La tête dans les étoiles. Sous les yeux du monde entier, la fusée Space X d’Elon Musk a emporté Thomas Pesquet et trois autres astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS). Comme prévu, après une préparation minutée, l’engin a décollé à 11h49 précises (heure française) depuis le centre spatial Kennedy de la Nasa en Floride (Etats-Unis).
La tête dans les étoiles. Sous les yeux du monde entier, la fusée Space X d’Elon Musk a emporté Thomas Pesquet et trois autres astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS). Comme prévu, après une préparation minutée, l’engin a décollé à 11h49 précises (heure française) depuis le centre spatial Kennedy de la Nasa en Floride (Etats-Unis).
Selon les premières analyses du crash de l’avion de loisir de Saint-Pathus, qui a fait quatre morts dimanche 18 avril, un cormoran a percuté l’aile de l’appareil. Mais il est encore trop tôt pour savoir si ce choc a causé l’accident. Décryptage du risque aviaire avec le consultant aéronautique Xavier Tytelman, spécialiste de la sécurité aérienne.
« J’ai réussi pendant les trois jours de consultation à
faire six doses de vaccin. Toutes les autres personnes ont refusé le vaccin
AstraZeneca. » Patrick Vogt, médecin généraliste à Mulhouse, dans le
Haut-Rhin, a dû jeter mercredi à la poubelle un flacon du vaccin AstraZeneca
qui contenait encore quatre doses. Il a filmé et diffusé cette scène sur les
réseaux sociaux afin de partager son ras-le-bol. « En pleine pandémie, je
vais donc jeter des vaccins à la poubelle », souffle-t-il dans la vidéo vue
plus de 4 000 fois sur Twitter.
Contacté ce vendredi, le docteur Vogt explique sa démarche :
« Cette vidéo est une sorte de cri de désespoir, il faut que quelque chose
change, on va droit au mur ! ». Selon ce médecin généraliste qui
exerce dans le Haut-Rhin, la lassitude a gagné aussi certains de ses confrères.
« On a un petit forum de médecins, et de manière assez unanime, ils disent
qu’ils baissent les bras parce que c’est trop dur de convaincre les gens de se
faire vacciner ».
Le médecin alsacien raconte qu’il a pu vacciner 150 patients
en mars avec le vaccin AstraZeneca, contre seulement une trentaine depuis début
avril. Cette diminution du nombre de primo-vaccinés dans son cabinet s’explique
selon lui par la défiante grandissante à l’égard du vaccin à la suite de
quelques cas de thrombose et de sa suspension « par précaution » dans
les autorités de santé à la mi-mars. « Le doute est là chez les patients,
ils ont maintenant peur des thromboses, alors que le risque est de 1 pour 100 000
vaccin », rappelle le médecin. « Dès lors qu’on suspend un médicament
quelques jours pour faire la part des choses, le mal est fait », poursuit
le docteur Vogt.
Il tient à rassurer les personnes qui doivent encore se
faire vacciner : « faites le choix du vaccin et non du Covid ». Et
afin d’éviter tout nouveau gâchis de doses dans son cabinet de Mulhouse, le
médecin haut-rhinois a assuré s’être inscrit dès vendredi matin sur le site Covidliste.
Après quelques derniers mots échangés avec sa compagne, Thomas Pesquet monte dans la voiture qui le conduit avec ses trois autres coéquipiers à bord du Crew Dragon. La capsule a décollé à 09H49 GMT en direction de la Station spatiale internationale.
Après quelques derniers mots échangés avec sa compagne, Thomas Pesquet monte dans la voiture qui le conduit avec ses trois autres coéquipiers à bord du Crew Dragon. La capsule a décollé à 09H49 GMT en direction de la Station spatiale internationale.
Une cinquantaine d’intermittents du spectacle et d’employés précaires organisent une action devant le théâtre occupé de l’Odéon à Paris, pour revendiquer le caractère “essentiel” de leurs professions avant de rallier la manifestation contre la réforme de l’assurance chômage.
Une cinquantaine d’intermittents du spectacle et d’employés précaires organisent une action devant le théâtre occupé de l’Odéon à Paris, pour revendiquer le caractère “essentiel” de leurs professions avant de rallier la manifestation contre la réforme de l’assurance chômage.
Ce sont les « mains d’amour ». Des gants en latex chauds qui imitent le toucher humain pour les patients atteints de COVID-19 au Brésil. La lutte contre le virus est un combat solitaire. Les patients sont contraints à l’isolement dans des services de soins intensifs, éloignés de leur famille et de leurs amis. C’est pour cela que deux infirmières de la petite ville de Sao Carlos, dans l’État de Sao Paulo au Brésil ont mis au point cette technique qu’elles appellent «petites mains d’amour», qui donne l’illusion du contact humain.
Ce sont les « mains d’amour ». Des gants en latex chauds qui imitent le toucher humain pour les patients atteints de Covid-19 au Brésil. La lutte contre le virus est un combat solitaire. Les patients sont contraints à l’isolement dans des unités de soins intensifs, éloignés de leur famille et de leurs amis. Pour y faire face, deux infirmières de la petite ville de Sao Carlos, dans l’État de Sao Paulo au Brésil, ont développé une nouvelle pratique.
Semei Araújo Cunha et Vanessa Formenton, officiant à l’unité de soins d’urgence de Santa Felicia, remplissent des gants médicaux en latex avec de l’eau tiède. Ensuite, elles les attachent comme des bombes à eau et viennent les placer sur les mains des patients en détresse. « Le malade est réconforté, comme si quelqu’un lui tenait la main », explique Vanessa. Ce réchauffement a un autre avantage que le soutien émotionnel. En effet, les mains froides peuvent fausser les mesures du niveau d’oxygène dans le sang des patients, indiquant à tort que celui-ci est faible. Une température des mains réchauffée à celle du niveau du corps humain, livre des résultats plus fiables.
Ce sont les « mains d’amour ». Des gants en latex chauds qui imitent le toucher humain pour les patients atteints de Covid-19 au Brésil. La lutte contre le virus est un combat solitaire. Les patients sont contraints à l’isolement dans des unités de soins intensifs, éloignés de leur famille et de leurs amis. Pour y faire face, deux infirmières de la petite ville de Sao Carlos, dans l’État de Sao Paulo au Brésil, ont développé une nouvelle pratique.
Semei Araújo Cunha et Vanessa Formenton, officiant à l’unité de soins d’urgence de Santa Felicia, remplissent des gants médicaux en latex avec de l’eau tiède. Ensuite, elles les attachent comme des bombes à eau et viennent les placer sur les mains des patients en détresse. « Le malade est réconforté, comme si quelqu’un lui tenait la main », explique Vanessa. Ce réchauffement a un autre avantage que le soutien émotionnel. En effet, les mains froides peuvent fausser les mesures du niveau d’oxygène dans le sang des patients, indiquant à tort que celui-ci est faible. Une température des mains réchauffée à celle du niveau du corps humain, livre des résultats plus fiables.
