Le Japon a officiellement lancé, ce vendredi, les Jeux olympiques de Tokyo, prévus initialement l’année dernière. La cérémonie d’ouverture s’est tenue sans public, mais pas sans spectacle. Revivez l’événement en vidéo.
Les départs de feux se comptent par dizaines dans l’ouest des Etat-Unis et du Canada attisés par une intense sécheresse suite aux températures caniculaires du mois de juin. Les pompiers se battent contre de véritables « monstres » qui génèrent même « leur propre climat ».
De nombreux parents, dont certains vaccinés, sont réticents à l’idée de faire vacciner leurs enfants. Si cette hésitation est compréhensible, le pédiatre Robert Cohen se veut rassurant sur les effets indésirables, à court comme à long terme. Pour l’instant les moins de 12 ans ne sont pas concernés par la vaccination contre le Covid-19 mais dans les familles avec des ados, vacciner les jeunes soulève des interrogations. « Moi ça me fait un peu peur, déclare Sandrine cette mère de famille de 3 ados de 18, 16 et 11 ans en vacances à Paris. On nous met au pied du mur. Mes enfants ne sont pas vaccinés mais s’ils veulent reprendre une vie normale, ils n’auront pas trop le choix ». Au 18 juillet 2021, 15 % des mineurs avaient reçu une dose de vaccin tandis que 5 % avaient une couverture vaccinale complète. « L’hésitation est normale, explique le pédiatre Robert Cohen. Il est compréhensible de poser à son médecin ou au gouvernement les questions qui se posent. Par exemple j’entends quelques interrogations fréquentes, poursuit le docteur. Est-ce que le vaccin touche la fertilité ? Bien entendu que non. Est-ce que les vaccins ARN s’intègrent aux gènes du sujet ? Non, on est absolument certains que non. Peut-il déclencher une sclérose en plaques ? Non. Une thrombose chez l’adolescent, non ». Quels sont donc les effets indésirables graves qui peuvent survenir chez les mineurs vaccinés ? « Après deux mois de recul sur la vaccination, on a vu qu’un seul effet indésirable facile à diagnostiquer et relativement rare : les péricardites et les myocardites, selon le docteur Cohen. L’incidence est de 1 pour 100 000 cas, ce qui est relativement faible. De plus c’est une maladie qui se prend en charge relativement facilement ».
Arrivé ce vendredi à Tokyo au Japon quelques heures avant d’assister
à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, le président Emmanuel Macron est passé saluer une délégation d’athlètes français et s’est entretenu avec le président du CIO, Thomas Bach, en tant que président du pays hôte de la
prochaine édition Paris-2024. « Nous sommes à pied d’œuvre, on sort du
bureau là, d’une très bonne discussion avec le président du CIO, Thomas Bach et donc nous allons continuer nous aussi à aller de l’avant pour préparer notre
pays au rendez-vous de 2024, nos athlètes mais aussi je dirais nos enfants,
toute la société, et être au rendez-vous de ces valeurs et de l’exigence de la
performance », a-t-il déclaré à l’issue de ses entretiens.
C’est une révélation fracassante qui vient du patron de l’Agence mondiale antidopage. Interviewé par l’Afp, Witold Banka a affirmé que la majorité des sportifs américains ne respectent pas le « code mondial antidopage ». « Avec l’USADA (Agence américaine antidopage) le programme antidopage n’est pas parfait. Sur la base des faits, il faut dire que près de 90 % des athlètes américains ne participent pas aux compétitions selon le code [mondial antidopage]. Ce n’est donc pas équitable. » La critique formulée lors d’une interview vidéo à l’APF par le directeur de l’Agence mondiale antidopage, est violente. Witold Banka explique vouloir travailler avec les États-Unis sur ce sujet : « Nous avons besoin d’eux. En tant que grande nation sportive, il est bon de travailler avec eux, de se soutenir mutuellement et de ne pas se faire concurrence. Pas pour se disputer mais pour travailler ensemble. C’est le message que je leur adresse : travaillons. » Retrouvez son interview en vidéo.
Au volant de sa camionnette jaune transformée en « sound system » itinérant, Emmanuel Maizeret fait vibrer les rues de Paris au son de classiques du reggae, de musique funk et disco. Pour le plus grand plaisirs des passants et clients de bars qu’il croise sur sa route.
