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« J’ai commis des erreurs » : Macron admet de mauvais choix au moment des gilets jaunes

« Il est nécessaire d’accompagner les gens » pour qu’ils puissent s’adapter à la transition écologique, a estimé dimanche Emmanuel Macron dans une interview à la chaîne américaine CBS, en regrettant d’avoir commis « l’erreur » d’en « sous-estimer l’impact sur la classe moyenne » en 2018. En allusion au mouvement des « gilets jaunes », qui était né du prix de l’essence et d’un projet de hausse de la taxe sur les carburants, le président français est revenu sur la nécessité de « largement transformer notre économie, en augmentant le prix du carbone » mais d’une manière « réalisable » pour la population.

« Le Serpent » sur Netflix : « On est complètement subjugué par ce personnage terrifiant »

« Une série d’une qualité incroyable », immersive grâce à un « jeu d’acteurs de très haut niveau » qui nous fait plonger dans « les seventies et leur lot de fantasmes ». Mis à part quelques réticences quant à la justesse de l’accent québécois de l’actrice Jenna-Louise Coleman, « le Serpent », disponible sur Netflix , est « une série avec zéro défauts », selon nos journalistes Renaud Baronian et Emmanuel Marolle. Sur 8 épisodes, elle retrace l’histoire vraie de l’escroc français Charles Sobhraj, « joué remarquablement » par Tahar Rahim, qui va basculer dans l’horreur et assassiner dix-huit touristes hippies en Asie du Sud-Est, avec sa compagne et un complice d’origine indienne. La force de cette série, c’est de « placer le spectateur dans la peau des victimes » de Charles Sobhraj, « on est complètement subjugué par ce type terrifiant ». C’est aussi « une réussite dans l’ambiance seventies qu’elle arrive à mettre en scène ». « Les pantalons pattes def, les cols pelle à tarte, les grosses lunettes… », on pourrait « presque croire qu’il s’agit d’un documentaire ».

Floride : un pilote contraint d’amerrir d’urgence le long d’une plage bondée

Un pilote l’a échappé belle ce samedi 17 avril, après avoir été contraint d’amerrir le long de la plage de Satellite Beach, en Floride, sous les regards incrédules des touristes venus en nombre profiter du soleil. L’avion datant de la Seconde Guerre mondiale participait au spectacle aérien de Cocoa Beach. Un « problème mécanique » serait à l’origine de l’incident, selon l’organisateur du show. Les secours se sont immédiatement rendus sur place, a indiqué un message publié sur la page Facebook du spectacle aérien. Nickolas Hawley regardait le spectacle aérien sur la plage avec sa famille quand il a capturé le moment où l’avion survole la tête des nageurs avant d’amerrir sous un nuage d’éclaboussures. « Je suis tellement content que personne n’ait été touché », a déclaré Hawley dans la vidéo. Environ un millier de visiteurs se trouvaient sur la plage lorsque l’avion s’est posé, selon ce témoin.

Un pilote contraint d’amerrir d’urgence le long d’une plage bondée en Floride

Un pilote l’a échappé belle ce samedi 17 avril, après avoir été contraint d’amerrir le long de la plage de Satellite Beach, en Floride, sous les regards incrédules des touristes venus en nombre profiter du soleil. L’avion datant de la Seconde Guerre mondiale participait au spectacle aérien de Cocoa Beach. Un « problème mécanique » serait à l’origine de l’incident, selon l’organisateur du show. Les secours se sont immédiatement rendus sur place, a indiqué un message publié sur la page Facebook du spectacle aérien. Nickolas Hawley regardait le spectacle aérien sur la plage avec sa famille quand il a capturé le moment où l’avion survole la tête des nageurs avant d’amerrir sous un nuage d’éclaboussures. « Je suis tellement content que personne n’ait été touché », a déclaré Hawley dans la vidéo. Environ un millier de visiteurs se trouvaient sur la plage lorsque l’avion s’est posé, selon ce témoin.

