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Armé de son vélo et de son appareil photo, il part à la chasse aux « indécrottables »

Une photo contre « un sac à caca ». Alain Lambert pratique ce troc atypique dans les rues de la capitale depuis maintenant deux ans. « Au début, on allait voir les propriétaires de chiens pour leur parler directement du ramassage. Nous étions des distributeurs vivants de sachets, donc ils nous oubliaient très vite, explique l’éducateur canin. Mais quand il s’agit de photographier leur chien, il y a un lien qui se crée tout de suite ». Lutter contre les « indécrottables » Pour sensibiliser les Parisiens au ramassage des déjections canines, Alain Lambert sillonne donc les rues de Paris, arrondissement par arrondissement, tire le portrait des compagnons à quatre pattes avec leur propriétaire et profite de la conversation qui s’ensuit pour distribuer des petits sacs-poubelles. Les clichés, soigneusement classés par races, finissent ensuite sur son site, le Chien du citoyen, véritable bible des canidés parisiens. « C’est bien d’avoir un beau chien, mais c’est bien aussi de ramasser ses crottes », insiste Alain qui a en horreur les « indécrottables », ceux qui ne ramassent pas. « Ce sont les mêmes qui laissent leurs papiers gras par terre, ou qui se garent en double file pour déposer leurs gamins à l’école », développe-t-il, l’air malicieux. Ces indécrottables se font de plus en plus rares, relève-t-il toutefois. « Pour les nouveaux propriétaires, les jeunes, c’est un automatisme. » « On a vu un petit dérapage pendant le confinement, où on a constaté un petit relâchement. Mais, en dehors de ces périodes, on voit plutôt des citoyens qui sont civiques », confirme Colombe Brossel, adjointe à la maire de Paris en charge de la propreté de l’espace public, pour qui le travail de médiation d’Alain Lambert est nécessaire pour continuer sur cette voie.

Armé de son appareil photo, Alain chasse les propriétaires de chiens « indécrottables »

Une photo contre « un sac à caca ». Alain Lambert pratique ce troc atypique dans les rues de la capitale depuis maintenant deux ans. « Au début, on allait voir les propriétaires de chiens pour leur parler directement du ramassage. Nous étions des distributeurs vivants de sachets, donc ils nous oubliaient très vite, explique l’éducateur canin. Mais quand il s’agit de photographier leur chien, il y a un lien qui se crée tout de suite ». Lutter contre les « indécrottables » Pour sensibiliser les Parisiens au ramassage des déjections canines, Alain Lambert sillonne donc les rues de Paris, arrondissement par arrondissement, tire le portrait des compagnons à quatre pattes avec leur propriétaire et profite de la conversation qui s’ensuit pour distribuer des petits sacs-poubelles. Les clichés, soigneusement classés par races, finissent ensuite sur son site, le Chien du citoyen, véritable bible des canidés parisiens. « C’est bien d’avoir un beau chien, mais c’est bien aussi de ramasser ses crottes », insiste Alain qui a en horreur les « indécrottables », ceux qui ne ramassent pas. « Ce sont les mêmes qui laissent leurs papiers gras par terre, ou qui se garent en double file pour déposer leurs gamins à l’école », développe-t-il, l’air malicieux. Ces indécrottables se font de plus en plus rares, relève-t-il toutefois. « Pour les nouveaux propriétaires, les jeunes, c’est un automatisme. » « On a vu un petit dérapage pendant le confinement, où on a constaté un petit relâchement. Mais, en dehors de ces périodes, on voit plutôt des citoyens qui sont civiques », confirme Colombe Brossel, adjointe à la maire de Paris en charge de la propreté de l’espace public, pour qui le travail de médiation d’Alain Lambert est nécessaire pour continuer sur cette voie.

Dans les coulisses de l’élection de Miss Tattoo France, qui veut «briser les codes»

Dans une salle aux lumières tamisées du Masha, restaurant du XVIe arrondissement de Paris, l’agitation règne chez la dizaine de corps tatoués, moulés par des robes de soirées clinquantes. Au départ, elles étaient plus de 400 candidates. Il n’en reste plus que onze ce jeudi 7 octobre pour la finale de Miss France Tattoo 2021. « Ça y est, c’est parti Zoé ! », annonce Jérôme Lévy, organisateur du concours, en entrant dans la salle. La candidate interpellée se lève, mime un signe de croix et tourne ses talons vertigineux, direction la salle du jury. Tout au long de ce début de soirée, les prétendantes au titre se relayeront dans cette pièce pour être départagées. « Nous prenons en compte cinq critères : la photogénie, la personnalité, les tatouages et la motivation », détaille « Freaky Hoody », l’homme le plus tatoué de France et membre du jury, à l’issue des entretiens.

