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Son fils harcelé au collège, le père attaqué au couteau : ils doivent se réfugier à l’hôtel

Depuis dimanche soir, Ayoub, fonctionnaire de 51 ans et son fils
de 13 ans, Slimane ( le prénom a été modifié ), se sont réfugiés à l’hôtel,
loin de leur domicile de Pantin ( Seine-Saint-Denis) pour se protéger. « Parce
que nous avons été menacés, parce notre vie est en danger », souffle le
père de famille, les yeux cernés après plusieurs nuits blanches passées à
rassurer son jeune fils, encore traumatisé par les évènements vécus ces
dernières semaines. Slimane, jeune collégien en classe de 4 e est
victime de harcèlement de la part d’un autre élève, Ahmed ( son prénom a aussi
été changé ) depuis le mois de mars. Menaces, insultes, intimidation… Le jeune ado brise le silence et en parle à ses parents. Eux, décident d’en avertir les
responsables de collège, le rectorat et la famille du harceleur. « Dans un
premier temps, nous avons tenté une conciliation avec le harceleur de mon fils
et sa famille. Mais rien n’y a changé. Il a continué à menacer mon enfant.
Alors avec ma femme, nous avons porté plainte », raconte Ayoub. La
situation va rapidement dégénérer. La famille d’Ahmed, sa cousine notamment, sont
remontés. « Ils ont voulu se venger. Nous faire payer notre dépôt de
plainte », poursuit Ayoub. Samedi 18 juin, devant leur domicile, le père
de famille croise la cousine du jeune harceleur, suivie par un homme qui
brandit un long couteau. L’individu armé le poursuit et tente de l’agresser. « Il
a essayé de me tuer, jure Ayoub. J’ai couru jusqu’à ma porte. J’ai réussi à repousser
les coups de couteau avec mon sac à dos. J’étais à deux doigts de me faire poignarder ».
Le lendemain, le même homme passe devant Ayoub en voiture et brandit une arme à
feu. « C’est à ce moment que j’ai décidé de faire nos bagages et de partir
loin d’ici. J’ai pris mon fils et nous sommes partis à l’hôtel », raconte
Ayoub.
Sa femme et ses deux filles, elles, se sont réfugiés chez des proches.
La police de Pantin a ouvert une enquête et doit poursuivre ses auditions dans
les prochains jours. Pour Ayoub, pas question de retourner vivre à Pantin. « Nous allons déménager. On ne remettra plus les pieds là-bas. C’est trop dangereux.
Nous ne sommes pas protégés. C’est totalement incompréhensible. Mon fils est la victime. Il a été pris pour cible par cette famille. Dans quel pays vit-on ?
Je suis en colère », s’insurge le père de famille.

Victimes de harcèlement, un père et son fils se réfugient à l’hôtel

Depuis dimanche soir, Ayoub, fonctionnaire de 51 ans et son fils
de 13 ans, Slimane ( le prénom a été modifié ), se sont réfugiés à l’hôtel,
loin de leur domicile de Pantin ( Seine-Saint-Denis) pour se protéger. « Parce
que nous avons été menacés, parce notre vie est en danger », souffle le
père de famille, les yeux cernés après plusieurs nuits blanches passées à
rassurer son jeune fils, encore traumatisé par les évènements vécus ces
dernières semaines. Slimane, jeune collégien en classe de 4 e est
victime de harcèlement de la part d’un autre élève, Ahmed ( son prénom a aussi
été changé ) depuis le mois de mars. Menaces, insultes, intimidation… Le jeune ado brise le silence et en parle à ses parents. Eux, décident d’en avertir les
responsables de collège, le rectorat et la famille du harceleur. « Dans un
premier temps, nous avons tenté une conciliation avec le harceleur de mon fils
et sa famille. Mais rien n’y a changé. Il a continué à menacer mon enfant.
Alors avec ma femme, nous avons porté plainte », raconte Ayoub. La
situation va rapidement dégénérer. La famille d’Ahmed, sa cousine notamment, sont
remontés. « Ils ont voulu se venger. Nous faire payer notre dépôt de
plainte », poursuit Ayoub. Samedi 18 juin, devant leur domicile, le père
de famille croise la cousine du jeune harceleur, suivie par un homme qui
brandit un long couteau. L’individu armé le poursuit et tente de l’agresser. « Il
a essayé de me tuer, jure Ayoub. J’ai couru jusqu’à ma porte. J’ai réussi à repousser
les coups de couteau avec mon sac à dos. J’étais à deux doigts de me faire poignarder ».
Le lendemain, le même homme passe devant Ayoub en voiture et brandit une arme à
feu. « C’est à ce moment que j’ai décidé de faire nos bagages et de partir
loin d’ici. J’ai pris mon fils et nous sommes partis à l’hôtel », raconte
Ayoub.
Sa femme et ses deux filles, elles, se sont réfugiés chez des proches.
La police de Pantin a ouvert une enquête et doit poursuivre ses auditions dans
les prochains jours. Pour Ayoub, pas question de retourner vivre à Pantin. « Nous allons déménager. On ne remettra plus les pieds là-bas. C’est trop dangereux.
Nous ne sommes pas protégés. C’est totalement incompréhensible. Mon fils est la victime. Il a été pris pour cible par cette famille. Dans quel pays vit-on ?
Je suis en colère », s’insurge le père de famille.

