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Manifestation contre la loi sur la sécurité globale : « Il faut se mobiliser même si c’est le…

Devant le Sénat où le projet de loi portée par le ministre de l’Intérieur et déjà voté à l’Assemblée Nationale doit être examiné, les manifestants étaient peu nombreux. Malgré une mobilisation en baisse, les opposants à la loi continuent de demander son retrait total.
« Ça sert à rien mais on est encore là » Isabelle, manifestante de la première heure contre la loi dite de Sécurité Globale, continue de répondre présente aux rassemblements.

« Les pancartes se rétrécissent et dans la foule il y en a de moins en moins » explique-t-elle non sans humour. La loi a déjà été votée par l’Assemblée Nationale en décembre 2020. « Je ne comprends pas comment les députés ont laissé passer ça », explique Pierre, lui aussi manifestant depuis les débuts de la mobilisation.

« Je ne comprendrais pas comment les sénateurs pourraient laisser passer ça. Ce serait une défaite de notre démocratie, rajoute-t-il. Il faut continuer à se mobiliser même si ça paraît être notre dernier espoir ». Retrouvez notre reportage avec les manifestants contre la loi de sécurité globale devant le Sénat.

On a testé la Dacia Spring, une voiture électrique à 12.000 euros

Dacia avait pour ambition de mettre sur le marché “la moins chère des voitures électriques citadines”. Pari réussi avec la Spring, la première voiture électrique low-cost,que le constructeur automobile roumain commercialise au prix de 16 990 euros pour le modèle le moins cher, soit 12 403 euros, bonus écologique déduit.

Un prix particulièrement bas pour ce type de voitures : à titre de comparaison, la Renault Twingo ZE, jusqu’alors le modèle électrique le plus abordable, est mise en vente à près de 3 500 euros de plus ; et la Renault Zoé, la voiture électrique la plus vendue en 2020, environ 25 000 euros, bonus écologique déduit.

« On démocratise l’électrique avec Spring. C’est la voiture la plus abordable du marché sur ce segment », assure Camille Soulat, de la direction commerciale monde de Dacia. Comment expliquer un prix si faible ? « En chassant les coûts inutiles et superflus. Pas de recherche de la dernière technologie, mais plutôt des technologies qui ont fait leurs preuves », ajoute Régis Macaluso, chef de produit chez Dacia.

Avec une autonomie allant jusqu’à 300 km lorsqu’elle est utilisée uniquement en ville, le constructeur a imaginé cette citadine comme deuxième voiture, ou pour les trajets courts autour du domicile.

La Spring sera commercialisée en précommande dès ce samedi, et livrée à partir de septembre.

Que vaut vraiment cette voiture à bas prix ? Nous l’avons testée.

On a testé la Dacia Spring, une voiture électrique à 12 000 euros

Dacia avait pour ambition de mettre sur le marché “la moins chère des voitures électriques citadines”. Pari réussi avec la Spring, la première voiture électrique low-cost,que le constructeur automobile roumain commercialise au prix de 16 990 euros pour le modèle le moins cher, soit 12 403 euros, bonus écologique déduit.

Un prix particulièrement bas pour ce type de voitures : à titre de comparaison, la Renault Twingo ZE, jusqu’alors le modèle électrique le plus abordable, est mise en vente à près de 3 500 euros de plus ; et la Renault Zoé, la voiture électrique la plus vendue en 2020, environ 25 000 euros, bonus écologique déduit.

« On démocratise l’électrique avec Spring. C’est la voiture la plus abordable du marché sur ce segment », assure Camille Soulat, de la direction commerciale monde de Dacia. Comment expliquer un prix si faible ? « En chassant les coûts inutiles et superflus. Pas de recherche de la dernière technologie, mais plutôt des technologies qui ont fait leurs preuves », ajoute Régis Macaluso, chef de produit chez Dacia.

Avec une autonomie allant jusqu’à 300 km lorsqu’elle est utilisée uniquement en ville, le constructeur a imaginé cette citadine comme deuxième voiture, ou pour les trajets courts autour du domicile.

La Spring sera commercialisée en précommande dès ce samedi, et livrée à partir de septembre.

Que vaut vraiment cette voiture à bas prix ? Nous l’avons testée.

Covid-19 : les autotests, comment ça marche ?

Feu vert pour les autotests. La Haute Autorité de Santé (HAS) s’est prononcée, ce mardi, en faveur de l’utilisation des autotests Covid-19 dans certains cas. Dans un avis rendu ce mardi, la HAS préconise notamment leur utilisation « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans dans le cadre d’une utilisation restreinte à la sphère privée » ou « chez les personnes asymptomatiques de plus de 15 ans, dans le cadre d’un dépistage itératif ciblé à large échelle ». En cas d’autotest positif, le résultat devra ensuite être confirmé par un test PCR.

Comme l’avait laissé entendre Jérôme Salomon, le directeur général de la Santé, ces autotests devraient donc bientôt être disponibles en France. Reste à savoir s’ils seront remboursés et où on pourra les trouver (pharmacies, supermarchés…). A titre indicatif, celui que nous avons fait tester coûte entre 5 et 7 euros dans les pays où il est commercialisé. Déjà disponibles ailleurs (Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, Autriche, Allemagne, etc…), ces tests sont des tests antigéniques que l’on peut faire soi-même et dont le résultat est disponible en 20 minutes environ. Autre avantage, le protocole est moins désagréable puisque l’écouvillon est introduit moins profondément.

En attendant que ces tests arrivent sur le marché français, Xavier Guérin, président d’Innova Europe, qui fabrique des autotests utilisés actuellement dans plusieurs pays, s’est prêté au jeu de la démonstration.