Dans ce concours de beauté, c’est avant tout la diversité qui est mise à l’honneur. Ici, pas question de mensuration ou de cheveux longs comme dans certains concours. Seuls critères pour les participantes : être âgé de plus de 21 ans et « avoir au moins 30 % du corps tatoué », explique Jérôme Lévy. « Dans les concours traditionnels, les candidates tatouées n’ont pas le droit de participer. Nous avons donc décidé de répondre à ce manque en créant ce concours annuel », poursuit l’organisateur. « Ça permet d’accéder au concours, peu importe la taille ou le poids, peu importe ton style », témoigne Clara, Miss Tattoo Nouvelle-Aquitaine 2021. Seul point noir de cette soirée qui a vu le sacre d’Olivia, Miss Tattoo Auvergne-Rhône-Alpes : la disqualification d’une candidate. Prévenue de son élimination quelques jours avant la finale pour avoir eu des relations rémunérées avec des hommes, Chloé a décidé de quand même participer à la soirée de remise des prix, pour dénoncer ce qu’elle considère comme une injustice. « Le milieu du tatouage, c’est un milieu rock’n’roll qui est ouvert d’esprit… Ce n’est pas du tout en adéquation avec les raisons pour lesquelles j’ai été évincée du concours, regrette l’ex-candidate. Aujourd’hui les travailleuses du sexe font partie intégrante de la société et n’ont pas à se cacher », conclut-elle. Interrogé sur la question, le comité d’organisation nous a répondu avoir pris cette décision car la participante n’aurait pas respecté « l’esprit du concours ».

Brésil : de violentes tempêtes de sable font au moins 6 morts

Un gigantesque nuage de poussière… Au moins six personnes sont mortes au Brésil dans de fortes tempêtes de sable qui ont touché le sud-est du pays ces derniers jours, un phénomène naturel amplifié par une sécheresse extrême.
Ces tempêtes, avec des rafales de vent pouvant aller jusqu’à 100 km/heure, ont causé des dégâts dans des habitations et fait tomber des arbres ou des poteaux électriques dans des villes à l’intérieur des terres, dans les Etats de Sao Paulo ou de Minas Gerais.
Les six victimes sont mortes noyées, comme un pêcheur d’un village sur les rives du Parana, à 650 km de Sao Paulo, le 1er octobre. Les autres ont été victimes de chutes d’arbres, de l’effondrement d’habitations ou d’incendies, selon la presse.
« Ce sont des phénomènes climatiques plutôt communs, mais ils sont rarement aussi intenses que ceux que nous avons eus cette année », a expliqué à l’AFP la météorologiste Estael Sias, de la société de prévisions Metsul. « C’est la conséquence d’une longue période sans précipitations, avec des températures élevées et une faible humidité », ajoute-t-elle.
Les tempêtes de sable qui « soulèvent les particules de sable et de poussière » se forment à l’issue de la saison sèche, qui se termine en septembre avant le retour des pluies. Autre facteur déterminant : ces régions concentrent un grand nombre de plantations de canne à sucre, avec d’importantes surfaces sans végétation donc un plus grand nombre de particules susceptibles de s’envoler avec les rafales de vent.

«J’ai gâché ma vie future» : Arthur, 20 ans, a perdu 100 000 euros aux casinos en ligne

