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Mexique : des personnes bloquées dans une cabine téléphérique durant le séisme

Le séisme de magnitude 7,1 qui a secoué le centre et le sud du Mexique dans la nuit de mardi à mercredi a fait un mort, ainsi que des dégâts dans les hôpitaux, les maisons, les magasins et les hôtels du port d’Acapulco, ont indiqué les autorités mercredi. Le tremblement de terre a eu lieu mercredi à 01h47 GMT et son épicentre se trouvait à 11 km au sud-est d’Acapulco, Guerrero, dans le sud du Mexique. Une personne a été tuée par la chute d’un poteau dans la municipalité de Coyuca de Benitez à Guerrero, selon les autorités. Dans les autres parties du pays où le séisme a été ressenti, seuls des dégâts mineurs ont été signalés. À Mexico, un groupe de personnes s’est retrouvé coincé à bord d’un téléphérique au-dessus de la ville après une coupure de courant. « Du calme, du calme », peut-on entendre un homme répondre à une femme en panique. L’auteur de la vidéo a indiqué que les passagers avaient pu être finalement évacués au bout d’une heure.

11 septembre 2001 : «C’était terrible», 20 ans après, deux Français de New York se souviennent

« C’était énorme, ça s’effondrait, ça mourrait juste devant nous, c’était terrible ». 20 ans après, les souvenirs sont toujours aussi clairs et la douleur toujours aussi vive. Norbert Fruteau de Laclos venait de s’installer à New York lorsque l es tours jumelles du World Trade Center se sont effondrées , devant ses yeux, le 11 septembre 2001. « Je suis monté sur le toit de ma société, et là, on a vu les deux tours brûler, la ville qui commençait à s’arrêter et les bruits de sirènes dans tous les sens… », se remémore le Français. En l’espace de quelques heures, ce publicitaire a vu l’horreur se dérouler devant les yeux. « On a vu des choses qui tombaient en gigotant. On s’est rendu compte que c’était des personnes qui sautaient pour échapper aux flammes », décrit-il avec émotion. Alex Jouve était lui aussi présent à New York, lors de l’attaque perpétrée par le groupe terroriste Al-Qaïda . Le quarantenaire rentrait chez lui lorsqu’il a aperçu l’incendie qui a suivi l’impact de l’avion dans la première tour. Il s’est alors précipité devant son poste de télévision : « Quand la première tour est tombée, je n’y croyais pas. Je suis allé jusqu’à la fenêtre de ma chambre pour regarder. Il y avait une espèce de grand nuage ». « Comme au ralenti, presque majestueusement, elle est tombée verticalement sur elle-même et s’est effondrée », se souvient Norbert Fruteau de Laclos qui confie être resté un long moment comme « paralysé » ce jour-là. « On est choqué, on pleure un petit peu, on ne sait pas comment réagir. Tout le monde redoutait qu’il y ait d’autres attaques. Un peu comme avec la pandémie maintenant, tout le monde restait chez soi. Les gens avaient peur de prendre le métro », poursuit Alex Jouve. Après deux décennies, le drame laisse encore des traces dans la vie des deux Français. Pendant des années, Norbert Fruteau de Laclos était incapable de monter dans de hauts immeubles. « J’étais paniqué », confie-t-il. Les États-Unis commémoreront dans deux jours les 20 ans de l’attaque qui a fait près de 3 000 victimes. Un moment « presque bizarre » pour Alex Jouve. « Le pays est tellement divisé et fracturé que regarder un moment où on était tous solidaires et tous ensemble… Ça paraît être une autre époque, un autre pays qui n’existe plus », soupire-t-il.

11 septembre 2001 : 20 ans après, deux Français de New York se souviennent

« C’était énorme, ça s’effondrait, ça mourrait juste devant nous, c’était terrible ». 20 ans après, les souvenirs sont toujours aussi clairs et la douleur toujours aussi vive. Norbert Fruteau de Laclos venait de s’installer à New York lorsque l es tours jumelles du World Trade Center se sont effondrées , devant ses yeux, le 11 septembre 2001. « Je suis monté sur le toit de ma société, et là, on a vu les deux tours brûler, la ville qui commençait à s’arrêter et les bruits de sirènes dans tous les sens… », se remémore le Français. En l’espace de quelques heures, ce publicitaire a vu l’horreur se dérouler devant les yeux. « On a vu des choses qui tombaient en gigotant. On s’est rendu compte que c’était des personnes qui sautaient pour échapper aux flammes », décrit-il avec émotion. Alex Jouve était lui aussi présent à New York, lors de l’attaque perpétrée par le groupe terroriste Al-Qaïda . Le quarantenaire rentrait chez lui lorsqu’il a aperçu l’incendie qui a suivi l’impact de l’avion dans la première tour. Il s’est alors précipité devant son poste de télévision : « Quand la première tour est tombée, je n’y croyais pas. Je suis allé jusqu’à la fenêtre de ma chambre pour regarder. Il y avait une espèce de grand nuage ». « Comme au ralenti, presque majestueusement, elle est tombée verticalement sur elle-même et s’est effondrée », se souvient Norbert Fruteau de Laclos qui confie être resté un long moment comme « paralysé » ce jour-là. « On est choqué, on pleure un petit peu, on ne sait pas comment réagir. Tout le monde redoutait qu’il y ait d’autres attaques. Un peu comme avec la pandémie maintenant, tout le monde restait chez soi. Les gens avaient peur de prendre le métro », poursuit Alex Jouve. Après deux décennies, le drame laisse encore des traces dans la vie des deux Français. Pendant des années, Norbert Fruteau de Laclos était incapable de monter dans de hauts immeubles. « J’étais paniqué », confie-t-il. Les États-Unis commémoreront dans deux jours les 20 ans de l’attaque qui a fait près de 3 000 victimes. Un moment « presque bizarre » pour Alex Jouve. « Le pays est tellement divisé et fracturé que regarder un moment où on était tous solidaires et tous ensemble… Ça paraît être une autre époque, un autre pays qui n’existe plus », soupire-t-il.