Il crée l’Overboat, « une trottinette électrique des mers »

Mi-bateau, mi-jetski, le tout en version électrique et quasi-silencieuse… Drôle d’engin, cet objet flottant et volant a été baptisé « Overboat » par Vincent Dufour, le président de Neocean, la société qui lui a donné vie. Et il pourrait, peu à peu, s’inscrire dans les paysages de bords de mer. « C’est un bateau, avec un moteur électrique et l’autre particularité, c’est qu’il a des foils, détaille son créateur. « Les foils, ce sont des ailes sous-marines qui vont soulever le bateau et qui vont lui permettre d’économiser énormément d’énergie ». Ce véhicule, qui a mis cinq ans à voir le jour, donne effectivement le sentiment de voler au ras de l’eau, sans bruit, et jusqu’à 30km/h. « Je trouve que les bateaux polluent beaucoup la mer », développe Vincent Dufour, biologiste marin de formation, « il y a deux sources de pollution : le pétrole (les moteurs thermiques), mais aussi le bruit. Pour la faune sous-marine, le bruit est une pollution terrible qui diminue même le taux de reproduction des poissons ». Commercialisé depuis le printemps, l’Overboat coûte 32000 euros et pourrait, à terme, fleurir dans les bases nautiques pour être proposer à la location aux particuliers. « Mais il y a aussi l’usage professionnel. Par exemple, la Fédération française de canoë-kayak
nous en a pris et la fédération française d’aviron est très intéressée. Pourquoi ? Parce qu’on ne fait pas de vagues. On peut donc suivre les rameurs ou les bateaux sans faire de vagues et les entraîneurs peuvent parler aux rameurs, puisque c’est silencieux ».

Électrique et silencieux, voici l’Overboat, le petit « bateau qui vole »

Mi-bateau, mi-jetski, le tout en version électrique et quasi-silencieuse… Drôle d’engin, cet objet flottant et volant a été baptisé « Overboat » par Vincent Dufour, le président de Neocean, la société qui lui a donné vie. Et il pourrait, peu à peu, s’inscrire dans les paysages de bords de mer. « C’est un bateau, avec un moteur électrique et l’autre particularité, c’est qu’il a des foils, détaille son créateur. « Les foils, ce sont des ailes sous-marines qui vont soulever le bateau et qui vont lui permettre d’économiser énormément d’énergie ». Ce véhicule, qui a mis cinq ans à voir le jour, donne effectivement le sentiment de voler au ras de l’eau, sans bruit, et jusqu’à 30km/h. « Je trouve que les bateaux polluent beaucoup la mer », développe Vincent Dufour, biologiste marin de formation, « il y a deux sources de pollution : le pétrole (les moteurs thermiques), mais aussi le bruit. Pour la faune sous-marine, le bruit est une pollution terrible qui diminue même le taux de reproduction des poissons ». Commercialisé depuis le printemps, l’Overboat coûte 32000 euros et pourrait, à terme, fleurir dans les bases nautiques pour être proposer à la location aux particuliers. « Mais il y a aussi l’usage professionnel. Par exemple, la Fédération française de canoë-kayak
nous en a pris et la fédération française d’aviron est très intéressée. Pourquoi ? Parce qu’on ne fait pas de vagues. On peut donc suivre les rameurs ou les bateaux sans faire de vagues et les entraîneurs peuvent parler aux rameurs, puisque c’est silencieux ».