Chambre avec vue sur ours polaire

Un hôtel chinois qui a ouvert ses portes ce vendredi est dans le collimateur des défenseurs des animaux car il exhibe des ours polaires pour le seul plaisir de ses clients.

En Chine, l’ouverture d’un hôtel exhibant des ours polaires en captivité suscite l’indignation

A peine ouvert, un hôtel chinois se retrouve dans le collimateur des défenseurs des animaux. Et pour cause, l’établissement exhibe des ours polaires pour le seul plaisir de ses clients. L’hôtel se situe à Harbin, capitale d’une province frontalière avec la Sibérie russe, au nord-est du pays. Les hivers y sont rudes, avec des températures pouvant atteindre les -20 °C, et les étés peuvent être longs et chauds.

Les larges fenêtres en verre des chambres permettent aux clients d’avoir une vue panoramique sur les ours installés dans le patio central, surmonté d’une verrière et dans lequel sont installés bassins, rochers et stalactites factices. Une vidéo montre les grands mammifères, considérés comme une espèce menacée, photographiés par de nombreux visiteurs sous une forte lumière artificielle.

« La place des ours polaires est dans l’Arctique, pas dans des zoos ou des aquariums en verre et certainement pas dans des hôtels », a réagi Jason Baker, le vice-président pour l’Asie de l’association de défense des animaux Peta, basée aux Etats-Unis. Il dénonce un établissement « qui profite de la détresse des animaux », alors que le territoire naturel des ours blancs sauvages s’étend généralement sur plusieurs milliers de kilomètres.

L’Agence européenne des médicaments reste « fermement convaincue » des bénéfices du vaccin…

Alors que de nombreux pays européens, dont l’Allemagne, la France, l’Italie, l’Espagne et le Portugal, suspendent par précaution l’utilisation du vaccin d’AstraZeneca, l’Agence européenne des médicaments (EMA) reste « fermement convaincue » des bénéfices du vaccin AstraZeneca contre le Covid-19, annonce sa directrice, après le signalement de caillots sanguins possibles mais sans lien avéré à ce stade.
La directrice de l’Agence européenne des médicaments (EMA) affirme que l’agence « examine » les effets « indésirables associés à tous les vaccins » contre le coronavirus, alors que l’agence enquête sur des cas de caillots sanguins potentiellement liés au vaccin AstraZeneca.

Variant breton : ni plus grave ni plus transmissible que le virus historique

Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 a été détecté en Bretagne, a annoncé lundi la Direction générale de la santé (DGS), précisant que des investigations sont en cours pour en évaluer la transmissibilité et la sévérité.
En attendant, ce variant a été classé dans la catégorie “à suivre” par les autorités, celle qui regroupe la plupart des milliers de variants qui apparaissent naturellement dans le monde, et dont seule une petite proportion poseront finalement des problèmes particuliers de santé publique, par exemple s’ils s’avèrent plus transmissibles.
Les autorités sanitaires ont tout d’abord détecté en Bretagne plusieurs cas de malades présentant les symptômes du Covid, “rattachés à un cluster” mais dont les tests PCR étaient négatifs. Les premières analyses du nouveau variant “breton”ne permettent à ce stade de conclure “ni à une gravité ni à une transmissibilité accrues” par rapport au virus historique, déclare le directeur général de l’ARS Bretagne, Stéphane Mulliez, lors d’une conférence de presse à Saint-Brieuc (Côtes d’Armor).

Le variant breton «difficilement détectable», serait ni plus grave ni plus transmissible

Un nouveau variant du coronavirus SARS-CoV2 a été détecté en Bretagne, a annoncé lundi la Direction générale de la santé (DGS), précisant que des investigations sont en cours pour en évaluer la transmissibilité et la sévérité.
En attendant, ce variant a été classé dans la catégorie “à suivre” par les autorités, celle qui regroupe la plupart des milliers de variants qui apparaissent naturellement dans le monde, et dont seule une petite proportion poseront finalement des problèmes particuliers de santé publique, par exemple s’ils s’avèrent plus transmissibles.
Les autorités sanitaires ont tout d’abord détecté en Bretagne plusieurs cas de malades présentant les symptômes du Covid, “rattachés à un cluster” mais dont les tests PCR étaient négatifs. Les premières analyses du nouveau variant “breton”ne permettent à ce stade de conclure “ni à une gravité ni à une transmissibilité accrues” par rapport au virus historique, déclare le directeur général de l’ARS Bretagne, Stéphane Mulliez, lors d’une conférence de presse à Saint-Brieuc (Côtes d’Armor).

AstraZeneca : les vaccinés «ne sont pas en danger», assure Véran

« Je fais partie de ces Français qui ont reçu une injection d’AstraZeneca. Les gens ne sont pas en danger parce qu’ils auraient été vaccinés par AstraZeneca », assure Olivier Véran, alors que plusieurs pays ont suspendu la vaccination avec ce vaccin anti-Covid. Le ministre français de la Santé espère que “le verdict de la part de la communauté scientifique européenne” sur le vaccin AstraZeneca va permettre “de reprendre la campagne de vaccination” avec ce vaccin anti-Covid suspendu par plusieurs pays, dont la France.

Un vaccinodrome au Vélodrome : «Ça fait plaisir de revenir au stade», se réjouit un Marseillais

« C’est probablement l’un des plus grands centres de vaccination en France et c’était très symbolique d’ouvrir le Vélodrome », s’honore Benoît Payan, maire PS de Marseille. Dans la cité phocéenne, le rythme des injections va accélérer après l’inauguration lundi d’un centre de vaccination dans les locaux de la tribune Ganay. 500 personnes se sont inscrites pour être inoculées dans le mythique stade de l’OM, ouvert 6 jours sur 7, de 9 heures à 17 heures.

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