« J’ai vraiment honte ». D’un ton neutre mais avec des qualificatifs sévères à son égard, Arthur raconte comment il est devenu accro aux casinos en ligne, alors qu’il était bien conscient des risques de cette pratique. Le jeune homme de 20 ans décide il y a un an d’investir de l’argent de son compte épargne dans les cryptomonnaies. Au bout de quelques mois, son portefeuille virtuel affiche les 100 000 dollars. « À ce moment-là, j’ai beaucoup d’argent et je commence à regarder les streams casinos », confie Arthur. Ces streams, ce sont des vidéos diffusées en direct sur l’application Twitch . Partout dans le monde, il existe des « streamers casinos » qui se filment en train de jouer d’énormes sommes au casino en ligne. « Ça peut aller de 20, 30, 40 ou même 100 000 dollars », explique l’ex-joueur. Comme beaucoup d’influenceurs qui font la promotion de jeux d’argent, ils affichent leur richesse sur leurs réseaux sociaux avec des photos montrant des liasses de billets ou des montres de luxe. En France, les deux streamers casino les plus connus sont TeuffeurS et Le Bidule. Arthur commence à regarder ces lives casino, et à partir de là tout va très vite. Au bout de quelques semaines, il ne passe pas une journée sans être devant une de ces vidéos. « Un jour je me dis, pourquoi pas moi ? ». Il joue sur des casinos où l’on peut miser en cryptomonnaies. Le jeune homme dépose d’abord 500 ou 1 000 dollars, ce qui lui semble peu par rapport à son portefeuille initial de 100 000 dollars. Mais les défaites s’enchaînent et les victoires le poussent à jouer des plus grosses sommes. « Le casino en ligne c’est terrible parce qu’on peut se connecter en dix secondes. Je peux être assis sur mon canapé en train de regarder la télé, deux minutes après, j’ai déjà perdu l’équivalent de 100, 200 euros », souffle-t-il. Ça fait maintenant trois mois qu’il n’est plus allé sur aucun site de casino en ligne. Arthur a réussi a arrêté parce qu’il a perdu l’intégralité de son portefeuille de cryptomonnaies. « Je n’en ai toujours pas parlé à ma famille parce que ma mère et ma sœur savaient que j’avais beaucoup d’argent et je leur ai promis de leur acheter des trucs. Ma mère a refait sa cuisine, je lui avais dit que je pouvais la payer », s’attriste-t-il avant de confier son sentiment d’avoir « gâché ma vie future ». Arthur a décidé de témoigner pour sensibiliser sur les dangers du casino en ligne : « Ne regardez pas de streams, ça va vous donner envie de jouer, ne déposez pas pour la première fois, vous allez devenir accro, et surtout parlez-en autour de vous ».

«J’ai gâché ma vie future» : Arthur, 20 ans, a perdu 100 000 euros au casino en ligne

« J’ai vraiment honte ». D’un ton neutre mais avec des qualificatifs sévères à son égard, Arthur raconte comment il est devenu accro aux casinos en ligne, alors qu’il était bien conscient des risques de cette pratique. Le jeune homme de 20 ans décide il y a un an d’investir de l’argent de son compte épargne dans les cryptomonnaies. Au bout de quelques mois, son portefeuille virtuel affiche les 100 000 dollars. « À ce moment-là, j’ai beaucoup d’argent et je commence à regarder les streams casinos », confie Arthur. Ces streams, ce sont des vidéos diffusées en direct sur l’application Twitch . Partout dans le monde, il existe des « streamers casinos » qui se filment en train de jouer d’énormes sommes au casino en ligne. « Ça peut aller de 20, 30, 40 ou même 100 000 dollars », explique l’ex-joueur. Comme beaucoup d’influenceurs qui font la promotion de jeux d’argent, ils affichent leur richesse sur leurs réseaux sociaux avec des photos montrant des liasses de billets ou des montres de luxe. En France, les deux streamers casino les plus connus sont TeuffeurS et Le Bidule. Arthur commence à regarder ces lives casino, et à partir de là tout va très vite. Au bout de quelques semaines, il ne passe pas une journée sans être devant une de ces vidéos. « Un jour je me dis, pourquoi pas moi ? ». Il joue sur des casinos où l’on peut miser en cryptomonnaies. Le jeune homme dépose d’abord 500 ou 1 000 dollars, ce qui lui semble peu par rapport à son portefeuille initial de 100 000 dollars. Mais les défaites s’enchaînent et les victoires le poussent à jouer des plus grosses sommes. « Le casino en ligne c’est terrible parce qu’on peut se connecter en dix secondes. Je peux être assis sur mon canapé en train de regarder la télé, deux minutes après, j’ai déjà perdu l’équivalent de 100, 200 euros », souffle-t-il. Ça fait maintenant trois mois qu’il n’est plus allé sur aucun site de casino en ligne. Arthur a réussi a arrêté parce qu’il a perdu l’intégralité de son portefeuille de cryptomonnaies. « Je n’en ai toujours pas parlé à ma famille parce que ma mère et ma sœur savaient que j’avais beaucoup d’argent et je leur ai promis de leur acheter des trucs. Ma mère a refait sa cuisine, je lui avais dit que je pouvais la payer », s’attriste-t-il avant de confier son sentiment d’avoir « gâché ma vie future ». Arthur a décidé de témoigner pour sensibiliser sur les dangers du casino en ligne : « Ne regardez pas de streams, ça va vous donner envie de jouer, ne déposez pas pour la première fois, vous allez devenir accro, et surtout parlez-en autour de vous ».