Ils inventent un piège anti-moustiques révolutionnaire

C’est l’histoire de deux amis d’enfance – « on se connaît depuis qu’on a 6 ans ! » – qui ont grandi en Camargue, une région infestée de moustiques. À trente ans, Pierre Bellagambi et Simon Lillamand, ont décidé de s’associer et de s’attaquer à ce fléau. Ils ont conçu une « borne » anti-moustique baptisée Qista, selon un principe innovant et astucieux.
La borne est un leurre. « Elle va simuler la respiration humaine avec du CO2 et un leurre olfactif. Cela va indiquer à la femelle moustique qui est en recherche d’un repas à sang chaud qu’il y a quelqu’un a piquer à l’intérieur. Elle s’approche et dans sa course elle se fait aspirer dans un filet », explique Simon Lillamand. Un moyen écologique de stopper leur folle reproduction : un moustique peut pondre jusqu’à 200 oeufs en 48h.

Floride : un immeuble s’effondre partiellement «sans aucune raison», au moins un mort

Au moins une personne est décédée jeudi lors de l’effondrement partiel d’un immeuble résidentiel de douze étages en Floride, dans le sud-est des États-Unis. Les autorités redoutent que le bilan ne s’aggrave, alors qu’une opération de secours massive est en cours. «Nous avons transporté au moins deux personnes à l’hôpital ce matin et l’une d’entre elles est décédée», a déclaré le maire de Surfside, la ville où se trouvait l’immeuble. «Nous avons soigné dix personnes sur place», a-t-il ajouté, précisant que les unités canines n’aient détecté aucune victime sous les gravats. Le nombre de personnes vivant dans l’immeuble ou s’y trouvant lors du sinistre n’était pas immédiatement clair, jeudi. «Je crois qu’il y avait pas mal de monde à l’intérieur», a décrit le maire. Les causes de l’écroulement de ce complexe résidentiel étaient toujours «inconnues» jeudi matin, a confié au Miami Herald Daniella Levine Cava, à la tête du comté de Miami-Dade. Des médias locaux ont rapporté que l’immeuble avait été construit en 1981 et comprenait plus de 130 appartements.

«Ça fait treize ans et ça suffit» : Britney Spears demande à un tribunal de lever sa tutelle

«Je veux juste reprendre ma vie, ça fait treize ans et ça suffit.» La chanteuse américaine Britney Spears a demandé mercredi à un tribunal de Los Angeles (Californie) de lever la tutelle dont elle fait l’objet depuis 2008 à la suite de troubles psychologiques, et qui la prive d’une grande part de son autonomie. La pop star qui s’exprimait, à sa demande expresse, lors d’une audience menée via internet s’est dite «déprimée» et «traumatisée». Britney Spears a parlé de manière ininterrompue pendant plus d’une vingtaine de minutes, avec un débit extrêmement rapide et en enchaînant les arguments pour demander à la juge Brenda Penny de lever cette mesure judiciaire qui lui fait,
selon elle, «plus de mal que de bien».
«Je pense vraiment que cette tutelle est abusive», a-t-elle lancé. «J’ai dit au monde que je suis heureuse et que je vais bien», mais «je suis traumatisée», a ajouté l’artiste de 39 ans. «Je ne suis pas heureuse, je ne peux pas dormir. Je suis tellement en colère», a-t-elle insisté, assurant «pleurer tous les jours».

«Ça fait treize ans et ça suffit» : Britney Spears au tribunal pour lever sa mise sous tutelle

«Je veux juste reprendre ma vie, ça fait treize ans et ça suffit.» La chanteuse américaine Britney Spears a demandé mercredi à un tribunal de Los Angeles (Californie) de lever la tutelle dont elle fait l’objet depuis 2008 à la suite de troubles psychologiques, et qui la prive d’une grande part de son autonomie. La pop star qui s’exprimait, à sa demande expresse, lors d’une audience menée via internet s’est dite «déprimée» et «traumatisée». Britney Spears a parlé de manière ininterrompue pendant plus d’une vingtaine de minutes, avec un débit extrêmement rapide et en enchaînant les arguments pour demander à la juge Brenda Penny de lever cette mesure judiciaire qui lui fait,
selon elle, «plus de mal que de bien».
«Je pense vraiment que cette tutelle est abusive», a-t-elle lancé. «J’ai dit au monde que je suis heureuse et que je vais bien», mais «je suis traumatisée», a ajouté l’artiste de 39 ans. «Je ne suis pas heureuse, je ne peux pas dormir. Je suis tellement en colère», a-t-elle insisté, assurant «pleurer tous les jours».

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