Un pilote contraint d’amerrir en urgence le long d’une plage bondée en Floride

Un pilote l’a échappé belle ce samedi 17 avril, après avoir été contraint d’amerrir le long de la plage de Satellite Beach, en Floride, sous les regards incrédules des touristes venus en nombre profiter du soleil. L’avion datant de la Seconde Guerre mondiale participait au spectacle aérien de Cocoa Beach. Un « problème mécanique » serait à l’origine de l’incident, selon l’organisateur du show. Les secours se sont immédiatement rendus sur place, a indiqué un message publié sur la page Facebook du spectacle aérien. Nickolas Hawley regardait le spectacle aérien sur la plage avec sa famille quand il a capturé le moment où l’avion survole la tête des nageurs avant d’amerrir sous un nuage d’éclaboussures. « Je suis tellement content que personne n’ait été touché », a déclaré Hawley dans la vidéo. Environ un millier de visiteurs se trouvaient sur la plage lorsque l’avion s’est posé, selon ce témoin.

«On est libres, c’est un miracle» : les Israéliens heureux de faire tomber le masque en extérieur

Dans les rues de Jérusalem, on respire à nouveau. La stratégie de vaccination massive semble avoir payé et c’est avec soulagement que la population a accueilli la nouvelle de la levée de l’obligation du port du masque dans les lieux publics extérieurs. « Assurer la sécurité des gens est aussi une forme de liberté, mais c’est bien de ne plus porter quelque chose sur le visage », commente une passante dans les rues de Jérusalem. La jeune femme, qui se marie dans deux semaines, se réjouit : « Sans masque, les photos seront super ! » « C’est une liberté, on est heureux. On est libres. C’est un miracle », approuve Philippe, habitant de la ville. Si certains se sont empressés de tomber le masque, d’autres préfèrent rester prudents et patienter le temps de voir l’évolution de la situation. « Je sens que ça fait partie de ma vie, confie Ester. On va voir ce qui va se passer, quand tout le monde aura enlevé son masque, si je vois que tout se passe bien d’ici un mois ou deux, alors je le retirerai. Pour l’instant, je suis craintive. » Depuis le mois de décembre, 53 % de la population israélienne, soit cinq millions d’habitants, a reçu ses deux doses du vaccin Pfizer. Début mars, les bars, restaurants et cafés ont pu rouvrir leurs portes.

L’enlèvement de Mia a été «conçu comme une opération militaire», selon le procureur

Les auteurs présumés de l’enlèvement de la petite Mia ont conçu le rapt «comme une opération de type militaire» conduite «de manière déterminée», a déclaré le procureur de la République de Nancy François Pérain. Les suspects, dont cinq sont en cours de présentation à un juge d’instruction en vue de leur mise en examen, avaient baptisé leur action, «opération Lima», a-t-il précisé lors d’une conférence de presse à Nancy. Ces auteurs «ne sont pas connus de la justice (…) et partagent une même communauté d’idées»

Enlèvement de Mia : la petite fille et sa mère retrouvées dans un squat en Suisse

Les auteurs présumés de l’enlèvement de la petite Mia ont conçu le rapt «comme une opération de type militaire» conduite «de manière déterminée», a déclaré le procureur de la République de Nancy François Pérain. Les suspects, dont cinq sont en cours de présentation à un juge d’instruction en vue de leur mise en examen, avaient baptisé leur action, «opération Lima», a-t-il précisé lors d’une conférence de presse à Nancy. Ces auteurs «ne sont pas connus de la justice (…) et partagent une même communauté d’idées»

«On veut des potirons, pas du béton», scandent les défenseurs des jardins ouvriers d’Aubervilliers

« C’est notre coin de paradis », « un bout de campagne en pleine ville », « un lieu de rencontre pour se détendre »… À l’évocation du jardin des Vertus, 273 parcelles de terres arables situées aux pieds de la station de métro Fort d’Aubervilliers, tous sont dithyrambiques et racontent le sentiment d’évasion que procure ce lieu planté au milieu des tours. Dans ce secteur très bétonné, où les habitants ont accès à très peu de zones de nature, le collectif du Jardin des Vertus refuse de voir un seul hectare disparaître pour la construction d’un complexe aquatique en vue des Jeux olympiques de 2024. Suivis par près de 500 personnes, ils ont manifesté en faveur de l’agriculture urbaine et contre la « reconstitution » de 19 parcelles de leur espace vert.