«J’ai gâché ma vie future» : Arthur a perdu ses économies au casino en ligne

« J’ai vraiment honte ». D’un ton neutre mais avec des qualificatifs sévères à son égard, Arthur raconte comment il est devenu accro aux casinos en ligne, alors qu’il était bien conscient des risques de cette pratique. Le jeune homme de 20 ans décide il y a un an d’investir de l’argent de son compte épargne dans les cryptomonnaies. Au bout de quelques mois, son portefeuille virtuel affiche les 100 000 dollars. « À ce moment-là, j’ai beaucoup d’argent et je commence à regarder les streams casinos », confie Arthur. Ces streams, ce sont des vidéos diffusées en direct sur l’application Twitch . Partout dans le monde, il existe des « streamers casinos » qui se filment en train de jouer d’énormes sommes au casino en ligne. « Ça peut aller de 20, 30, 40 ou même 100 000 dollars », explique l’ex-joueur. Comme beaucoup d’influenceurs qui font la promotion de jeux d’argent, ils affichent leur richesse sur leurs réseaux sociaux avec des photos montrant des liasses de billets ou des montres de luxe. En France, les deux streamers casino les plus connus sont TeuffeurS et Le Bidule. Arthur commence à regarder ces lives casino, et à partir de là tout va très vite. Au bout de quelques semaines, il ne passe pas une journée sans être devant une de ces vidéos. « Un jour je me dis, pourquoi pas moi ? ». Il joue sur des casinos où l’on peut miser en cryptomonnaies. Le jeune homme dépose d’abord 500 ou 1 000 dollars, ce qui lui semble peu par rapport à son portefeuille initial de 100 000 dollars. Mais les défaites s’enchaînent et les victoires le poussent à jouer des plus grosses sommes. « Le casino en ligne c’est terrible parce qu’on peut se connecter en dix secondes. Je peux être assis sur mon canapé en train de regarder la télé, deux minutes après, j’ai déjà perdu l’équivalent de 100, 200 euros », souffle-t-il. Ça fait maintenant trois mois qu’il n’est plus allé sur aucun site de casino en ligne. Arthur a réussi a arrêté parce qu’il a perdu l’intégralité de son portefeuille de cryptomonnaies. « Je n’en ai toujours pas parlé à ma famille parce que ma mère et ma sœur savaient que j’avais beaucoup d’argent et je leur ai promis de leur acheter des trucs. Ma mère a refait sa cuisine, je lui avais dit que je pouvais la payer », s’attriste-t-il avant de confier son sentiment d’avoir « gâché ma vie future ». Arthur a décidé de témoigner pour sensibiliser sur les dangers du casino en ligne : « Ne regardez pas de streams, ça va vous donner envie de jouer, ne déposez pas pour la première fois, vous allez devenir accro, et surtout parlez-en autour de vous ».

Obsèques de Bernard Tapie : une foule de Marseillais unie derrière le corbillard

C’est l’heure du dernier hommage. Les obsèques de Bernard Tapie, décédé dimanche dernier à l’âge de 78 ans, se tiennent ce vendredi, à Marseille, sa « ville de cœur ». Le cortège, qui suit la dépouille de Bernard Tapie, a quitté le Vieux-Port – où une foule d’admirateurs était réunie – pour rejoindre la cathédrale Sainte Marie-Majeure.

Belgique-France (2-3) : « C’est fabuleux ! », s’enthousiasme Deschamps

Bousculés dans les grandes largeurs et menés au score à la mi-temps par la Belgique (0-2), l’équipe de France a superbement retourné la situation, jeudi soir à Turin lors de la demi-finale de la Ligue des Nations. Emmené, notamment, par un Kylian Mbappé des grands soirs, les Bleus se sont imposés 3-2, sur le fil, au terme d’un match au scenario fou. A l’issue du match, Didier Deschamps
pouvait savourer la performance de ses joueurs face à l’équipe numéro 1 du classement Fifa. En finale de cette Ligue des Nations, la France affrontera l’Espagne, victorieuse de l’Italie la veille (2-1).

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