Leparisien

Depuis le mois d’octobre, aucun visiteur n’a franchi ses portes. Mais elle rouvriront bien le 17 juin – neuf jours après les autres parcs d’attraction. Pourtant, en coulisses, le personnel s’active. Ces sept mois de fermeture ont laissé le temps de faire tous les travaux nécessaires: «On a profité de le fermeture pour faire énormément de travaux. On a travaillé sur des choses pour lesquelles on a du mal à intervenir, parce qu’elles demandent du temps. Mais justement, on avait du temps», explique Rémi Portes, le manager du service maintenance. Réparation du carrosse de Cendrillon, nettoyage des fruits de la cabane des Robinson, ou encore peinture des chevaux du carrousel: au total, ce sont 230 salariés qui travaillent dans les ateliers du parc.

Depuis le mois d’octobre, aucun visiteur n’a franchi ses portes. Mais elle rouvriront bien le 17 juin – neuf jours après les autres parcs d’attraction. Pourtant, en coulisses, le personnel s’active. Ces sept mois de fermeture ont laissé le temps de faire tous les travaux nécessaires: «On a profité de le fermeture pour faire énormément de travaux. On a travaillé sur des choses pour lesquelles on a du mal à intervenir, parce qu’elles demandent du temps. Mais justement, on avait du temps», explique Rémi Portes, le manager du service maintenance. Réparation du carrosse de Cendrillon, nettoyage des fruits de la cabane des Robinson, ou encore peinture des chevaux du carrousel: au total, ce sont 230 salariés qui travaillent dans les ateliers du parc.

Il a la réputation d’être le château « le plus hanté de France ». A Queaux, dans la Vienne, niché dans un écrin de verdure, à l’abri des regards, le château de Fougeret attire chaque année des centaines de curieux, d’amateurs du paranormal et même quelques sceptiques. Les propriétaires des lieux, Véronique et François Geffroy nous ont ouvert leur porte pour vivre une nuit spirite. Jusqu’au bout de la nuit.

Il a la réputation d’être le château « le plus hanté de France ». A Queaux, dans la Vienne, niché dans un écrin de verdure, à l’abri des regards, le château de Fougeret attire chaque année des centaines de curieux, d’amateurs du paranormal et même quelques sceptiques. Les propriétaires des lieux, Véronique et François Geffroy nous ont ouvert leur porte pour vivre une nuit spirite. Jusqu’au bout de la nuit.

Dans le quartier du Prado à Cannes, les résidents font face à une drôle d’invasion. Des lapins, échappés d’un élevage, ont pris possession des parcs. De quoi réjouir les plus jeunes mais pas leurs aînés, lassés des dégâts qu’ils causent au quotidien. Derrière une plante, dépassent deux grandes oreilles. Celles d’un lapin. Depuis plusieurs mois, lui et ses congénères ont envahi le parc de la résidence Montrose à Cannes. « Ils se sont éparpillés dans tout le quartier », explique Juan, le gardien. « On en a attrapé plusieurs mais entre temps, c’est devenu une grande famille ! » ajoute-il. Ces lapins ne font pas l’unanimité parmi les résidents, surtout ceux qui vivent en rez-de-chaussée : « ils font leurs besoins partout, ils mangent toutes les fleurs et le basilic qu’on plante sur nos terrasses. Avant-hier, j’en ai trouvé un dans ma cuisine, il y a 8 jours, un autre sous mon lit, j’ai poussé un de ces hurlements », confesse Martine. Le gardien explique que les lapins ont mangé pour 3.000 euros de fleurs dans ce parc bien entretenu. « Le problème c’est que ça se reproduit très vite », ajoute la résidente. La durée de gestation d’un lapin est d’un mois. Les plus jeunes, eux, s’en réjouissent et s’amusent à leur courir après. « Je trouve ça trop mignon les lapins, j’essaie de les attraper parce que j’en veux un », raconte la petite Héloïse. « Quatre petits se sont faits écraser sur la route, ça m’a rendu triste », ajoute-elle. Les résidents constatent tout de même qu’il y a de moins en moins de lapins mais pour ceux qui restent, la chasse continue.

Bien que rapide, la scène a été immortalisée et publiée sur
Twitter. Ce mardi, durant un déplacement à Tain-l’Hermitage, Emmanuel Macron a été giflé par un homme, alors qu’il venait saluer au milieu de la foule. Condamnée par la class e politique, l’agression n’est pas isolée. Avant lui, en 2011, Nicolas Sarkozy avait également été interpellé et violemment attrapé par un homme, ce dernier voulant exprimer son désaccord avec la politique du président. Les candidats à l’Elysées ne sont pas épargnés par ces incidents. Emmanuel Macron avait été la cible d’un jet d’œuf au Salon de l’agriculture, tandis que Manuel Valls avait, la même année, été giflé en déplacement en Bretagne.

La Salvadorienne Sara Rogel a déclaré aux médias qu’elle a « l’impression de naître à nouveau » après sa libération de prison. Condamnée à une peine de 30 ans pour un avortement qualifié d’homicide aggravé, la jeune femme a été libérée après avoir passé presque neuf ans derrière les barreaux.

« Dans les intentions et dans les attitudes, on est dans le vrai », a estimé le sélectionneur de l’équipe de France, Didier Deschamps, après la victoire en match amical de la France contre la Bulgarie (3-0), à quelques jours du début de l’Euro. Concernant l’attaquant Karim Benzema, remplacé en première mi-temps, « il ne fallait pas prendre de risque et c’est pour cela qu’il est sorti », explique Deschamps.

“Quand la bêtise s’allie à la violence, elle est inacceptable”, déclare le président français Emmanuel Macron quelques heures après avoir été giflé par un homme lors d’un déplacement à Tain-l’Hermitage (Drôme). “La colère moi je l’entends… La bêtise et la violence non, pas en démocratie”, ajoute-t-il lors d’un long bain de foule à Valence en compagnie de son épouse Brigitte.

«Quand la bêtise s’allie à la violence, elle est inacceptable», déclare le président français Emmanuel Macron quelques heures après avoir été giflé par un homme lors d’un déplacement à Tain-l’Hermitage (Drôme). «La colère moi je l’entends… La bêtise et la violence non, pas en démocratie», ajoute-t-il lors d’un long bain de foule à Valence en compagnie de son épouse Brigitte.

Les supporters de l’équipe de France de football retrouvent les Bleus avec joie pour la première fois depuis plus d’un an et demi de rencontres à huis clos

Seuls exclus du plan de déconfinement, les établissements de nuits sont fermés depuis mars 2020. Accrochés à l’espoir d’une éventuelle réouverture cet été, les acteurs des clubs parisiens racontent leurs souvenirs de la dernière fête, les reconversions temporaires et ce qu’ils préparent pour fêter leur retour.