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L’Équipe

Israël-Palestine : un conflit vieux de 70 ans

Le conflit israélo-palestinien semble sans fin après 70 ans d’histoire, de fracture, de guerre sans solutions. De chaque côté, la radicalisation a pris le pas sur les espoirs diplomatiques.    

Retrouver toutes les infos sur la vidéo sur : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/israel-palestine-un-conflit-vieux-de-70-ans_4625723.html

Comment la peur d’une "guerre civile" amène des survivalistes à la radicalité

Mathieu Burgalassi, doctorant en anthropologie, a enquêté en immersion pendant quatre ans sur le monde survivaliste. Il raconte aujourd’hui comment les survivalistes, bien que très différents les uns des autres, ont pour point commun la crainte d’une “guerre civile” qui amènerait les humains à s’entredéchirer. Cette peur, entretenue selon lui par les discours sécuritaires, conduit certains survivalistes à se préparer de manière toujours plus musclée et occasionne des dérives, notamment dans des stages échappant à toute réglementation. Une analyse détaillée dans le livre “La Peur et la haine, enquête chez les survivalistes”, paru chez Michel Lafon.

Retrouver toute l’actualité, les reportages, les enquêtes, les opinions et les débats de “L’Obs” sur notre site : https://www.nouvelobs.com/

«Les Parisiens ont l’habitude de la pluie» : malgré la météo, les terrasses préparent leur…

La météo maussade de ce mois de mai ne suffira pas à gâcher la fête du retour en terrasses . Après plus de six mois de fermeture, ce mercredi 19 mai est particulièrement attendu par les Parisiens. De nombreux restaurants affichent déjà complet cinq jours à l’avance. Pour Caroline, serveuse au restaurant Le Petit Bal, dans le IIème arrondissement de Paris, pas de quoi s’inquiéter pour le temps : « Les Parisiens ont l’habitude de la pluie » . Sur la terrasse de cette « cantine du Sud », il a fallu faire des aménagements, espacer les tables, pour condamner la moitié de la terrasse. Car les établissements sont soumis à une jauge d’accueil de seulement 50% de leurs capacités, et ne peuvent pas accueillir des groupes de plus de six personnes. Mais malgré ces mesures restrictives, l’enthousiasme règne au sein de l’équipe : « On est dans les starting blocks, on a hâte ! »

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