De Singapour à Bangkok en passant par Paris et Athènes, les villes du monde entier ont éteint leurs lumière le temps d’une heure samedi soir. Une opération symbolique organisée par l’ONG WWF pour la sauvegarde de la nature et la lutte contre le changement climatique.
Explosion des cas de covid-19 dans certains établissements, couacs sur les tests salivaires… Les écoles même si elles sont encore ouvertes prennent de plein fouet la nouvelle vague de covid-19. A la sortie des cours, les parents interrogés sont divisés sur le maintien de la classe pour les bambins. Certains parents comme Stéphanie, dont les enfants sont scolarisés dans le XVe arrondissement, pointent du doigt l’importance “de vivre raisonnablement, d’avancer” malgré la pandémie et militent pour le statu quo. Dans les Xe arrondissement, les parents rencontrés alertent sur les couacs des tests salivaires réalisés dans les écoles. Avec parfois des “résultats qui n’arrivent pas”. Une situation qui a “rompu la confiance” entre ces parents d’élèves et l’administration.
Explosion des cas de covid-19 dans certains établissements, couacs sur les tests salivaires… Les écoles même si elles sont encore ouvertes prennent de plein fouet la nouvelle vague de covid-19. A la sortie des cours, les parents interrogés sont divisés sur le maintien de la classe pour les bambins. Certains parents comme Stéphanie, dont les enfants sont scolarisés dans le XVe arrondissement, pointent du doigt l’importance “de vivre raisonnablement, d’avancer” malgré la pandémie et militent pour le statu quo. Dans les Xe arrondissement, les parents rencontrés alertent sur les couacs des tests salivaires réalisés dans les écoles. Avec parfois des “résultats qui n’arrivent pas”. Une situation qui a “rompu la confiance” entre ces parents d’élèves et l’administration.
Avec ses bars ouverts et son couvre-feu à 23 heures, Madrid est devenue la destination de prédilection des touristes et notamment des Français. Une situation paradoxale au moment où les Espagnols sont eux-mêmes soumis à des règles strictes.
C’est un sujet explosif depuis près de 27 ans. Après deux ans de travail à partir d’archives parfois ouvertes pour la première fois, une commission d’historiens a remis à l’Elysée un rapport historique sur le rôle de la France pendant le génocide contre les Tutsis de 1994.
Dans ce lycée de 2000 élèves, une soixantaine de cas ont été répertoriés depuis début mars et plus d’une vingtaine d’élèves ont déjà perdu un parent depuis le début de l’épidémie.
Tenir ses clefs dans les mains, ne mettre qu’un écouteur sur deux pour rester à l’affut, s’habiller le plus discrètement possible, vérifier si on est suivie, marcher à toute allure dans les rues mal éclairées, passer des coups de fil, des vrais comme des faux, sur le trajet. Ces quelques réflexes, subterfuges, mécanismes ont été adoptés par beaucoup de femmes sans même qu’elles s’en rendent compte . Des gestes et réflexes que beaucoup mettent en place dès 19h, heure du couvre-feu. « C’est pas normal qu’on en arrive là », éructe Inès, qui aimerait ne pas avoir à changer de comportement par « instinct de survie ».
Des images d’un poulpe changeant de couleur pendant son sommeil ont été diffusées par des scientifiques brésiliens, dont la nouvelle étude montre que ces animaux expérimentent deux types de sommeil. Le premier dit « immobile », où le poulpe ne présente aucune activité. Le second, que les chercheurs appellent « sommeil actif », qui semble similaire au sommeil paradoxal observé chez nous les mammifères ou encore chez les oiseaux et certains reptiles. Et c’est justement pendant cette phase de sommeil active que le cerveau du céphalopode montre une certaine activité : changement de couleur, muscles qui tressautent, contractions des ventouses et même une légère agitation des yeux… Rappelons que la plupart des rêves chez les humains se produisent lors cette phase de sommeil. Peut-on alors imaginer que comme les humains, les poulpes peuvent rêver ?
Tenir ses clefs dans les mains, ne mettre qu’un écouteur sur deux pour rester à l’affut, s’habiller le plus discrètement possible, vérifier si on est suivie, marcher à toute allure dans les rues mal éclairées, passer des coups de fil, des vrais comme des faux, sur le trajet. Ces quelques réflexes, subterfuges, mécanismes ont été adoptés par beaucoup de femmes sans même qu’elles s’en rendent compte . Des gestes et réflexes que beaucoup mettent en place dès 19h, heure du couvre-feu. « C’est pas normal qu’on en arrive là », éructe Inès, qui aimerait ne pas avoir à changer de comportement par « instinct de survie ».
Tenir ses clefs dans les mains, ne mettre qu’un écouteur sur deux pour rester à l’affut, s’habiller le plus discrètement possible, vérifier si on est suivie, marcher à toute allure dans les rues mal éclairées, passer des coups de fil, des vrais comme des faux, sur le trajet. Ces quelques réflexes, subterfuges, mécanismes ont été adoptés par beaucoup de femmes sans même qu’elles s’en rendent compte . Des gestes et réflexes que beaucoup mettent en place dès 19h, heure du couvre-feu. « C’est pas normal qu’on en arrive là », éructe Inès, qui aimerait ne pas avoir à changer de comportement par « instinct de survie ».
« Occupons, occupons partout où nous le pouvons ». Au rythme des slogans, ils étaient plusieurs centaines de manifestants à relier la place du Palais Royal au ministère du Travail à Paris. Intermittents du spectacle, guides conférenciers, professionnels du tourisme ou de l’évènementiel, tous étaient là afin de « défendre les droits sociaux des professionnels de la culture », de demander « le retrait des décrets gouvernementaux réformant l’assurance chômage » et « une reprise des spectacles » selon le communiqué de la CGT Spectacle. Un mouvement qui s’inscrit dans la continuité de l’occupation du théâtre de l’Odéon et de dizaines de lieux de culture français. Si leur avenir professionnel est incertain, une chose est sûre : ils seront à nouveau mobilisés la semaine prochaine pour un « nouveau vendredi de la colère ».
Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education, annonce comme nouvelle mesure, la fermeture des classes dès le premier cas de contamination à partir de la semaine prochaine pour les 19 départements qui font l’objet de mesures de restrictions renforcées lors d’un point presse à Paris.
