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Emmanuel Macron à Notre-Dame : « un travail immense a été accompli »

Deux ans jour pour jour après l’incendie qui a ravagé Notre-Dame, le Président de la République était en visite sur l’impressionnant chantier de la cathédrale, en compagnie notamment d’Anne Hidalgo, la maire de Paris, et du général Georgelin, président de l’Établissement public chargé de la restauration de la cathédrale. Emmanuel Macron y a notamment salué les corps de métier qui participent au chantier de Notre-Dame et a adressé un message de « fierté collective, parce qu’on a beaucoup fait en deux ans et on a évité le pire ».

Guardiola : « Le PSG a éliminé la meilleure équipe du monde »

Ce sera donc Manchester City. Après avoir sorti le Barça en huitièmes de finale et le Bayern Munich en quarts, le PSG devra se défaire de l’équipe entraînée par Pep Guardiola pour tenter d’accéder à une deuxième finale de Ligue des Champions d’affilée. Les Anglais, qui ont éliminé Dortmund en quarts, accèdent pour la deuxième fois de leur histoire au dernier carré de la plus prestigieuse des compétitions. « Nous voulons plus », assure évidemment Guardiola, pour qui le PSG « a éliminé la meilleure équipe du monde actuellement ».

Amélie, restauratrice sur le chantier de Notre-Dame de Paris

A l’occasion de notre visite exceptionnelle du chantier de Notre-Dame de Paris, organisée par l’établissement public en charge de la conservation et de la restauration de la cathédrale, nous sommes allés à la rencontre d’artisans qui depuis deux ans ont lancé les prémices de la restauration. Ainsi, Amélie Strack, 32 ans, restauratrice du patrimoine spécialisée dans la pierre et le métal est à l’oeuvre depuis plusieurs mois sur deux “chapelles test”, Saint-Ferdinand et Notre-Dame-de-Guadalupe. Enfermées dans un caisson de bâches hermétiques on y entre par un sas. Choisies pour expérimenter et évaluer les processus de restauration, les deux chapelles sont désormais débarrassées des poussières de plomb qui contaminent encore le reste du chantier et leur restauration est achevée. Devant les murs de pierre resplendissants de la chapelle Notre-Dame de Guadalupe, Amélie Strack nous parle de son passionnant travail.

Amélie, restauratrice sur le chantier de Notre-Dame de Paris, fait de nouveau resplendir les…

A l’occasion de notre visite exceptionnelle du chantier de Notre-Dame de Paris, organisée par l’établissement public en charge de la conservation et de la restauration de la cathédrale, nous sommes allés à la rencontre d’artisans qui depuis deux ans ont lancé les prémices de la restauration. Ainsi, Amélie Strack, 32 ans, restauratrice du patrimoine spécialisée dans la pierre et le métal est à l’oeuvre depuis plusieurs mois sur deux “chapelles test”, Saint-Ferdinand et Notre-Dame-de-Guadalupe. Enfermées dans un caisson de bâches hermétiques on y entre par un sas. Choisies pour expérimenter et évaluer les processus de restauration, les deux chapelles sont désormais débarrassées des poussières de plomb qui contaminent encore le reste du chantier et leur restauration est achevée. Devant les murs de pierre resplendissants de la chapelle Notre-Dame de Guadalupe, Amélie Strack nous parle de son passionnant travail.

Le Japon va déverser les eaux usées de Fukushima dans la mer, "un scandale" dénonce Greenpeace

Le gouvernement japonais a officialisé mardi sa décision
d’évacuer dans l’océan plus d’un million de tonnes d’eau traitée mais toujours
radioactive de la centrale nucléaire dévastée de Fukushima. Bien que les
autorités et des scientifiques assurent que cette dilution dans le Pacifique
sera sans risque pour la santé humaine et l’environnement, le projet est très critiqué
par des ONG et des pêcheurs locaux. Valérie Faudon, déléguée générale de la
Société Française d’Énergie Nucléaire (SFEN), et Shaun Burnie, spécialiste du
nucléaire en Asie de l’Est pour Greenpeace, ont répondu à nos questions.