« Si vous ne m’aidez pas, je sauterai », lance Ali, 17 ans, face caméra, depuis son toit. Dans cette courte vidéo publiée le 15 juillet dernier et qui a fait le tour des réseaux sociaux, ce jeune adolescent irakien s’adresse directement au président américain Joe Biden. Un cri désespéré de la jeunesse irakienne qui n’en peut plus de vivre dans un pays où il n’y a presque pas d’électricité, où les conditions de vie sont difficiles, où il manque de tout. Sur Facebook et Instagram, l’adolescent tient comme un journal de bord, où il témoigne régulièrement de des problèmes de son pays meurtri par les guerres successives. Et où les Etats-Unis ont encore de nombreux soldats. « Quand dans d’autres pays, les jeunes comme moi font leurs études, nous ici, on est juste heureux d’avoir du carburant pour faire fonctionner nos générateurs pour avoir un peu d’électricité », témoigne Ali. Trois jours plus tard et après plus de 700 000 vues sur Facebook et Instagram, le SOS lancé par Ali aux autorités américaines a bien été entendu. Sur Twitter, c’est le secrétaire d’État adjoint par intérim aux Affaires du Proche-Orient, Joey Hood, qui lui a répondu. « Ne saute pas du toit s’il te plaît. Nous, en Amérique, nous t’aimons, ne saute pas… La vie est précieuse, nous pouvons la faire mieux ensemble sur les Irakiens et les Américains », a-t-il dit dans une vidéo retweetée par l’ambassade des États-Unis à Bagdad.
« Si vous ne m’aidez pas, je sauterai », lance Ali, 17 ans, face caméra, depuis son toit. Dans cette courte vidéo publiée le 15 juillet dernier et qui a fait le tour des réseaux sociaux, ce jeune adolescent irakien s’adresse directement au président américain Joe Biden. Un cri désespéré de la jeunesse irakienne qui n’en peut plus de vivre dans un pays où il n’y a presque pas d’électricité, où les conditions de vie sont difficiles, où il manque de tout. Sur Facebook et Instagram, l’adolescent tient comme un journal de bord, où il témoigne régulièrement de des problèmes de son pays meurtri par les guerres successives. Et où les Etats-Unis ont encore de nombreux soldats. « Quand dans d’autres pays, les jeunes comme moi font leurs études, nous ici, on est juste heureux d’avoir du carburant pour faire fonctionner nos générateurs pour avoir un peu d’électricité », témoigne Ali. Trois jours plus tard et après plus de 700 000 vues sur Facebook et Instagram, le SOS lancé par Ali aux autorités américaines a bien été entendu. Sur Twitter, c’est le secrétaire d’État adjoint par intérim aux Affaires du Proche-Orient, Joey Hood, qui lui a répondu. « Ne saute pas du toit s’il te plaît. Nous, en Amérique, nous t’aimons, ne saute pas… La vie est précieuse, nous pouvons la faire mieux ensemble sur les Irakiens et les Américains », a-t-il dit dans une vidéo retweetée par l’ambassade des États-Unis à Bagdad.
Les avions de chasse japonais ont dessiné les 5 grands anneaux dans le ciel de la capitale à l’occasion du lancement des Jeux Olympiques. C’est une des rares manifestations de fête pour ces « JO de la pandémie ». C’est une des rares festivités pour ces Jeux olympiques qui s’ouvrent au Japon vendredi 23 juillet 2021. Dans le ciel de la capitale du pays, les habitants ont pu observer les manœuvres impressionnantes de leurs avions de chasse au dessus d stade olympique. Les aéronefs de l’équipe de voltige de la force aérienne japonaise surnommée les Blue Impulse ont dessiné dans un ballet parfaitement maîtrisé 5 grands anneaux olympiques au-dessus des toits de Tokyo. Cette édition de la compétition sportive mondiale va se tenir dans un pays sous un nouvel État d’urgence sanitaire instauré le 8 juillet. Reportés an dernier, puis maintenus cet été malgré une reprise épidémique sur l’archipel et dans le monde, ces Jeux olympiques souffriront d’un protocole sanitaire très strict et de nombreuses restrictions.
Après l’accident qui a coûté la vie à une jeune italienne, la question de la vitesse des trottinettes est plus que jamais d’actualité. Si celles des opérateurs sont théoriquement limitées à 30 km/h maxi, les trottinettes en vente, normalement aussi bridées, peuvent en fait être très facilement débridées et rouler à des vitesses folles. On a testé.
Après l’accident qui a coûté la vie à une jeune italienne, la question de la vitesse des trottinettes est plus que jamais d’actualité. Si celles des opérateurs sont théoriquement limitées à 30 km/h maxi, les trottinettes en vente, normalement aussi bridées, peuvent en fait être très facilement débridées et rouler à des vitesses folles. On a testé.
Des dizaines de véhicules empilés sur une autoroute : les images des inondations en Chine sont impressionnantes. 376 000 personnes ont été évacuées dans la province du Henan au centre du pays selon les autorités. Certains responsables politiques les appellent déjà les crues du « Millénaire ». En tout cas depuis la création du système de surveillance il y a 60 ans, jamais les habitants de la province du Henan dans le centre de la Chine n’avaient vécu pareille catastrophe. Un an de pluie en trois jours est tombé sur la région. Les images sont terribles, apocalyptiques. À Zhengzhou, la capitale du Henan, un drone a filmé des dizaines de véhicules emportés par l’eau et entassés sur une autoroute. Le dernier bilan fait état d’au moins 33 morts et huit disparus. Le gouvernement a déjà débloqué une aide d’urgence de 13 millions d’euros pour soutenir en urgence le Henan.
