Leparisien

L’épave d’un navire de guerre de la marine américaine a été retrouvé au large des Philippines, reposant à 6 500 mètres de fond. Le destroyer avait coulé le 25 octobre 1944, lors de la bataille du golfe de Leyte, la plus grande bataille navale que le monde ait connue et qui allait marquer le début de la fin pour le Japon. « Trois d’entre nous, lors de deux plongées, ont examiné le navire et rendu hommage à son courageux équipage », a tweeté Victor Vescovo, fondateur de la société texane Caladan Oceanic, qui pilotait le submersible ayant atteint l’épave. Sa proue, son pont et sa section centrale sont intacts. Deux tourelles, des emplacements de stockage de torpilles et de nombreux affuts de canons étaient toujours là, selon l’expédition.
L’équipage a filmé, photographié et étudié l’épave au large de l’île de Samar. Les données sonar, les images et les notes de terrain recueillies au cours des plongées seront remises à la marine américaine, a précisé M. Vescovo.

L’épave d’un navire de guerre de la marine américaine a été retrouvé au large des Philippines, reposant à 6 500 mètres de fond. Le destroyer avait coulé le 25 octobre 1944, lors de la bataille du golfe de Leyte, la plus grande bataille navale que le monde ait connue et qui allait marquer le début de la fin pour le Japon. « Trois d’entre nous, lors de deux plongées, ont examiné le navire et rendu hommage à son courageux équipage », a tweeté Victor Vescovo, fondateur de la société texane Caladan Oceanic, qui pilotait le submersible ayant atteint l’épave. Sa proue, son pont et sa section centrale sont intacts. Deux tourelles, des emplacements de stockage de torpilles et de nombreux affuts de canons étaient toujours là, selon l’expédition.
L’équipage a filmé, photographié et étudié l’épave au large de l’île de Samar. Les données sonar, les images et les notes de terrain recueillies au cours des plongées seront remises à la marine américaine, a précisé M. Vescovo.

Dans la nuit de samedi à dimanche, aux alentours de minuit et demi, quatre personnes vêtues de noir se sont introduites dans la maison de Bernard et Dominique Tapie, à Combs-la Ville.
Surpris dans son sommeil, le couple a été ligoté par des câbles électriques et violenté. Les agresseurs, à la recherche d’un coffre, sont repartis avec un butin de bijoux : deux montres, dont une Rolex, des boucles d’oreilles, des bracelets et une bague, selon une source proche de l’enquête. L’épouse de Bernard Tapie, qui a reçu des coups au visage, est parvenue à se défaire de ses liens
pour se rendre chez une voisine d’où elle a donné l’alerte, selon cette source. Elle a été transportée à l’hôpital pour consultation.
Bernard Tapie a refusé d’être hospitalisé.

Vingt-deux chars transportant des momies de rois et reine de l’Egypte antique ont défilé samedi soir dans les rues du Caire sur un trajet de sept kilomètres, pour rejoindre le Musée national de la civilisation égyptienne (NMEC), où les attendait le président Abdel Fattah al-Sissi. « Avec une grande fierté, je me réjouis d’accueillir des rois et reines d’Egypte après leur trajet », avait-il tweeté plus tôt. Au total, 60 motos, 150 chevaux, 330 figurants (étudiants en sport), 150 musiciens et 150 percussionnistes du ministère de la Défense ont été mobilisés pour l’évènement, selon les autorités. Après des années d’instabilité politique liées à la révolte populaire de 2011, qui a porté un coup dur au tourisme, l’Egypte cherche à faire revenir les visiteurs, notamment en promouvant la culture. Le NMEC, qui occupe un vaste bâtiment moderne, doit ouvrir ses portes au public ce dimanche 4 avril. Mais les momies ne seront
exposées au public qu’à partir du 18 avril. Elles y seront présentées aux côtés de leurs sarcophages, dans un décor rappelant les tombes souterraines des rois, avec une biographie et des objets liés aux souverains.

« Je suis déçu du résultat, et d’avoir perdu trois
points importants (…), mais il faudra lutter jusqu’au bout », estime l’entraîneur du PSG Mauricio Pochettino en conférence de presse, après la défaite du PSG 1-0 face à Lille, permettant aux Lillois de reprendre la tête de la Ligue 1, avec 3 points d’avance sur Paris.

Dans son usine implantée au cœur du massif de la Chartreuse dans les Alpes, le fabriquant de matériel de course à pieds RaidLight, conçoit une ligne de vêtement 100% française. Malgré des charges plus élevées pour concevoir les produits, l’entreprise a trouvé d’autres atouts au made in France.

