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Corée-du-Sud : ils pensent peindre une toile participative… et vandalisent une œuvre d’art

Un jeune couple pensait laisser son empreinte sur une peinture participative mais a en réalité vandalisé une œuvre d’art estimée à 500 000 dollars. La scène s’est déroulée dans une galerie d’art de Séoul, en Corée du Sud, où est exposée « Untitled », une toile de l’artiste franco-américain Jon One, peinte en 2016. Les caméras de surveillance de la galerie montrent les deux jeunes gens étaler de la peinture acrylique verte à l’aide de pinceaux placés au pied de la toile. Les pots de peinture, tout comme les pinceaux, faisaient en réalité partie de l’installation. « Notre équipe a dit que quelqu’un avait abîmé la toile, donc je suis arrivé sur le champ », explique Kang Wook, responsable de l’exposition à Reuters. La police a ensuite rapidement retrouvé la trace du couple. « Ils ont avoué qu’ils pensaient qu’ils étaient autorisés à peindre sur la toile, en tant qu’œuvre d’art participative. Ils ont reconnu avoir fait une erreur. »

Corée-du-Sud : ils pensent peindre une toile participative… et vandalisent une œuvre d’art de…

Un jeune couple pensait laisser son empreinte sur une peinture participative mais a en réalité vandalisé une œuvre d’art estimée à 500 000 dollars. La scène s’est déroulée dans une galerie d’art de Séoul, en Corée du Sud, où est exposée « Untitled », une toile de l’artiste franco-américain JonOne, peinte en 2016. Les caméras de surveillance de la galerie montrent les deux jeunes gens étaler de la peinture acrylique verte à l’aide de pinceaux placés au pied de la toile. Les pots de peinture, tout comme les pinceaux, faisaient en réalité partie de l’installation. « Notre équipe a dit que quelqu’un avait abîmé la toile, donc je suis arrivé sur le champ », explique Kang Wook, responsable de l’exposition à Reuters. La police a ensuite rapidement retrouvé la trace du couple. « Ils ont avoué qu’ils pensaient qu’ils étaient autorisés à peindre sur la toile, en tant qu’œuvre d’art participative. Ils ont reconnu avoir fait une erreur. »

Covid-19 : à la clinique du burn-out, où les soignants deviennent les soignés

« L’impression d’être dans une spirale, sans pouvoir en sortir » : voilà comment Virginie, aide-soignante de 48 ans dans un Ehpad, raconte son burn-out qui l’a menée à pousser les portes d’une clinique dédiée aux personnels de santé à Louhans (Saône-et-Loire), où les soignants tentent de reprendre pied. Épuisée par le manque de moyens, de personnel et les « journées marathon », Virginie voulait tenir mais a fini par craquer avec la crise sanitaire du Covid-19, qui a aggravé une « situation déjà catastrophique ».

«J’étais au bout du rouleau» : essorés par la crise, des soignants pris en charge à la clinique…

« L’impression d’être dans une spirale, sans pouvoir en sortir » : voilà comment Virginie, aide-soignante de 48 ans dans un Ehpad, raconte son burn-out qui l’a menée à pousser les portes d’une clinique dédiée aux personnels de santé à Louhans (Saône-et-Loire), où les soignants tentent de reprendre pied. Épuisée par le manque de moyens, de personnel et les « journées marathon », Virginie voulait tenir mais a fini par craquer avec la crise sanitaire du Covid-19, qui a aggravé une « situation déjà catastrophique ».

Taïwan : plusieurs dizaines de morts dans le déraillement d’un train bondé

Au moins 48 personnes sont mortes vendredi dans le déraillement d’un train survenu à l’entrée d’un tunnel, dans l’est de Taïwan, près de la ville côtière de Hualien. Des sauveteurs ont pu venir en aide aux survivants et évacuer les personnes qui se trouvaient parfois piégées dans le train. Selon les autorités, plus de 60 personnes ont été transportées à l’hôpital. « Comme il n’y avait pas de place sur les côtés dans le tunnel, on a dû grimper sur le toit de la voiture et sortir », explique une rescapée. Selon les autorités, l’accident aurait été causé par un engin de chantier qui aurait heurté le train après avoir glissé d’un talus.