Emeutes aux Tarterêts : des jeunes cagoulés attaquent un fourgon de police

Le calme n’aura pas tenu deux jours d’affilée aux Tarterêts.
Après plusieurs nuits d’émeutes de ce jeudi à ce lundi soir , un nouvel incident a eu lieu dans le quartier de Corbeil-Essonnes ce mercredi vers 18 heures 45. Alors qu’il patrouillait seul dans le quartier, un fourgon de police a été pris dans un guet-apens, rue Cézanne. Une trentaine d’individus masqués, cagoulés et gantés, qui se cachaient dans des buissons, ont surgi et ciblé le véhicule, à coups de tirs de mortiers, de pavés et de cocktails molotov. L’une de ces bouteilles incendiaires a touché l’avant du fourgon, sans que le feu ne se propage. A l’intérieur du véhicule, les agents ont tiré avec leurs lanceurs de balle de défense et utilisé leurs grenades de désencerclement avant de prendre la fuite. Dans la vidéo de l’attaque, qui circule sur les réseaux sociaux, on peut entendre des jeunes crier « avancez avancez ! », « encore ! », « niquez-les » et rire à la fuite des agents. Le commissariat d’Evry-Courcouronnes, dont dépend Corbeil-Essonnes, a été saisi.

Inondations à Agen : « En 15 minutes, l’eau est montée d’un mètre, c’est du jamais-vu ici »

« En dix minutes tout était inondé, j’ai tout perdu » : les habitants d’un quartier d’Agen (Lot-et-Garonne) constatent les dégâts causés par des inondations éclair qui se sont abattues mercredi soir. Un record absolu de pluies – l’équivalent de
deux mois de précipitations en trois heures – provoquant des inondations dans une partie de la ville, mais sans faire de victime.

Procès du 13-Novembre : des attentes diverses pour les parties civiles et les avocats

Le procès des attentats du 13 novembre 2015 s’est ouvert dans une ambiance solennelle mercredi à la mi-journée à Paris, six ans après une nuit de terreur qui a fait 131 morts, des centaines de blessés et a traumatisé la France. Seul membre encore en vie des commandos derrière ces attaques, Salah Abdeslam a paraphrasé la Chahada, profession de foi musulmane, lors de sa première prise de parole devant la Cour d’assises spéciale qui doit le juger jusqu’à la fin du mois de mai. Aux alentours et à l’intérieur de la grande salle de 47 m de long et 550 places, une grande tension était palpable en cette première journée d’audience, consacrée à l’appel des parties civiles. Cet appel continuera jeudi, avant la lecture du rapport vendredi. Les premiers témoins ne sont attendus à la barre que lundi. Pendant neuf mois, soit la plus grande audience criminelle jamais organisée en France , la cour va se replonger dans ce titanesque dossier . Il est inédit par son ampleur – 542 tomes -, par son nombre de parties civiles – au moins 1 800 -, et par sa charge émotionnelle. Les témoignages de rescapés et proches des victimes débuteront le 28 septembre, pour cinq semaines.

Procès du 13 Novembre : «Que Salah Abdeslam apporte des réponses !»

Le procès des attentats du 13 novembre 2015 s’est ouvert dans une ambiance solennelle mercredi à la mi-journée à Paris, six ans après une nuit de terreur qui a fait 131 morts, des centaines de blessés et a traumatisé la France. Seul membre encore en vie des commandos derrière ces attaques, Salah Abdeslam a paraphrasé la Chahada, profession de foi musulmane, lors de sa première prise de parole devant la Cour d’assises spéciale qui doit le juger jusqu’à la fin du mois de mai. Aux alentours et à l’intérieur de la grande salle de 47 m de long et 550 places, une grande tension était palpable en cette première journée d’audience, consacrée à l’appel des parties civiles. Cet appel continuera jeudi, avant la lecture du rapport vendredi. Les premiers témoins ne sont attendus à la barre que lundi. Pendant neuf mois, soit la plus grande audience criminelle jamais organisée en France , la cour va se replonger dans ce titanesque dossier . Il est inédit par son ampleur – 542 tomes -, par son nombre de parties civiles – au moins 1 800 -, et par sa charge émotionnelle. Les témoignages de rescapés et proches des victimes débuteront le 28 septembre, pour cinq semaines.