La clinique de chirurgie cardiaque de Blagovechtchensk, en Extrême-Orient, a pris feu ce vendredi en fin de matinée. À l’intérieur, une
équipe de huit soignants russes venait de débuter une opération à cœur ouverte sur un patient. « Il fallait sauver cette personne et nous avons tout fait au plus haut niveau. L’opération a été entièrement terminée et sans difficultés », a déclaré Valentin Filatov, le médecin en charge de l’opération, à la télévision Rossiya 24. Ils ont bénéficié de l’aide des services de secours, qui ont installé un câble électrique jusqu’à la salle d’opération, alors que l’électricité était coupée
dans le bâtiment. Des ventilateurs ont également été installés pour évacuer la fumée. L’opération terminée, les soignants ont évacué le patient du bâtiment encore en feu, pour le transférer vers un autre hôpital, selon les autorités locales. Ces dernières ont assuré que les médecins et les pompiers qui ont éteint l’incendie seraient récompensés.

La clinique de chirurgie cardiaque de Blagovechtchensk, en Extrême-Orient, a pris feu ce vendredi en fin de matinée. À l’intérieur, une
équipe de huit soignants russes venait de débuter une opération à cœur ouverte sur un patient. « Il fallait sauver cette personne et nous avons tout fait au plus haut niveau. L’opération a été entièrement terminée et sans difficultés », a déclaré Valentin Filatov, le médecin en charge de l’opération, à la télévision Rossiya 24. Ils ont bénéficié de l’aide des services de secours, qui ont installé un câble électrique jusqu’à la salle d’opération, alors que l’électricité était coupée
dans le bâtiment. Des ventilateurs ont également été installés pour évacuer la fumée. L’opération terminée, les soignants ont évacué le patient du bâtiment encore en feu, pour le transférer vers un autre hôpital, selon les autorités locales. Ces dernières ont assuré que les médecins et les pompiers qui ont éteint l’incendie seraient récompensés.

Le grimpeur britannique George King a gravi à mains nues et sans s’assurer les 120 m de paroi vitrée du Melia Barcelona Sky, l’une des plus hautes tours de Barcelone, en Espagne. À l’issue de son ascension, il a été interpellé par la police régionale, puis a été libéré moins d’une demi-heure après et sans sanction, selon son agent. Cet anglais de 21 ans n’en est pas à son coup d’essai. Fin 2019, il avait été incarcéré trois mois après avoir escaladé l’emblématique gratte-ciel londonien The Shard, et avait promis de récidiver après sa libération.

Lors du conseil municipal du 29 mars, la maire EELV de Poitiers Léonore Moncond’huy a annoncé couper les subventions aux aéroclubs,affirmant considérer « protéger les enfants et leur avenir en prenant ce type de décisions ».

C’est un petit outil de plus dans une vaste campagne de vaccination contre le Covid-19. Depuis le début du mois de mars, la mairie de Paris, en partenariat avec la Protection Civile et des associations, met régulièrement
en place des centres de vaccination éphémères. Actuellement, l’un de ces centres a par exemple ouvert pour deux jours dans le quartier Saint-Blaise, dans le 20 e arrondissement de la capitale. L’idée est simple : aller à la rencontre des habitants du quartier qui sont éligibles à la vaccination et qui, pour différentes raisons (difficulté pour trouver un
rendez-vous, réticence à l’égard de l’AstraZeneca, etc…), n’ont pas encore reçu leur injection. Afin de leur leur indiquer le chemin, voire les conduire dans certains cas, les équipes mobilisées battent le pavé, un peu à la manière d’une campagne électorale : présence sur les marchés, distributions de tracts, porte-à-porte… Nous les avons suivis pendant une journée.

C’est un petit outil de plus dans une vaste campagne de vaccination contre le Covid-19. Depuis le début du mois de mars, la mairie de Paris, en partenariat avec la Protection Civile et des associations, met régulièrement
en place des centres de vaccination éphémères. Actuellement, l’un de ces centres a par exemple ouvert pour deux jours dans le quartier Saint-Blaise, dans le 20 e arrondissement de la capitale. L’idée est simple : aller à la rencontre des habitants du quartier qui sont éligibles à la vaccination et qui, pour différentes raisons (difficulté pour trouver un
rendez-vous, réticence à l’égard de l’AstraZeneca, etc…), n’ont pas encore reçu leur injection. Afin de leur leur indiquer le chemin, voire les conduire dans certains cas, les équipes mobilisées battent le pavé, un peu à la manière d’une campagne électorale : présence sur les marchés, distributions de tracts, porte-à-porte… Nous les avons suivis pendant une journée.