Explosion de la barre HLM Monmousseau près de Lyon

L’immeuble Monmousseau dans le quartier des Minguettes à Vénissieux s’effondre par explosion pour lancer la deuxième phase de renouvellement urbain du quartier entamé en 2005. Construite en 1967, la barre Monmousseau a accueilli près de 50 000 habitants. Elle a été soufflée en quelques secondes, après que les riverains situés dans un rayon de 250 m ont été évacués.
Les 197 familles qui occupaient l’immeuble ont été relogées au sein de la Métropole lyonnaise. Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un immense réaménagement urbain qui doit déboucher sur la création de plus de 1000 logements.

Spectaculaire démolition de la barre HLM Monmousseau près de Lyon

L’immeuble Monmousseau dans le quartier des Minguettes à Vénissieux s’effondre par explosion pour lancer la deuxième phase de renouvellement urbain du quartier entamé en 2005. Construite en 1967, la barre Monmousseau a accueilli près de 50 000 habitants. Elle a été soufflée en quelques secondes, après que les riverains situés dans un rayon de 250 m ont été évacués.
Les 197 familles qui occupaient l’immeuble ont été relogées au sein de la Métropole lyonnaise. Cette opération s’inscrit dans le cadre d’un immense réaménagement urbain qui doit déboucher sur la création de plus de 1000 logements.

Les Kinder Surprise exploitent-ils le travail des enfants ?

FOOD CHECKING. Selon l’association Commerce équitable France et un patron de coopérative de cacao en Côte d’Ivoire, oui, les œufs en chocolat Kinder utilisent du cacao récolté par des enfants. La solution pour réduire au maximum ce risque est alors d’acheter des produits labellisés ou portant la mention « commerce équitable ».

Premiers départs en province: «Avec le confinement, on sait ce qui nous attend. On prend les…

Le calme avant le grand rush du week-end ? Au lendemain
des annonces d’Emmanuel Macron, et notamment de la fermeture des écoles et de
la possibilité d’aller se confiner où l’on veut d’ici lundi, l’ambiance était en
effet plutôt calme à Montparnasse et à gare de Lyon, ce jeudi après-midi. Même
si certains ont déjà pris les devants pour filer vers la Province, moins de 24
heures après les annonces du président de la République. Et dans ce domaine,
chacun sa technique : anticipation pour les uns, réactivité pour les
autres…

Une «fausse» fête sauvage rassemble 1500 personnes à Bruxelles, la police intervient

Suite à un faux évènement organisé sur Facebook, en guise de poisson d’avril, entre 1500 et 2000 personnes se sont rassemblées dans un bois de la capitale belge, en dépit des restrictions sanitaires. La police a dû employer la force pour disperser la foule. Les policiers, déployés par dizaines ont essuyé des jets de projectiles au moment d’intervenir. Trois d’entre eux ont été blessés, dont l’un qui a dû être hospitalisé. Quatre participants ont été interpellés. Les participants, notamment des jeunes, déplorent les restrictions auxquelles la population belge est soumise. « On nous met trop de règles qui nous privent vraiment de nos libertés, alors qu’on a conscience du problème. On ne nie pas l’existence du Covid, on fait attention, mais juste, il faut nous laisser vivre un peu », explique ainsi Gauthier, étudiant.
Même constat pour Selim, qui habite la capitale : « Je n’étais pas là du tout pour manifester ou quoi que ce soit, je suis venu ici pour dire qu’on a le droit en lieu public de simplement être là en fait. La police, vous êtes avec nous. Protéger, servir. Vous n’êtes pas là pour nous punir ». Le parquet de Bruxelles avait déploré l’appel, sur les réseaux sociaux, à rallier un faux événement intitulé « La Boum », qui était un poisson d’avril, avertissant que les participants s’exposaient à des poursuites judiciaires.

La Belgique est entrée samedi dernier dans une nouvelle phase de restrictions, plus sévères, prévoyant notamment un accès limité aux commerces non essentiels et la possibilité de se rassembler en extérieur à quatre adultes maximum.

Canal de l’Ourcq encombré par les déchets: « J’ai même vu quelqu’un balancer une machine à laver»

Il fait beau, il fait chaud. Beaucoup viennent profiter du beau temps au canal de l’Ourcq dans le 19è arrondissement de Paris. Mais à sa surface, flottent des mégots, bouteilles, sacs plastique, canettes, masques et même des chaussures. « Et encore, là on est confinés mais vous verrez cet été », prévient Miguel, l’agent d’entretien avant de remonter à bord de l’Acoupa, le bateau nettoyeur de canaux.

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