« Un niveau extrêmement faible de radioactivité »

Avant d’évacuer les eaux usées, le Japon va les traiter via
un dispositif appelé « ALPS », en les « nettoyant » de la
plupart de ses substances radioactives (radionucléides). « Toute l’eau déjà
traitée ces dernières années va repasser par ce système, analyse Valérie
Faudon, déléguée générale du SFEN. Le seul radionucléide qui va rester, a
priori, c’est le tritium, qui ne peut être éliminé avec les techniques
actuelles », explique-t-elle. La déléguée générale du SFEN se veut rassurante :
« une partie des eaux des lacs et les océans contiennent du tritium, mais
là, à Fukushima, il est un peu plus concentré qu’à l’état naturel, même s’il y
en a peu ». Les doses de tritium rejetées seront « faibles, à peu
près 16 grammes sur un million de litres d’eau », estime l’experte. « Et
une fois que l’eau usée sera rejetée dans l’océan, elle va encore se diluer,
donc ce sera un niveau extrêmement faible de radioactivité ».

Greenpeace s’inquiète de risques sur la santé

Mais il n’est pas sûr qu’ALPS puisse « nettoyer »
l’eau « au niveau qu’il devrait », tempère Shaun Burnie, de
Greenpeace. L’expert en nucléaire souligne par ailleurs que ce système ne
permet pas à l’heure actuelle de supprimer des substances radioactives telles
que le technétium 99, le carbone 14 et le strontium 90, qui, à terme pourrait se
révéler potentiellement dangereux pour la santé et pour l’environnement. « Le
strontium 90 se fixe sur les os. A travers la chaîne alimentaire, il peut
arriver jusqu’aux humains, alerte le spécialiste. Le strontium 90 augmente les
risques de cancers du sang, de leucémie. Vous ne voulez pas avoir affaire au strontium
90 ».

L’option du rejet des eaux contaminées dans les mers est
pourtant celle qui a été également soutenue par l’Agence internationale de
l’énergie atomique (AIEA), qui a estimé que cette solution était « en
adéquation » avec des pratiques « bien établies » dans le monde
entier.

Une solution préférable à l’évaporation dans les airs,
souligne de son côté Valérie Faudon. « On avait du mal à mesurer
exactement où l’air irait. Dans l’eau, on sait évaluer la dispersion de l’eau
et surveiller exactement comment elle va se diluer. » De quoi rassurer les
ONG et la population, estime l’experte. Pour Shaun Burnie en revanche, l’option
la plus favorable aurait été celle du stockage des eaux contaminées. « Mais
le coût est d’environ 900 millions de dollars par an pour stocker les eaux
usées », souligne-t-il. Tepco (l’entreprise qui gère le site nucléaire)
essaye d’éviter ce coût en diluant et en évacuant l’eau dans le Pacifique. »

Le début des opérations de déversement devraient débuter dans deux ans.

Quand l’armée française s’entraîne avec des robots….

Ce ne sont que des exercices. Mais ils disent peut-être un peu de ce que sera l’armée de demain. Ou d’après-demain. Fin mars, des élèves militaires ont testé sur le terrain l’éventuelle utilité de robots terrestres. A travers différents « scénarios tactiques qui se veulent le plus réalistes possible », comme l’explique l’école de Saint-Cyr Coëtquidan, à l’initiative du projet et où s’est déroulée la mise en pratique, l’idée était de mesurer « les gains et contraintes » de ces robots « dans la conduite de la manœuvre ». Reconnaissance, protection, aide à la logistique… plusieurs robots ont été testés et les militaires ont rejoué les situations avec et sans eux. Bilan : malgré des aspects positifs, ces robots sont encore globalement trop lents et manquent encore d’autonomie pour en faire des partenaires fiables dès maintenant.

Fusillade de Pantin : l’homme qui a blessé une fillette de 10 ans a fui en trottinette

Il est aux alentours de 13h ce mardi 13 avril à Pantin (Seine-Saint-Denis) quand un homme ouvre le feu sur une Mercedes grise . Le tireur blesse une fillette de 10 ans, assise côté passager. Elle a été hospitalisée en « état grave » mais ses jours ne sont pas en danger. La personne qui était visée semblerait être le père. Un homme bien connu des services de police. Il a notamment été acquitté dans une affaire d’assassinat et est actuellement en semi-liberté pour association de malfaiteurs. « Pour moi, il l’attendait à la sortie d’un parking souterrain, situé à cet endroit », précise un témoin anonyme, présent dans la rue au moment des faits.

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