Jean Castex : « Les conditions d’une réforme des retraites ne sont pas réunies »

A 200 jours de la présidentielle, l’exécutif a tenu mercredi à s’afficher à
la tâche en égrenant, par la voix de Jean Castex, ses chantiers prioritaires,
de la lutte contre le Covid à l’emploi en passant par un grand plan
d’investissements – mais pas les retraites. Voulant prévenir les procès en
immobilisme alors que s’amorce la campagne présidentielle de 2022, l’exécutif a fait l’inventaire de ses travaux en cours, dont la réforme des retraites ne fait pas partie. « Les conditions », à savoir la pandémie sous contrôle et une reprise économique solide, « ne sont toujours pas réunies », a fait valoir le Premier ministre. Parmi les autres réformes en cours, Castex a qualifié « d’indispensable » celle, controversée, sur l’assurance-chômage, qui sera progressivement appliquée « entre le 1er
octobre et le 1er décembre ».

Des images colorisées pour donner un meilleur aperçu du tigre de Tasmanie, espèce disparue

Une ancienne vidéo en noir et blanc d’un tigre de Tasmanie a été colorisée afin de redonner un peu de vie à cette espèce éteinte depuis plusieurs décennies, a dévoilé mardi l’agence australienne d’archives. Le thylacine aux allures de loup, surnommé le tigre de Tasmanie à cause de sa fourrure rayée, vivait en Australie et sur l’île de Nouvelle-Guinée avant de disparaître il y a environ 85 ans. Il ne reste aujourd’hui de cette bête furtive qu’une dizaine de séquences vidéos, muettes et en noir et blanc, qui, mises bout à bout, représentent trois minutes d’ i mages. La National film and sound archive of Australia a annoncé avoir fait coloriser le plus long de ces clips vidéos, un film de 80 secondes du dernier tigre de Tasmanie connu, appelé Benjamin, qui vivait en captivité dans les années 1930. Les images ont été tournées par David Fleay en décembre 1933 dans le zoo Beaumaris, fermé depuis, dans la ville de Hobart, où le naturaliste aurait été mordu au postérieur alors qu’il filmait.

Eteint il y a 85 ans, le diable de Tasmanie « renaît » grâce à des images colorisées

Une ancienne vidéo en noir et blanc d’un tigre de Tasmanie a été colorisée afin de redonner un peu de vie à cette espèce éteinte depuis plusieurs décennies, a dévoilé mardi l’agence australienne d’archives. Le thylacine aux allures de loup, surnommé le tigre de Tasmanie à cause de sa fourrure rayée, vivait en Australie et sur l’île de Nouvelle-Guinée avant de disparaître il y a environ 85 ans. Il ne reste aujourd’hui de cette bête furtive qu’une dizaine de séquences vidéos, muettes et en noir et blanc, qui, mises bout à bout, représentent trois minutes d’ i mages. La National film and sound archive of Australia a annoncé avoir fait coloriser le plus long de ces clips vidéos, un film de 80 secondes du dernier tigre de Tasmanie connu, appelé Benjamin, qui vivait en captivité dans les années 1930. Les images ont été tournées par David Fleay en décembre 1933 dans le zoo Beaumaris, fermé depuis, dans la ville de Hobart, où le naturaliste aurait été mordu au postérieur alors qu’il filmait.

A bord de son ULM, il vole avec les oies

Voler autrement. Tous les matins, Dominique Cruciani, pilote d’ULM chevronné, enfile sa tenue d’aviateur pour aller promener ses oies pendant un vol de 40 minutes au-dessus du lac d’Annecy (Haute-Savoie). Un moment féérique pour ce gérant de Delta Evasion – l’un des premiers en France à proposer, dès 1979, des baptêmes en deltaplane – et qui a décidé aujourd’hui de faire partager ce moment unique au grand public, à bord d’un ULM biplace (moyennant 480 euros). « Je me suis inspiré du film le Peuple migrateur de Jacques Perrin. J’avais participé au
tournage en 1998. Je pilotais un ULM pour les prises de vues aériennes. On
volait avec des oies imprégnées, c’est-à-dire domestiquées. J’ai voulu faire la
même chose », raconte Dominique. En mai dernier, il décide se rendre chez un éleveur d’oies en Mayenne pour voir naître ses palmipèdes. Commence ensuite le fastidieux travail d’imprégnation. Dominique Cruciani habitue alors ses oies à son ULM, spécialement conçu pour le vol avec les oiseaux. « Elles ne pouvaient
pas encore s’envoler mais je les promenais à côté de l’engin, pour les
familiariser au ronronnement du moteur, raconte-t-il. C’est à 40 jours que les oies ont assez de plumes pour décoller. On commence par des sauts de puce avant d’arriver, aujourd’hui, à atteindre plusieurs centaines de mètres d’altitude. »

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