Tensions à la frontière ukrainienne : Macron prêt à sanctionner la Russie en cas de «comportement…

Face au regain de tensions qui menace la région du Donbass, le président Emmanuel Macron a haussé le ton contre la Russie, se disant prêt à des sanctions en cas de « comportement inacceptable ». Le chef de l’Etat s’est exprimé dans une interview à la chaîne américaine CBS, dont un extrait a été diffusé samedi. « Je pense qu’après un comportement inacceptable, en effet, nous devons sanctionner », a répondu le président Macron, questionné sur la possibilité de mesures contre Moscou en cas d’invasion, au moment où les troupes russes sont de plus en plus nombreuses à la frontière ukrainienne. « Et je pense que nous devons définir de claires lignes rouges avec la Russie », a-t-il poursuivi.

Policiers brûlés à Viry-Châtillon : 6 à 18 ans de prison pour cinq accusés, huit acquittements

Les avocats des victimes dénoncent “un naufrage judiciaire” tandis que la défense salue “la fin d’un calvaire”, à l’issue du procès en appel pour la violente agression de policiers à Viry-Châtillon en 2016. Huit acquittements et des peines de 6 à 18 ans de prison ont été prononcés. La lecture du verdict a été interrompue par une bagarre générale dans le box des accusés, qui a nécessité l’intervention d’une trentaine de policiers et gendarmes. Les heurts se sont ensuite étendus dans la salle.

Au contraire des parties civiles, l’une des avocates de la défense, Me Mauger-Poliak, a salué “un soulagement pour la défense”, et un “démenti total de l’enquête”.
“C’est la fin du cauchemar judiciaire pour mon client”, qui avait déjà été acquitté en première instance, a pour sa part déclaré Me Arnaud Simonard.

En première instance, huit de ces jeunes avaient été reconnus coupables et condamnés à des peines allant de 10 à 20 ans de prison. Cinq autres avaient été acquittés.
Le parquet général de Paris avait fait appel du verdict alors que les avocats des parties civiles avaient dénoncé des peines “qui ne tiraient pas les conclusions” de la “gravité du crime” commis. La cour n’a pas suivi les réquisitions de l’avocat général qui avait demandé mardi un acquittement et des peines de 12 à 25 ans de réclusion criminelle pour les 12 autres accusés, âgés aujourd’hui de 21 à 26 ans. Les 13 jeunes, âgés de 16 à 21 ans au moment des faits, étaient accusés d’avoir fait partie de la vingtaine de personnes encagoulées qui, le 8 octobre 2016, avaient pris d’assaut en pleine journée deux voitures de police stationnées à proximité du quartier de la Grande Borne, une vaste cité d’habitat social considérée comme l’une des plus sensibles d’Île-de-France. En quelques secondes, ils avaient brisé les vitres et jeté des cocktails Molotov dans les habitacles. Dans une première voiture, un adjoint de sécurité de 28 ans et une gardienne de la paix de 39 ans avaient pris feu.
Le pronostic vital de l’adjoint avait été un temps engagé et il avait été plongé dans le coma pendant plusieurs semaines. Plus de quatre ans après les faits, il porte encore les marques de l’agression sur son visage. “Ces policiers qui étaient dans les voitures, on leur crache à la figure après les avoir brûlés une première fois”, a dénoncé dimanche à la sortie de l’audience Me Laurent Franck Lienard, avocat de deux des policiers.

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