l’hôtel », raconte
Ayoub.
Sa femme et ses deux filles, elles, se sont réfugiés chez des proches.
La police de Pantin a ouvert une enquête et doit poursuivre ses auditions dans
les prochains jours. Pour Ayoub, pas question de retourner vivre à Pantin. « Nous allons déménager. On ne remettra plus les pieds là-bas. C’est trop dangereux.
Nous ne sommes pas protégés. C’est totalement incompréhensible. Mon fils est la victime. Il a été pris pour cible par cette famille. Dans quel pays vit-on ?
Je suis en colère », s’insurge le père de famille.
Depuis dimanche soir, Ayoub, fonctionnaire de 51 ans et son fils
de 13 ans, Slimane ( le prénom a été modifié ), se sont réfugiés à l’hôtel,
loin de leur domicile de Pantin ( Seine-Saint-Denis) pour se protéger. « Parce
que nous avons été menacés, parce notre vie est en danger », souffle le
père de famille, les yeux cernés après plusieurs nuits blanches passées à
rassurer son jeune fils, encore traumatisé par les évènements vécus ces
dernières semaines. Slimane, jeune collégien en classe de 4 e est
victime de harcèlement de la part d’un autre élève, Ahmed ( son prénom a aussi
été changé ) depuis le mois de mars. Menaces, insultes, intimidation… Le jeune ado brise le silence et en parle à ses parents. Eux, décident d’en avertir les
responsables de collège, le rectorat et la famille du harceleur. « Dans un
premier temps, nous avons tenté une conciliation avec le harceleur de mon fils
et sa famille. Mais rien n’y a changé. Il a continué à menacer mon enfant.
Alors avec ma femme, nous avons porté plainte », raconte Ayoub. La
situation va rapidement dégénérer. La famille d’Ahmed, sa cousine notamment, sont
remontés. « Ils ont voulu se venger. Nous faire payer notre dépôt de
plainte », poursuit Ayoub. Samedi 18 juin, devant leur domicile, le père
de famille croise la cousine du jeune harceleur, suivie par un homme qui
brandit un long couteau. L’individu armé le poursuit et tente de l’agresser. « Il
a essayé de me tuer, jure Ayoub. J’ai couru jusqu’à ma porte. J’ai réussi à repousser
les coups de couteau avec mon sac à dos. J’étais à deux doigts de me faire poignarder ».
Le lendemain, le même homme passe devant Ayoub en voiture et brandit une arme à
feu. « C’est à ce moment que j’ai décidé de faire nos bagages et de partir
loin d’ici. J’ai pris mon fils et nous sommes partis à l’hôtel », raconte
Ayoub.
Sa femme et ses deux filles, elles, se sont réfugiés chez des proches.
La police de Pantin a ouvert une enquête et doit poursuivre ses auditions dans
les prochains jours. Pour Ayoub, pas question de retourner vivre à Pantin. « Nous allons déménager. On ne remettra plus les pieds là-bas. C’est trop dangereux.
Nous ne sommes pas protégés. C’est totalement incompréhensible. Mon fils est la victime. Il a été pris pour cible par cette famille. Dans quel pays vit-on ?
Je suis en colère », s’insurge le père de famille.
Sept paquets de pâtes sur 20 contiennent des traces de pesticides, notamment du glyphosate, selon une récente étude italienne. Face à ce constat, l’ONG Générations futures tire la sonnette d’alarme. Enquête.
Mi-bateau, mi-jetski, le tout en version électrique et quasi-silencieuse… Drôle d’engin, cet objet flottant et volant a été baptisé « Overboat » par Vincent Dufour, le président de Neocean, la société qui lui a donné vie. Et il pourrait, peu à peu, s’inscrire dans les paysages de bords de mer. « C’est un bateau, avec un moteur électrique et l’autre particularité, c’est qu’il a des foils, détaille son créateur. « Les foils, ce sont des ailes sous-marines qui vont soulever le bateau et qui vont lui permettre d’économiser énormément d’énergie ». Ce véhicule, qui a mis cinq ans à voir le jour, donne effectivement le sentiment de voler au ras de l’eau, sans bruit, et jusqu’à 30km/h. « Je trouve que les bateaux polluent beaucoup la mer », développe Vincent Dufour, biologiste marin de formation, « il y a deux sources de pollution : le pétrole (les moteurs thermiques), mais aussi le bruit. Pour la faune sous-marine, le bruit est une pollution terrible qui diminue même le taux de reproduction des poissons ». Commercialisé depuis le printemps, l’Overboat coûte 32000 euros et pourrait, à terme, fleurir dans les bases nautiques pour être proposer à la location aux particuliers. « Mais il y a aussi l’usage professionnel. Par exemple, la Fédération française de canoë-kayak
nous en a pris et la fédération française d’aviron est très intéressée. Pourquoi ? Parce qu’on ne fait pas de vagues. On peut donc suivre les rameurs ou les bateaux sans faire de vagues et les entraîneurs peuvent parler aux rameurs, puisque c’est silencieux ».